Une journée dure (William-Ayato)

William leva le regard vers Ayato et souria quand il sentit la douceur de la couverture sur son dos, il posa l’arrière du crâne contre le coussin tendre. Il leva les mains et les posa sur ceux d’Ayato qui reposaient chaleureusement sur ses joues. Il se perdait dans ses yeux, et voyait comme leur futur passer dans ses pupilles, si c’était possible. Les merveilles qu’il pourrait être, qu’il pourrait avoir, et certainement qu’ils auront s’ils sont réellement tout ce qu’ils clament être. Il leva ses propres mains et caressa les joues d’Ayato, dans une motion circulaire avec les pouces. Il sourit :

« Je te réserve tout mon amour. Mon tout te revient, et je n’oserais le partager avec n’importe qui d’autre. Mon coté se retrouve à coté du tien » Il sourit un peu à ses propres mots, comme s’il oserait le dire à quelqu’un d’autre. Il passe les mains contre ses joues et les glisses dans ses cheveux « Aller, je peux devenir super nianian et te dire trois milles trucs ; mais ca se résume juste en : Je t’aime et je t’aimerais toujours »

Ayato était fière de lui, fière du fait qu'il pouvait tomber amoureux, fière que l'homme qu'il aime, l'aime aussi. Il pouvait rester ainsi, pendant toute sa vie, maintenant, à regarder les yeux de William, vouloir s'y perdre, rester penché sur lui, comme un homme combler, comme l'homme combler qu'il était. Passant ses doigts dans les cheveux de William, il dégustait la douceur de ses cheveux entre ses doigts. Il se baissa pour embrasser son front, le coin de ses yeux, ses joues, le coin de ses lèvres puis descend pour embrasser son coup en souriant, léchant les cicatrises qu'il avait fait en buvant le sang de Will qu'il aimait tant. Il se redressa, pour être au niveau de son visage et l'embrassa tendrement et amoureusement :

- Je t'aime Will, je te jure que si tu aime un autre homme je le tue et je te kidnappe.

Will ria à cela. Ola, un homme. Si on lui avait dit il y a 3 ans, qu’il allait sortir avec un homme, un Léviathan en plus, il ne l’aurait pas cru. Se marier, se rappela-t-il. Ils ne sortaient plus juste ensemble, ils n’étaient jamais juste sortit ensemble ; ils allaient se marier. Rien que d’y pensait, le sourire réapparut sur son visage. Il glissa ses mains sur les joues d’Ayato et le tira plus prêt de lui. Il l’embrassa doucement en disant :

« Si tu me vois avec un autre homme, c’est surement que je veux mourir. Et chérie, kidnappe moi et tue moi après ok ? Je ne préfère pas t’imaginais entrain de kidnapper une carcasse » Il souria. Comme s’il irait avec un autre. Il n’a pas besoin d’un autre ; et si par malchance il se retrouve tout de même à être avec quelqu’un d’autre, ca sera surement un viole et certainement contre sa volonté.

Au douceur des lèvres de l'humain sur les siennes, les ailes des papillons dans son ventre caressa la parois comme une douce torture. Il aimait Will, il avait réussis et juste pour cela il en était fière. Il espérait seulement qu'il ne fasse pas comme cette garce, même si avec elle, il n'avait jamais parler de cela, il était heureux aujourd'hui, et personne ne pourrait changer cela. Il caresser doucement les joues de Will, ses cheveux jusqu'à sa nuque. Il aimait cette homme, il en était désormais sur. Il l'avait su au moment ou il avait vue les bras de Will en sang. A ce moment, il avait connue une grande, atroce douleur au cœur qu'il n'avait connue qu'une fois. Il ne voulait pas perdre se humain, il l'aimait, et jamais il ne pourrait lui faire du mal. Il se baissa pour coller leurs fronts :

" Bon Dieu que je t'aime William. "

Will le sentit en lui, depuis si peu maintenant, mais il le sentait. Il souria à pleine dent, le visage illuminait entièrement. Son cœur battait fort mais régulièrement, au rythme de l’homme qui allait devenir son époux, son deuxième, son âme sœur, son tout. Il glissa les bras autour de son cou et le serra contre lui dans une motion de joie pure, rigolant parceque sourire juste ne suffit plus. Il embrassa le coin de son visage, toute la peau qui passait sous ses lèvres. Il murmura :

« Purée s’il existe un dieu parfait il t’a donné une partie de lui-même. Je t’aime je t’aime. Je t’aimais le premier jour, je t’aimerais le dernier aussi. Reste pour toujours avec moi ? » Une promesse d’éternité, il l’espérait. Une éternité courte, à compté sa race mais il prit tout de même pour.

Le sourire qui était sur les lèvres du prince était du plus réelle et profond. Il aimé cette homme comme tout, c'était sa moitié, son tout, son être, il le connaissait mieux que tout le monde (sauf Subaru bien sur ). Jamais il n'aurait pus imaginer tomber amoureux ainsi. Il lui caressa sa joue, d'un coup il était beaucoup moins presser pour le prendre. Il voulait déguster cette homme comme on pouvait le faire, déguster ce moment qu'il avait tant attendu. Il caressait sa jour, aimant cette caresse, petite soit elle. Il voulait l'aimer, il voulait lui faire plaisir, le voir sourire mais oh bon dieu ne plus jamais le voir pleurer. Il se baissa pour chuchoter à son oreille :

"Je resterais toute ma vie à tes cotés, jamais je ne pourrait autant aimer quelqu'un "

William ferma les yeux, pressa la joue dans sa main, un peu comme un chat, un sourire honnête et beau sur le visage, alors qu’une teinture légèrement rosé colore ses babines. Il pose la main sur celle d’Ayato et tourne la tête pour poser un baiser dans sa paume. Il garda la main devant ses lèvres et ouvrit des yeux de pur bonheur dirigé vers lui. Il glissa l’autre main autour de son cou et le tira un peu plus vers lui, le couchant à coté de lui pour qu’ils soient au même niveau. Il posa la tête sur son bras et le regarda dans les yeux. Il se pencha en avant et l’embrassa tendrement.

« Moi non plus. Pour toujours »

Le cœur d'Ayato déborder pour la première fois d'un amour sincère et doux. Pour lui, William était spécial, à part être le premier homme et le seul avec qui il l'avait fais, il l'aimait de tout son cœur, et c'est pour cela que Will est spécial pour le prince. Il avait réussit à faire naître en lui un sentiment qui était pour lui inconnu et tellement rechercher, et c'est exactement pour cela qui l'aimait tant. Se mettant sur l'épaule pour le regarder, Ayato caressa son visage comme si il avait était en porcelaine, voulant dégustait se moment. Il se baissa et embrassa sa joue aussi tendrement que possible :

- Bordel que je t'aime William Gara... William Hashimoto

William sourit à ca, et caresse leurs mains ensemble pour que leurs bagues se frôlent avec un petit grincement.

« Pas encore » Dit-il mais son cœur est déjà empli avec le sentiment, et il se sent déjà officiellement lié à cet homme « Mais bientôt. Je ne peux pas attendre, j’ai déjà tellement hâte ! »

Il posa la tête sur son torse, interloquant leurs doigts avec chaleur.

« Tu peux déjà le voir non Aya ? On sera le couple Hashimoto ensemble. Le plus beau couple du royaume je suis sur. On sera magnifique. Puis…on pourrait..peut-être avoir une maison..juste à nous.. fin si ca te dit bien sur »

Tout le corps du prince sentait qu'il était lié à cette homme, on pouvait dire se qu'on voulait, Ayato était follement amoureux, impossible soit il. Les doigts interloquait avec ceux de William faisait comme une flamme, du feu, partant de ses doigts pour parcourir son corps dans d'agréable frisson qu'Ayato pouvait sentir passer en lui. Il serra dans une chaude étreinte la main de William, bien sur qu'il voulais vivre dans une maison a part avec lui, et si ils auraient pus, ils pouvaient même faire une famille. Embrassant son crane, Ayato murmura :

- Une maison a nous, oui l'idée me plait, et même si tu veut on pourrait même avoir des enfants!

William rigola à l’idée. Des enfants… Ils avaient toujours voulus des enfants. Une image d’idole surement qu’il portait en égard à son père défunt. Il a Yukine bien sur, son petit gamin adopté qui mange des sandwichs particulièrement toxiques, et qui est sarcastique mais au fond il est mignon et a surement juste besoin d’un coup de même. William réalisa qu’il allait devoir présenter son fiancé à son fils, il souria tout seul et répondit :

« J’en ai déjà. Fin c’est une manière de le dire. J’ai un fils adoptif, dur à croire que je ne t’en ai jamais parlé. C’est une situation spéciale, mais oui… j’ai un fils ; et quand on sera marié, tu seras le deuxième père. Alors tu auras un fils aussi »

Ayato le regardait en souriant, Will avait donc un fils adoptif ? Il ne doutait pas que son fiancé était surement l'un des hommes sur cette terre à pouvoir mieux faire le rôles de père. Il serra de plus en plus la main de Will, comme si il voulait se forgeait l'idée qu'il était bien la, à ses cotés. Il se décala, pour pouvoir embrasser son front tendrement, comme si le crane de l'homme qu'il aimait était en porcelaine, comme si dés que ses lèvres allait touchées sa peau, elle se briserait comme dans un songe. Parce que, oui, pour Ayato, il était comme dans un songe, le fait que Will était à coté de lui était un songe, le fait qu'ils portent, tout les deux, le même anneau au même doigts était en songe. Donc cela est normal qu'il veuille se fortifier l'idée que non s'était bien la réalité :

-Comment il s'appelle ?

William repensait à leur rencontre. Et bon dieu merci que l’humain à un goût impeccable pour la nourriture sinon ils se seraient jamais rencontrés. Petit garçon qui l’appellera peut-être jamais papa. Pas grave. Le sentiment y est et au fond c’est tout ce qui compte. Il sourit et répond :

« Yukine il s’appel. Il est encore jeune. 11 ans à peu prés » Il se coucha, ferma les yeux contre l’épaule d’Ayato puis respira. Hakuna ma- Toc Toc. Il releva la tête, peur faible dans les yeux. La porte s’ouvrit et Subaru rentra comme si le lieu était le sien, et qu’attendre une autorisation d’entré est entièrement futile. Il se posa, le flanc contre le lit et regarda les deux.

« Comme c’est chou » Dit-il puis passe une main entre ses mèches « T’as gagné la bonne humeur de maman chérie, elle engueule chaque passant. C’était drôle un moment mais là ca lasse. Mais elle a vaguement sortis un truc comme quoi elle allait virer cette abomination – sans te vexer William »

« Pas de soucis »

« Donc virer cette abomination du château à coup de ballet. Alors je viens t’avertir »

Ayato écoutait en silence Will, il voyait que son fiançé était fortement attachés à se petit garçon dont le prénom ne lui disait pas rien. Il connaissait son prénom, mais il reflétait une certaine pitié pour une serveuse du palais ... Qui avait perdue il y as de cela très longtemps, enfin 5_6 ans son amie d'enfance, oui c'était bien cela, Yukine était l'enfant mort dans les bras de la servante de Laito : Elahe. Ses pensés fut couper par des toquements à la porte et il se redressa, enmennant Will avec lui pour pouvoir regarde Subaru parler correctement. Un rire sortis entre ses lèvres, comme si il allait laisser sa mère foutre un coup de balais à l'homme qu'il aime. Il serra Will contre lui tendrement et balla :

*Qu'elle vienne je l'attend, tu vas voir se que je vais lui faire à son balais *

Subaru hocha la tête et s’asseya après avoir passé la main sur le lit pour en virer les impuretés. Automatiquement William se glissa un peu plus prêt d’Ayato pour lui laisser la place. Subaru répondit en se posant :

« Oui je lui ai dit que si elle cherchait un balais elle pouvait sortir celui qui est coincé dans un certain orifice. Elle n’a pas apprécié » William éclata de rire aux dires du jeune Hashimoto. L’idée que ce dernier dise cela à sa mère l’hilaré en grande partie. Il dit :

« Tu es un fou Subaru, je t’adore » Subaru haussa modestement les épaules :

« La folie c’est relatif » William lui lança simplement un sourire.

Le geste de virer les "impuretés" de son lit fit rire légèrement le jeune prince, alors que la réplique de son frère le fit relativement éclater de rire. Il aimait le tact de Subaru, bien que se soit normalement son grand frère qui devrais lui montrer l'exemple, le prince lui montrer, mais dans le mauvais passage, enfin dans le mauvais sens. Ayato, même petit, faisait toute les bêtises de son frère aîné et cela pouvait relativement énerver leurs nourrices (car oui, lorsqu'on as eu plusieurs frères avant soit, la chère reine s'est lasser d'éduquer des garçons sans même accepter son unique fille). Le prince passa une main dans ses cheveux pour se pencher et regarda Subaru en souriant :

*Et tu t'étonne qu'elle soit de mauvaise humeur ? Parce que, oui, William tu doit le savoir, mon frère à le tact de mettre maman en colère, quand elle est de bonne humeur :Enfin même si elle ne l'est jamais"

Il s'arrêta pour penser quelques seconde :

*N'avait-elle pas dit que tu devrais partir du palais avec Lylin pour vivre ailleurs, et pourtant te voila là, posant tes dignes fesses sur mon lit et ta femme étant avec surement dehors ou dans la chambre. Donc qu'elle parte, si j'ai envie de vivre ici, je vit ici point*

William lança un sourire à Ayato en entendant les paroles. Il ne doutait pas une seconde de l’attitude de Subaru ; le reconnaissait même assez et le comprenait d’autant plus. Il était tout de même étonné d’entendre qu’il avait était renvoyé avec sa femme. Subaru de son coté réagit à peine et regarde autour de lui au lit. Il répondit neutrement :

« Oui tu as bien raison. Mes fesses sont dignes » Il fit un mouvement vague de la main

« Tu fais ce que tu veux. Tu te souviens ? Qu’on avait retrouvé un tigre dans les terres lointains et qu’on l’avait gardé dans le château ? C’est si large par ici, je crois que mère ne l’a même pas remarqué. Jusqu'à ce qu’il attaque le servent bien sur » Ajouta-t-il normalement. William rigola juste.

Un rire sortis d'entre les lèvres du léviathans, bien entendue qu'il se rappelait de cela. C'était des souvenirs qu'il adorait se remémorait, puisqu'ils étaient encore jeune à ses moments la (Pour les léviathans du moins) et qu'ils adoraient (du moins avant) rendre leurs mère folle de rage.Il attrapa la main de William dans la sienne, interloquant leurs doigts pour avoir seulement quelque chose de lui à toucher. Il fit un sourire à Subaru pour montrer qu'il se souvenait et regarda le plafond :

*Oh que oui je m'en souvient, surtout de sa tête quand elle à su que s'était nous. Mais elle à changer depuis, je me demande même comment père peut encore le vouloir. Elle est toujours énerver. Mais qu'elle vienne je l'attend avec plaisir*

Il regarda Subaru en déclarant :

*Et nous avons le droit de nous marier avec qui nous voulons, puisqu'elle, elle s'est permise de nous cacher l’existence de notre sœur, je voit pas en quoi se que nous faisons est pire. Peut être regrette t'elle de ne pas pouvoir avoir des enfants de son chère fils Ayato*