Sa fait longtemps (Lylin-Zero)

Créature du démon. Buvant le sang d'autrui. Ne pouvant pas discutez avec les animaux. Mi-léviathans mi-Elfes. Il fuyait les personnes de sa race, de ses deux races. Il se rendait, en solitaire, dans les terres des hagravens, ne pouvant pas même penser qu'il allait rencontrer un souvenir, une personne qu'il avait jadis rencontrer et aimer. Il était bien plus jeunes lorsqu'il l'avait rencontrer. Mais il ne la pas oublier, cette Lylin, elle qui avait était une amie fabuleuse, et il pensait à elle en rentrant dans les terres des hagraven, avec un peu de chance, tu la rencontrerait.

Zero regardait les herbes balayaient par le vent en un regard vide. Il s'y assit, au milieux, et s'y coucha lorsqu'il fut sur d'être belle et bien seul. Mais il n'entendait pas les bruits de pas, les bruits de pas de Lylin en personnes.

Vous avez déjà ressenti ça?  Cette sorte de pressentiment indescriptible. Comme une intuition qu'il faut faire quelque chose, qu'il faut parler, engager la conversation. Qu'il faut se lever et marcher vers cette lumière intense et mystérieuse qu'on est la seule à voir. Qu'il est impossible de faire semblant et de tourner le dos. Qu'on ne peut pas y échapper. Que cette force vous tire par le bout du coeur pour vous forcer à espérer et mieux vous fracasser par la suite. Que si vous pouviez, vous donneriez tout pour oublier et continuer sans elle.
La Vie et le Destin sont souvent de paire lorsqu'il s'agit de jouer avec les sentiments. Ils s'amusent avec vous pour ensuite vous laisser tomber comme un vieux jouet défectueux. Ils vous poussent à vous retrancher dans vos limites, vos peurs, vos souffrances. Ils vous obligent à faire face à ce que vous avez toujours fui par peur de la vérité ou simplement pour refermer une ancienne blessure. Ils enfoncent le couteau dans la plaie et tournent et retournent jusqu'à ce qu'il ne reste de vous que larmes et souffrance.
C'est ce qui leur permet de rester vivant, la Vie et le Destin. Si personne ne les craint plus, ils s'effacent de la réalité pour retourner d'où ils viennent. Mais ils ne veulent pas partir, ils se débrouillent pour qu'il reste encore une étincelle de frayeur dans les yeux d'un petit enfant.
Ce pressentiment, vous luttez pour y échapper mais c'est trop tard, il vous a attrapé comme un lapin dans un collet. Vous ne pouvez vous y soustraire, c'est plus fort que vous. Vos jambes se croisent et se décroisent toutes seules, vos pas vous amène tous seuls jusque dans la forêt. Il fait beau, le soleil est au rendez vous mais dans votre coeur il pleut déjà des cordes, lorsque vous apercevez enfin la cause de cette attraction.
Vos yeux se voilent, votre poitrine se serre, votre tête se lève haut avec fierté. Il ne peut pas vous la voler au moins cette fierté.
Il est allongé sur le sol, les yeux dans le vide, la bouche fermée dans un plis impassible. C'est alors que tous les souvenirs, tous sans exception, remontent à la surface. Ceux que vous avez sans cesse chercher à enfouir dans votre mémoire sous les couches de bons moments. Ceux que vous que vous avez toujours chercher à cacher, à fuir, à ignorer, à faire semblant que tout va bien alors que l'entaille est profonde.
C'est seulement une fois que vous avez réussi à faire avec, presque à oublier, que vous êtes maintenant heureuse qu'il resurgit de nul part. Comme un fantôme douloureux de votre enfance.
Vous vous approchez légèrement de lui mais pas trop, vous n'avez pas oublier comment c'était avant, ou plutôt après le mal. Vous le regardez longuement. Vous le détaillez de haut en bas pour noter tous les changements et la beauté décuplée avec l'âge. Mais vous vous ressaisissez. Il est impossible d'oublier maintenant.
Vous finissez par lui adresser la parole:
-Zero.
C'est court. Pas méchant juste prudent.
Ça fait longtemps... Que fais-tu ici? Je ne t'avais pas vu dans le coin depuis un paquet d'années.

-Zero.

Tu lève tes yeux vers la personne qui a prononcée ses paroles. Tu reste fixé sur cette femme; Lylin. Tu ne savait pas quoi faire, tu reste donc assis par terre et tu la regarde :

Ça fait longtemps... Que fais-tu ici? Je ne t'avais pas vu dans le coin depuis un paquet d'années.

A ces paroles tu te lève pour la prendre dans tes bras, un court instant. Tu sent son odeur qui t'avait manqué, celle de ton amie d'enfance. Tu as l'envie irrésistible de planter tes crocs dans la gorge de cette jeune fille. Tu la lâche et tu plante tes yeux argent dans ces yeux et tu lui sourit. Elle avait grandit, tellement, et sa beauté ses décuplé pendant ces longues années. Tu note tout les changement qui se sont opérez : les formes sont plus marqués, elle a grandis, ses yeux non pas changé, et ses cheveux son plus longs qu'avant. Tu continue à lui sourire :

- Lylin, sa fait longtemps ses vrais. Tu as bien grandis ...

Elle était devenus plus belle, mais belle, elle l'était déjà quand tu l'avait rencontrer. Tu passe une main dans tes cheveux blanc et tu la regarde. Oui, voila quelque chose que tu avait noter depuis longtemps, elle t'avait manquez, certes, mais ses surtout les cheveux noir de Lylin qui t'avait manquer, tu as les cheveux blanc et elle noir. Une hagraven.

Je le vois se lever, je ne le quitte pas des yeux. Il me prend dans ses bras. Je me fige, je ne fais aucun mouvement ni pour le repousser ni pour le lui rendre. Je me rend compte qu'en fait je n'ai vraiment envie qu'il me lâche. Sa proximité m'a manqué. Pour ne pas dire que j'étais désespérée lorsqu'il n'était pas là. Je me souviens de sa chaleur qui est encore aujourd'hui la même qu'avant. Je sens ses bras autour de moi, plis forts et plus puissants qu'avant. Je sens son souffle dans mon cou, chaud et rassurant, comme avant.
Puis il me lâche. Dans ma tête je veux qu'il me prenne de nouveau dans ses bras mais ma raison l'emporte: j'ai Subaru maintenant, je lui ai fait une promesse que je n'ai pas le droit de briser. Je ne peux pas avoir d'autres sentiments pour un autre homme.
Il plante ses magnifiques yeux argents,qui brillent encore de la même lueur, dans les miens, il me sourit et me dit:
- Lylin, sa fait longtemps ses vrais. Tu as bien grandis ..
Sa voix me donne des frissons. Cela fait tant d'années que je ne l'ai pas entendue que j'en ai oublié quel effet elle me fait et à quel point elle m'a manquée. Elle me ramène des souvenirs agréables à ma mémoire: un murmure au creux de l'oreille, un rire joyeux, un souffle apaisant.
Je détourne son regard si envoûtant et je réponds:
-Toi aussi... Mais ça ne répond pas à ma question.
Je remet une mèche de cheveux derrière mon oreille et le regarde de nouveau. Il est vraiment beau. Maintenant que j'y fait attention, je ne peu me ressaisir. Même si la voix de Subaru hurle dans ma tête. Je sais que ce n'est pas bien mais je lui souris. Il m'a vraiment manqué.

Tu ne pouvait détacher tes yeux de sur le corps de cette femme. Elle t'avait tellement manquer, tu ne l'avait jamais oublier. Lorsque tu était jeune tu était tomber amoureux d'elle. Tu t'était toujours imaginer avec elle, mais l'odeur d'un autre homme était sur elle, celle d'un léviathan, de Subaru. Le prince, elle était surement tombé amoureuse de lui, se qui se comprend. Elle avait de la chance certes, mais lui aussi en avait. Tu aurait tout fait pour gardez Lylin à tes cotés. Tu avait tellement envie, à cette instant de la reprendre dans tes bras, de sentir l'odeur de ses cheveux ... de planter tes crocs dans sa gorge, de sentir son sang se découlait dans t'a gorge.

-Toi aussi... Mais ça ne répond pas à ma question.

Rien qu'a y pensée tu en frissonne. Tu la regardait toujours avec les mêmes yeux, un sourire étendant tes lèvres fines ;

- Je venait juste ici pour me promenait.

Sans attendre, tu te rapprocha d'elle, tu ne colla nullement ton corps à elle, mais tu posa tout simplement t'a mains sur sa joue. Cette peau douce, son contact t'avait tellement manqué:

- Tu est toujours aussi belle ma chère, et félicitation.

Un sourire s'étend sur ses lèvres. La nostalgie me reprend. Qu'ai-je fais pour cela? Je ne sais pas mais cela devait être quelque chose d'important pour qu'il me laisse comme sans aucune explication. Comme un jouet cassé, une horloge rouillée étouffée par la poussière, un chiffon usagé, une chaise brisée, une couverture déchirée et puis jetée. Pourquoi? Je ne sais toujours pas après tout ce temps. Alors j'ai essayer de fermer les yeux, de réapprendre à rêver, de sourire de nouveau, de rire comme avant comme un oiseau, de sortir de mon cocon de peur et de déployer mes ailes cassées, de respirer encore une fois... d'oublier.
Sans m'en rendre compte, j'ai baissé la tête et ce n'est que la main de Zero sur ma joue qui me ramène à la réalité.
- Je venait juste ici pour me promenait. Tu est toujours aussi belle ma chère, et félicitation.
Je ne sais pas pourquoi mais même si sa main et son touché ma fait rater un battement de coeur, je ne peux m'empêcher de faire un pas hésitant en arrière tout en gardant sa paume contre ma peau. C'est un souvenir agréable qui revient, celui du temps où il me prenait par la taille et glissait ses bras autour de moi. Le temps où je plongeais mes yeux dans les siens et posais ma tête sur son torse. Mais ce temps n'est plus même si je voudrais comprendre. Pourquoi est-il parti alors que j'avais besoin de lui? Pourquoi? Qu'est ce que j'ai fais?

Il est proche, aussi proche qu'avant mais avec un peu d'appréhension je crois. Je ne peux pas lui montrer ouvertement que ça ne me dérange pas mais je ne peux pas faire semblant. Alors je ne bouge pas. Je ferme les yeux. Son compliments me fait rougir comme avant.
-Félicitations pour quoi?
Je ne comprends pas ce qu'il veut dire par là. Un reproche? Une menace? Une véritable intention? Cela fait tellement longtemps que je ne sais plus quoi penser.

La bise du Nord c'est levée. Pas un nuage dans le ciel mais un petit vent frais qui soulève les feuilles et fait tournoyer les pétales des fleurs. Il souffle dans mon dos et fait voleter ma jupe. Je plaque mes mains sur mes cuisses, par réflexe, pour éviter qu'elle ne s'envole complètement. Le vent joue avec les cheveux et les fait s'agiter devant mon visage. Je les ramène derrière mes oreilles et les replace dans mon dos pour dégager ma vue et mon cou. J'ai horreur de ces petits chatouillies dans la nuque. J'en ai a chaque fois des frissons. Pourquoi ai-je oublier de me coiffer aujourd'hui? Tête de pioche que je suis.

Je le regarde nouveau avec la même question dans les yeux:
Pourquoi m'as-tu fui?

Je t'en pris, ne me regarde pas avec ses yeux qui me demandent pourquoi. Pourquoi je t'avait laissez seule, mais j'ai tellement de raison, je pourrait te mentir mais non. J'aimerait te dire la vérité, mais je ne peut pas, simplement car moi même je ne sais pas. Ne pense pas que je t'aimer pas, je t'aimer, comme je ne pourrait certainement jamais aimer, mais se qui est sur ses que je t'es aimer, et que je t'aime surement encore.
Je me suis mentit à moi même, en fuyant, je me répéter " tu ne l'aime pas, elle ne te manquera pas". J'ai eu tord, je t'aimait tellement et tu ma manquer tellement. Je pensait que je reussirait à t'oublier mais non, tu est toujours rester dans mes pensée, enfermer. J'ai bien essayer de retomber amoureux, mais non, je me suis enfermer dans une carapace que personne ne peut plus cassez ... Quelque chose en moi ses casser. J'attendez quelque chose de cette journée, une sensation, je m'attendez surement à revoir la même lueurs dans tes yeux, la lueur qui me signifiait que tu m'aimait encore, et que tu m'avait attendue, le long de ces années.

-Félicitations pour quoi?

Tu croit que je n'est pas remarquer ? L'odeur de l'homme sur tes vêtements, dans tes cheveux, une autre lueurs est dans tes yeux. Tu m'a changer sans m'oublier complètement, tu est tombée amoureuse d'un autre homme, qui se trouve être le quatrième prince des léviathans, tu as changer de camp ? Mon rang d'hybride ne te suffisait pas ? Tu avait envie de changer d'horizon ? Mais se qui est sur, ses que tu as pus retrouver le bonheur, dans les bras d'un autre homme certes, mais ton sourire me suffit, même si se n'est pas a moi que tu l'adresse.
J'enleva ma main de ta joue sans faire attention à mes yeux qu'ils étaient plantés dans tes yeux. D'un mouvement, j'attrapa ta main dans la mienne, sans écrasez tes doigts je la mit a plat dans la mienne et l'approcha de mes lèvres pour déposer un baisez délicat. Je n'avait pas rater la vue magnifique de ta nuque, libérez par le vent. Cependant, mes instinct premier me sauta à la tête : sucez ton sang était devenue mon prochain objectifs ;

- Pour la demande en mariage par le prince Subaru.

En disant cette unique phrase, je ne détacher pas mes yeux de ta nuque, sentant par imagination ton sang se découlait dans ma gorge, hm ... Quelle divine pensée. Je tira sur ton bras pour te coller à moi. Glissa ma main dans ton dos, et approcha mes lèvres de ton cou. Je érafle délicatement la peau ou se trouvait la veine. J'approcha enfin ma bouche de ton oreille pour te parler :

- Laisse moi te sucez le sang Lylin ... J'en est toujours eu envie.

D'un mouvement vif, il attrapa ma main dans la sienne, il la mit a plat dans la sienne et l'approcha de ses lèvres pour y déposer un léger baiser. Je fermais les yeux à son contact. C'était si agréable de le sentir de nouveau si proche. Je me rendais enfin compte que j'en avais besoin. Pas que Subaru ne soit que là pour combler le vide mais que la passion que Zero et moi partagions autrefois n'était tout simplement pas sorti de ma mémoire. Je me souvenais de mes nombreux rêves où je le voyais revenir vers moi et me prendre dans ses bras. Je revoyais les étoiles dans ses yeux quand il me regardait et les paillettes aux coins des miens lorsque je levais la tête pour lui sourire. Je revoyais mes mains posées sur son torse et ma tête au creux de son épaule. Autrefois nous faisons presque la même taille. Aujourd'hui, lorsqu'il prit ma main je sentais parfaitement qu'il ne lui faudrait qu'une petite pression de l'index et du pouce pour me briser en deux.
Son baiser me fit frissonner mais pas autant que ses paroles:
- Pour la demande en mariage par le prince Subaru.
Alors il était déjà au courant. Une partie de moi me disait que ça valait mieux comme ça et l'autre me persuadait que j'aurai été mieux s'il n'avait pas été informé. J'aurai voulu faire comme avant. Mais je savais au fond de moi que ce n'était pas possible. Quelque chose s'était brisé entre nous et nous gênait pour renouer le lien.

Je lui avais toujours fait confiance. Une confiance aveugle. Mais malgré moi, j'eu peur lorsqu'il m'attira vivement à lui. J'écarquillais les yeux d'appréhension en sentant ta main puissante se plaquer sur mon dos. Ce n'avait rien à voir avec nos premières fois. C'était plus brutal, plus dangereux, plus attirant. J'aime le danger, c'est comme ça.
Ses crocs éraflèrent doucement la peau de ma nuque. Je me crispais puis sentant les larmes me monter aux yeux, me me détendais et posais ma tête sur son épaule, tout contre la sienne.
Ces temps si je pleurais pas mal même si ce n'était pas dans mes habitudes. A ce moment précis, je ne pouvais rien faire, il était devenu beaucoup plis fort que moi et me retenait d'une poigne de fer.
Je me laissais aller contre lui. Je n'ai pas d'autre choix. Mais je dépose un baiser sur son cou dans un espoir, ou une tentative, ou encore, une réelle intention. Je ne sais pas.

Pourquoi ? Pourquoi dépose tu se baiser au creux de mon cou alors que tu est marier ? Pourquoi me pousse tu a mes derniers retranchement ? Pourtant tu sais que je ne suis pas quelqu'un de patients. Mais je sais aussi que tu n'est plus à moi, que tu appartiens a quelqu'un d'autre et que ton cœur appartient aussi à cette personne. Ton corps contre le miens me promettait certaine chose, mais mets pensait ne pouvait divaguer jusque la. Cependant, ma tête ne contrôlait pas ma tête, étrange phrase.
Je posa mes deux mains sur tes deux épaules, comme si j'allait te décollait de moi, mais je ne fit pas cela, sans mouvement brusque et avec un peu de douceur. Je la poussa contre un arbre. J'aurait pus l'embrassez mais je n'en fit rien. Je ne pouvait détachez mes yeux de ses yeux, ceux que j'avait tellement aimer. Mais une autre idée avait germer dans mon esprit. Approchant ma tête de ta nuque offert je murmura un :

- Désolé Lylin.

Puis planta mes crocs dans ton cou blanc. Je sentit ton sang se découlait dans ma gorges, ma langue accueillait avec autant de plaisir se sang chaud. Ton sang. Depuis tant de temps je rêver de mettre, d'enfoncer mes crocs dans ton cou. De goutter ce liquide. Je ne savait pas si je faisait mal, mais j'aimait beaucoup mieux ne pas y penser, c'était pour moi un réelle plaisir. Je buvait toujours. Cependant, a un moment, je me rendit réellement compte de ce que je faisait. J'écarquilla mes yeux et me retira en vitesse et me jeta en arrière, en passant devant mes crocs ma main pour me mettre dos a toi :

- Lylin ...

Il attrapa mes épaules d'une poigne ferme et résolue, me plaqua contre un arbre. Notre premier baiser émergea de ma mémoire. Cela c'était passé presque de la même manière sauf que l'issue n'avait pas été la même. Il me fixait toujours de ce regard suprême qui m'avait tellement bouleversé la première fois que je l'avais croisé. Ce regard enjôleur. Ce regard magnifique. Ce regard angélique. Ce regard triomphant quand j'étais finalement tombée dans ces bras. Ce regard émouvant. Ce regard chaleureux. Ce regard passionné. Ce regard déterminé. Ce regard courageux. Ce regard tendre mais décidé. Ce regard irrésistible. Ce regard amoureux.
-Desolé Lylin.
Puis il planta ses crocs puissants dans mon cou. Je murmurais, le visage enfoui dans son épaule:
-Ne soit pas désolé... Si je t'ai fait du mal je ne vaux pas mieux que les autres... Ne soit pas désolé... Je comprends que tu te comporte comme cela et je ne t'en veux pas... Je t'en supplie ne soit pas désolé...
Lui en vouloir? J'en serai bien incapable. C'était ma faute s'il était partit et maintenant qu'il revenait, je me haïssais et souhaitais qu'il ne s'arrêta jamais de se nourrir de moi. S'il y avait bien une chose que je pouvais faire pour lui maintenant: c'était ça.

Je m'abandonnais à ses bras, le laissant se repaître de mon sang. Ça faisait mal mais pas aussi mal que ce que j'avais dû lui infliger en me fillançant avec le prince léviathan. Ce qu'il devait endurer était pire que toutes les blessures, toutes les tortures. C'était inhumain.
Je sentais peu à peu mes forces m'abandonner et mes jambes trembler. Je n'arrivais même plus à lever la tête. Le visage crispé par la douleur physique des crocs et mentale des reproches interminables que je m'octroyais. Je me reposais entièrement sur lui. J'avais besoin de lui.
Puis, d'un seul coup, il me lâcha brusquement et s'écarta de moi comme si j'eu la peste noire. Ne tenant plus debout, je m'affalais au sol comme un chiffon. Il me tournais le dos mais je sentais bien qu'il était de nouveau torturé entre deux idées. Qu'avais-je encore fait pour le mettre dans cet état? Je devais réellement être quelqu'un de foncièrement méchant pour ne jamais pouvoir lui accorder de répit.

-Lylin...
Non, je t'en supplie, ne soit pas triste! S'il te plaît! Soit heureux pour une fois! Ne reste pas avec moi si je te fais souffrir à ce point... voilà ce que j'avais terriblement envie de lui dire. Mais je savais qu'il n'en était rien. Je me mentais à moi même. C'était très égoïste de ma part mais je voulais, tout au fond de moi, qu'il reste à mes côtés.
Au bord de l'évanouissement, je lui attrapais la cheville faiblement.
-C'est moi qui suis désolée... Je te demande pardon... Zero... Excuse moi...

Je le lâchais et fermais doucement les yeux. Une larme au coin de l'oeil.

Pourquoi j'avait fait sa ? Pour quelle raison ? Pourtant je n'avait aucuns remords, aucune raison d'avoir un remords. J'avait toujours le gout de ton sang dans ma bouche, j'avait beau passé ma langue sur mes crocs pour chasser se gout, que j'aimait tant, mais mon cerveau faisait tout pour me la remettre en bouche. Cet alors que tu m'a attraper ma cheville, pendant que tu était allongés à terre, le cou ne déversant peu de sang grâce au jus que mes crocs avaient créent pour arrêter les saignement. Je tourna mes yeux gris vers tes yeux noir, ces yeux que je trouvait si magnifique. Je m'accroupis a tes cotés et, saisissant tes épaules, je te redressa, te collant a l'arbre sans violence.

Mais je continuez a te regardait, frôlant les trous fraîchement crée par mes propres crocs avec mes doigts. Je ne pouvait rien faire pour accéléré le processus de cicatrisation, mais tu n'en garderas aucune trace, tu peut en être sur. J'attrapa du bout du doigts la larme sur ta joue, je t'en supplie ma princesse, ne pleur pas. J'amena mon doigt a ma bouche, le gout salé de tes larmes me fit tomber les bras. Je venait de te faire pleurez, tu avait dut pleurez quand je t'avait abandonné. J'en suit désolé. Je glissa ma main dans ton cou. Je planta mes yeux dans les tiens :

- Tu n'a pas à t'excuser ma chère, je doit moi m'excuser, de t'avoir abandonner ... Et je m'excuse pour sa aussi ...

J'approcha mes lèvres de tiennes, déposant un baisez dessus, comme sa m'avait manqué cette pression sur tes lèvres. Pourtant je sais que tu ne m'appartiens plus, tu n'est plus a moi. Tu es a cette homme, qui est prince désormais. Tu est surement heureuse avec lui, mais mes lèvres sur les tiennes en disent surement long, et pleines de questions passe et repassent dans ma tête. J'avait réussis a te rendre heureuse ? M'excuse tu de t'avoir abandonner ? J'en doute fort. Quand je séparèrent nos lèvres, je te prit dans mes bras et te serra contre moi :

- Pourtant je sais que tu n'est plus à moi ...

Il m'attrapa de nouveau par les épaules et me reposa contre l'arbre cette fois avec douceur. Il effleura mon cou meurtri me faisant frissonner et sourire timidement en même temps, comme lorsqu'il glissa sa main sur ma joue. Je fermais de nouveau les yeux et savourais son contact.
-Tu n'a pas à t'excuser ma chère, je doit moi m'excuser, de t'avoir abandonner ... Et je m'excuse pour sa aussi ...

Je rouvris les paupières à ses paroles et sentis alors ses lèvres pressées contre les miennes. C'était doux, chaud, apaisant, envoûtant, réconfortant. Alors, je n'avais pas complètement disparu de son esprit. Je ne l'avais donc pas totalement perdu. Bien ou mal? Qu'est ce que j'en ai à faire?
Certes, ce n'était pas du tout conforme pour une jeune fiancée mais là je n'avais pas tellement envie de suivre les règles. Même si Subaru me tuerai certainement s'il l'apprenait.
Lorsque Zero se détacha à moi, il me prit dans ces bras et me serra contre son camp coeur.
- Pourtant je sais que tu n'est plus à moi ...
Je me dérobe à son étreinte et pose mes mains sur son visage, je le tourne vers moi pour plonger mes yeux dans les siens.
-C'est vrai, je t'ai attendu... Mais je ne t'ai jamais oublié et je ne t'ai jamais détesté... Même si j'ai eu peur, froid, j'étais en colère ou que j'étais désespérée: je ne t'en ai jamais voulu... j'avais simplement peur que tu me rejettes si j'essayais de te retrouver.
Je caressais doucement sa joue avec un sourire triste sur le visage. Et comme un espoir, une demande, une envie, je posais à mon tour mes lèvres sur les siennes.
-Jamais... jamais...

Lylin ... ma chère et douce Lylin ... Pourquoi m'embrasse tu aussi intensément ? Tu n'est plus à moi, tu est amoureuse d'un autre homme. Cet homme t'aime, et ne t'abandonnera surement pas comme je l'es fait. Pourtant, tes lèvres si douce sur les miennes ne peuvent me dire que des promesses. Je ne bouge pas, laissant seulement nos lèvres restait en contacte. Je ne peut pas m'en empêcher. Le mieux serait que je t'attrape par les épaules, que je te pousse, te disant que ce n'est plus possible entre nous. Tu aime le prince, tu ne m'aime pas moi. La preuve, tu as eu peur à cause de moi ... Et tu réussi tout de même à me pardonner.

Je glissa mes mains dans ton dos, pour les remonter sur tes épaules, les saisissant je te poussa délicatement, séparant nos lèvres de se baisez si chaleureux. Je regarde tes yeux si sombre par rapport au miens. J'attrape ta tête entre mes mains et déposa un délicats bisous sur ton front. J'aurait véritablement aimer que ce baiser dur longtemps, tu est surement la seule femme que je puisse aimer et qui puisse m'aimer. Mais voit tu, je tes fait du mal, et cela me fait du mal a moi. Je ne peut pas rejeter ce que nous avons vécue ensemble, mais tu est désormais fiancée. Je déposa mon front sur le tiens pour fermer mes yeux :

- Ma chère Lylin, se n'est pas raisonnable, ton fiancé ne serait pas heureux si il découvrait cela... Je suis désolé de t'avoir abandonné, mais sache que c'était que j'avait peur de m'attachez trop fort a toi j'ai décidait de partit, surtout que je voulait boire ton sang.

Sur ces dernière paroles je recula, en te lâchant et te fit dos. Une mains posait sur ma tête levé, je réfléchissait, rester et continuait cette journée a tes cotés, ou partir et rêver que tu est a moi ... Choix difficiles.

Ce baiser dure une éternité il me semble. Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça. Cela ne fait que souffrir Zero plus qu'il ne souffre déjà et cela est totalement absurde, égoïste. Comment ai-je pu devenir à ce point malveillante envers les gens que j'aime. Par ce baiser je le faisait souffrir mais je brisais aussi Subaru et sa famille royale ainsi que tout les espoirs et intentions que d'autres gens avaient placés en moi. Je n'étais ni digne de mon ex ni digne de mon fiancé. Je ne valais rien. Pas même l'estime de quelqu'un.
Zero se détacha de moi et deposa son front sur le mien
- Ma chère Lylin, se n'est pas raisonnable, ton fiancé ne serait pas heureux si il découvrait cela... Je suis désolé de t'avoir abandonné, mais sache que c'était que j'avait peur de m'attachez trop fort a toi j'ai décidait de partit, surtout que je voulait boire ton sang.

Puis il se leva et s'éloigna quelques peu. Je le regardais d'un air triste. Comment avais-je pu tout casser entre nous. De nouveau je n'avais été que le fléau de notre relation. Zero pardonne-moi je n'aurai jamais dû te rencontrer, ainsi tu n'aurait jamais souffert par ma faute et nous n'en serions pas là maintenant.
Avec grimaces et difficultés, je me levais et m'avançais vers lui. Je résistais à l'envie de le prendre dans mes bras mais je me contentais de lui effleurer le dos du bout des doigts.
-Je suis une sote. Je n'aurai jamais dû te dire oui la première fois. Là tu n'aurait jamais enduré tout ça... c'est ma faute... j'aurais dû le voir venir. Je te demande pardon...
Je suppliais ma dernière phrase à genoux, les mains sur le sol, l'air désemparé fixé sur la terre, les cheveux dans les yeux et pleurant au travers.

J'écoutait tes paroles, j'entendait tes larmes coulait au sol. Lylin, tu continue à me pardonné et regarde, je continue tout de même à te faire pleurez. Je voudrait tant rester à tes coté, comme avant, mais tu sais, mieux que moi, que je ne peut pas. Tu as Subaru, un homme bon puisqu'il est princes, mais de mon coté je suis un hybride, une affreuse créature. En entendant tes sanglots, je me retourner vers toi. Tu est accroupis a terre, les mains posait la, tes cheveux caches ton beau visage, et des larmes embrume tes beau yeux.

Je m'accroupis devant toi. Te relève le menton avec ma main. Je mets tes cheveux derrières tes oreilles, je sèche tes larmes et te redresse. Tu est bien mieux comme sa ma chère Lylin. J'attrape tes épaules en souriant, tu n'a vraiment pas changés d'avant. Mais les dernières paroles que tu as prononcé me revienne en mémoire, "Je n'aurai jamais dû te dire oui la première fois. Là tu n'aurait jamais enduré tout ça... c'est ma faute... j'aurais dû le voir venir. Je te demande pardon...". Mais en disant oui tu ma changés, tu ne ma fait aucune mal, tu ma fait que du bonheur, ses moi le fautives dans l'histoires, tu as réussit à retrouver le bonheur, moi non. De toute façon je ne le recherche pas se bonheur, de peur de créait le malheur autour de moi :

- Ne t'inquiète pas Lylin, tu n'a fait que le bonheur et je t'en remercie, tu m'a changé. Mais arrête de pleurez sa me fait perdre tout mes moyens!

- Ne t'inquiète pas Lylin, tu n'a fait que le bonheur et je t'en remercie, tu m'a changé. Mais arrête de pleurez sa me fait perdre tout mes moyens!
Il avait séché mes larmes et m'avait redressé par les épaules. Il avait coincé mon menton dans ses mains, passé mes cheveux de nouveau derrière mes oreilles. Mes cheveux... Le dernier rempart qui me permettait de me cacher... de cacher mes sentiments, mes peurs, mes envies, mes doutes et tous les émotions qui se bousculent en moi tout le temps... Le dernier rempart entre mon coeur et les autres... Le dernier rempart qui m'empêchera d'éclater au grand jour... qui m'obligera à baisser les yeux, à fixer mes pieds, à faire semblant que tout va bien quand ce n'est pas le cas... Depuis ma naissance ils n'ont été que deux à pouvoir me forcer à enlever à moitié le masque de la fille qu'ils voient, mais ce n'est jamais totalement et je sais que si je perds cette protection précaire, je les perds tous et je me perds moi...
Je suis une bombe qui va explosé au bout d'un moment... on ne peut pas m'en empêcher... je peux juste essayer de faire le moins de victime possible...

Je lève les yeux, je les plonge dans ceux de celui que j'ai tant aimé et que j'aimerai sûrement jusqu'à la fin de mes jours. Il faut que je sois forte. Ce n'est pas facile. Mais c'est nécessaire si je veux le sauver de moi.
Je ferme mon visage dans une expression de dégoût mêlé à la tristesse et à la douleur.
J'ai pris ma décision. Je murmure en crescendo jusqu'à hurler.

-Va t'en! Va t'en! Va t'en! Fuit moi! Je ne veux plus jamais te voir! Va t'en! Ne te retourne pas et fuit moi! Va t'en!!!!

Ça y est je n'ai plus de voix. Mes cheveux sont de nouveau dans mes yeux. Protégée. Il n'a plus rien à craindre. Je le repousse et le jette à terre loin de moi. Comme une furie.
Il faut qu'il me déteste se sera moins douloureux pour lui de partir.

Pourquoi dit-tu cela ? Pourquoi te fait tu souffrir ? Pourquoi te fait tu pleurez ? Pourquoi dit-tu tout ces mots ? Qui ne sont pas vrai ? Pourquoi les dit tu, alors que tu sais que je ne vais pas t'écouter ? J'attrapa ta tête entre mes mains, je ne peut pas t'abandonné ainsi, en larme, se serait indigne de moi. Pourtant je tes dit que je ne pouvait pas te voir pleurez, que sa me faisait perdre tout mes moyens. Alors je t'en supplie, cesse de pleurez, je ne veut plus voir le chagrins baignez dans tes yeux, je veut te voir rire, certes tu ne sera pas heureuse grâce a moi, mais grâce à un autre. Mais au fond, je m'en fiche, je m'en fiche tant que tu est heureuse.

Je leva pour une seconde fois sa tête, regardant tes yeux sombre, je voulait tirez un trait, tirez un trait sur notre passé, sur notre relation. Je veut que l'on reste ami, je veut que l'on continue à vivre, nous voyant a tout vas, mais que plus jamais je ne sente mes lèvre sur les tiennes, plus jamais je ne veut sentir ton corps contre le mien, plus jamais je ne veux être la personne qui te fait pleurez, plus jamais je ne veut que les battements de nos cœur se mêle pour se réunir en un seule, syncro. Je continuait a te regardait dans les yeux et te souria :

- Lylin tu t'entend parlait ? Jamais je ne t'abandonnerait, je tes déjà fait mal une fois, alors je t'en supplie accepte qu'on soit ami. Je sais qu'on sait aimer, et tu est seulement la seule fille que j'aimerait ainsi, mais je ne veux pas qu'on se remette ensemble, et de toute façon sait impossible, tu as découvert l'amour avec quelqu'un, sache que de mon coté je n'est pas rencontrer une autre fille et n'en rencontreras surement jamais. Alors je t'en supplie ne me dit plus de partir, de te laissez pleurez seule, je suis un ami et j'ai une épaule pour sécher tes larmes. Si tu ne veut pas que l'on reste ami, alors je donnera fin a ma vie, la mort est une romance qui m'appelle depuis que je t'es abandonner.

Les yeux pleins de fureur, mes petits poings tapant misérablement sur ton torse, la tête baissée:
-Non non non... je murmure.
Pourquoi? Pourquoi est ce que tu ne m'écoute jamais quand il faut? Pourquoi est-ce qu'avec toi je rate tout? J'ai gâché notre relation. J'ai gâché ta vie, toi même tu me l'a dit. J'ai gâché celle de Subaru. Celles de mes amis. Celles de mes proches. Celles de mes ennemis. Celles de mes parents. Celles du monde que je touche.
Je continue avec mes faibles points contre ton torse puissant contre lequel je ne peux rien. Je suis faible. Tellement faible. Je ne peux même pas faire face à mes propres problèmes alors à quoi bon s'acharner. Je me dégage de ta poigne sur mes épaules. Je me dérobe. Je tourne le dos. Je suis faible.

Je fais quelques pas. Le temps de m'essuyer les joues. Un peu de courage. C'est tout ce qu'il me faut. Du courage.
Je me retourne, les sourcils froncés, le front barré d'un plis soucieux, les lèvres pincées. Je dois le faire pour toi, pour nous, pour les autres.

-Tu ne comprends rien!... Je t'interdis tu m'entends! Je t'interdis de mourir pour moi ou pour qui que ce soit d'autre! Si la Vie vaut aussi peu à tes yeux qu'une pauvre idiote dans mon genre alors pourquoi ne pas t'accompagner et suivre le Destin de la fin de ma vie? Ça ne rime à rien! Alors je te l'ordonne si tu as encore un peu de pitié pour la Vie, va t'en! Je ne vaut guère plus qu'une autre! Remplace moi! Oublie moi! Fuis moi,  ça vaut mieux pour toi...  Je ne veux plus jamais te faire du mal quel qu'en soit la raison ou la manière... Si tu m'aimes encore, va t'en!  Je ne fais que te protéger!

Lylin, pourquoi dit tu tout sa ? Pourquoi tu te fait du mal et tu m'en fait aussi, et sa, tu en est plus que consciente ... Ma vie ne serait pas comme elle est si tu n'est pas la. Tu m'a apprit a accepter mon tatouage, tu m'a apprit à apprendre a aimer, ce sentiment que je ne connaissait pas. Tu ne peut pas me quitter comme cela, tu ne peut pas dire que je n'est pas de pitié pour la vie. La vie elle même n'a pas eu pitié de moi, alors je n'en n'aurait pas pour elle. Je me leva au moment ou tu te leva, je voyait bien que je t'avait mit en colère, alors que ce n'était pas mon intention première.

Je m'approcha de toi, sans te toucher. Ce n'est pas que je ne voulait pas, s'était tout simplement parce que j'avait peur de te toucher, de me coller à toi. La seule chose que je prit dans mes bras fut l'un de tes poignets, sa violence je l'attira vers moi et posa ta main à l'endroit ou il y avait ce tatouage plein de mystère, je ne l'aimer pas mais tu m'avait appris à l'accepter. Je te regarda en souriant :

- Si je reste en vie, promet moi qu'on ne dispute plus. Ma vie ne mène à rien si tu n'est pas la, ses grâce à toi que j'ai appris a l'accepter ce tatouage.

Je lâcha ton poignet et m'accroupis comme si j'allait te faire une demande en mariage. Mais à la place je replia mon bras qui aurait dut être tendue sur mon torse et baissa la tête en fermant les yeux :

- Lylin, accepte tu de reste ami avec moi, un simple hybride et je t'en prit ne crie pas.

Tu ne m'écoute toujours pas. Mon dieu qu'est ce que j'ai fais. Tu m'as rattrapé et tu as pris délicatement mon poignet pour poser ma main sur ton cou là où il y a ton tatouage.
- Si je reste en vie, promet moi qu'on ne dispute plus. Ma vie ne mène à rien si tu n'est pas la, ses grâce à toi que j'ai appris a l'accepter ce tatouage.
Je ne t'écoute plus moi non plus. Je ne te regarde pas. Je sais que ce que je vais voir me fera mal. Je ne veux plus te faire souffrir. Je ne peux rien te promettre. Qui sait quand cette promesse ne tiendra plus et que tout recommencera? Je ne veux plus te faire souffrir.
- Lylin, accepte tu de reste ami avec moi, un simple hybride et je t'en prit ne crie pas.
Un simple hybride? Tu te fiches de moi là! C'est pas possible que tu ais dis ça. Je ne veux plus t'entendre dire des bêtises aussi énormes.
Je ferme les yeux.
Je suis un monstre. Un monstre sans coeur. Un monstre sans sentiments. Sans pitié. Sans amour. Sans raison. Sans tout. Sans toi. J'ai réduis des vies à l'état de poussière. J'ai volé des coeurs. J'ai arraché des sentiments. Je ne vaux rien. Et ça il faut que tu l'acceptes.
Je suis un monstre qui ne rate jamais une occasion de faire le mal autour de moi. J'ai blessé Subaru par le simple fait de mes actes aujourd'hui. J'ai blessé mes parents par le simple fait de mon existence. J'ai blessé mes amis par le simple fait de mes pensées. Je t'ai blessé toi par le simple fait que tu me vois.
La Vie ne devrait pas se retirer pour toi. Mais pour moi, elle n'a aucune raison de ne pas le faire. Oublie moi! Je ne t'en veux aucunement d'être parti! Tu avais tes raisons et je ne vais pas les remettre en cause! Mais si jamais tu as le malheur de me recroiser: fuis. Fuis le monstre que je suis.

Je me recule précipitamment. Non. Je ne peux rien te promettre à part que tu ne me verras plus. Mes yeux lancent des éclairs. Je te regarde avec dégoût. Ce n'est certainement pas la chose la plus simple à faire mais elle doit être exécutée.
Je vais couper les liens entre nous. Ainsi tu sera libre et je ne te ferai plus souffrir inutilement.

-Ce tatouage? N'as tu jamais remarqué à quel point il me faisait horreur? C'était la marque évidente que tu n'étais pas normal. Alors dis moi pourquoi as tu arrêté de te découper la peau? C'était beaucoup plus plaisant et accommodant. Je préférai encore quand nous ne nous étions jamais vu. Ça m'aurai éviter tout ça. crachais-je avec un air de dédain.
Ça va te blesser. Encore. Ça pourrait même t'anéantir. Mais au moins tu seras libre.

Déteste moi je t'en supplie. Déteste moi...

Je te regardait Lylin, j'essaye tellement de comprendre pourquoi, pourquoi tu dit tout sa ? Pourquoi tu ment ? Pourquoi tu te fait du mal ? Tu me connait pourtant, je suis quelqu'un qui n'aime pas faire du mal au personne. Je te regarde, je tes fait du mal en partant, mais ses pour ton bien, et je pensait que c'était bien aussi pour moi, je n'est pas cesser de t'oublier, de pensée a toi sans même penser à ce que toi tu pensée de cela. Je t'avait quitter, voulant partir loin de toi, ne voulait plus te faire du mal, ne voulant plus te voir m'aimer, ne voulant plus t'aimer. Je ne voulait plus voir l'amour que tu me porter se reflétait dans tes yeux, je ne voulait plus sentir tes lèvres sur les tiennes, je ne voulait plus sentir nos deux corps entrelacés, je ne voulait plus déposait mes mains sur ton corps et je ne voulait plus m'entendre te murmurez que je t'aimait, et que tu était a moi, je ne voulait plus tout sa, du moins ces ce que je croyait. Tu aimait voir mes ongles plantait dans ma peau de tatouages ? Je t'attrapa la main et m'approcha de toi, sans te coller a moi :

- Tu aimait me voir me déchiquetez la peau ?

Je planta tes ongles dans mon tatouages, et fit des griffure, je lâcha tes ongles, qui avait maintenant mon sang dessus. Je continuait le travaille, m’entamant la peau en souriant et je te fixait en souriant, mon cou saignait.