J’espère que tu va rendre ma journée intéressante | Ayato & William

Toujours et encore la même histoire, dans les restaurants, les bras, sur les portes de maison, par les fenêtres, dans la rue, dans les magasins, et même sur les terrasses au café, il n'entendait parlez que de sa, de la nouvelle victime. Les jambes pliés sur une chaise, une tasse de café chaude devant lui, les yeux posait sur les personnes qui passent, un bras repliés sur la table et une mains sur sa cuisse, Ayato écoutait les discussions des passants. Qui était véritablement barbantes puisque les personnes rabâchait toujours la même chose :


Ne pouvant pas en entendre d'avantage, Ayato se leva en laissant des sous sur la table et partis les mains dans les poches, il allait surement trouvait une ruelle ou il pourrait s’asseoir ou un endroit, comme un parc, ou il pourrait s'allonger. En passant devant un passeur de journal, il en prit un pour le jeter dans le tournant suivant, encore et toujours la même chose, les personnes de cette ville ne pouvait pas parlez d'autre chose que de lui ? Non ?

Lorsqu'il trouva un banc, Ayato décida d'aller s'y coucher, une jambe pliés et l'autre tendue, il attendait que le temps passe.

Lisait la page de ce matin. 27 Octobre. Des descriptions de meurtres ainsi que des spéculations sur diverses raisons. William avait tout déjà lu. Il connaissait ses articles et à présent il servait simplement à le faire soupirer. C’était plutôt bien exaspérant. Il ne comprenait pas ; et il ne voulait pas comprendre. Il plia son journal et le posa à coté de lui, sur le banc où il prenait son petit déjeuné. Il n’avait pas de travail aujourd’hui, ce qui était pour lui un réel bonheur. Il souffla un bon coup.

« Bonjour William » Dit une passante. Will ouvrit les yeux pour voir qui c’était puis dit avec un sourire :

« Bonjour Madame Touret. Vous allez bien ? » La vielle dame vint à coté de lui et lui dit :

« Ca va Ca va. Mais dit moi William, aurait tu encore un bon morceau de rougeole ? Je les promit à mon mari et je pense avoir raté le marché » William se leva et alla escorter la dame vers sa maison. Ils parlaient de la journée, du château, du chat et du beau temps. Typiquement humain. Il lui donna le poisson et réalisa qu’il avait oublié son journal.

« Passez une bonne journée ! » Appela-t-il et repartit pour le banc. Malheureusement, quelqu’un était assis dessus, et donc ainsi aussi sur son journal. Il tentait de lever les jambes de l’homme sans le réveiller, mais bien sur il n’allait pas y arriver ; alors il dit :

« Excusez moi, vous êtes couchais sur mon journal »

Ayato ouvris un oeil pour regardait l'être qui lui avait adressait la parole, ne pouvait-on pas restait tranquillement en train de pioncer sur un banc dans cette ville ? Il l'avait reconnue, un coup d'oeil seulement avait suffit à Ayato pour reconnaître l'homme qui était devant lui. Le cuisinier du château et de cette chère Lucy,et celui qui traîner avec les léviathans. Ayato soupira et passa une main dans ces cheveux marbres et s'assit correctement pour laissez la place à l'homme de reprendre son journal :

- Navré.

William souria poliment et reprit son journal. Il le plia satisfait puis le mit sous son bras, comme un vieux. Il se tourna pour remercier l'homme de s'être pousser sans s'énervé. Mais quand il le vit il s'arreta. Non pas qu'il connaissait l'homme en soit; mais quelque chose dans son visage était familier. Pourtant William était assez certain que s'il avait croisé un homme avec de tels yeux, il s'en serait très probablement souvenut. Il ne pensait pas que c'était quelqu'un du château non plus. Peut-être une connaissance d'une connaissance. Il approcha son visage de l'homme en froncant:

"On se connait?" Demanda-t-il puis il remarqua l'impolitesse et recula d'un pas. Il ajouta "Juste, votre visage m'est familier"

Ayato fut quelque peu désordonné par l'approche de l'homme que l'on peut qualifier de directe. De son coté, Ayato était claire, il avait déjà vus cette homme. Il allait souvent au château pour voir son amie Lucy et il passait souvent par la cuisine. Sans s'arrêter de regardait l'homme, Ayato s'assit correctement, et donc sans cessez de regardait William, il fit un sourire et se cala comme il le voulait, tranquille :

- Je m'appelle Ayato et vous ?

William se redressa et s'inclina légèrement en tendant la main.

"William Garadeä est mon nom" Répondit-il d'un ton plaisant. Puis il se mit à réflechir, doucement d'abord. Ayato. Le nom resonnait dans sa tête, et certainement il l'avait déjà entendu. D'un coté c'est un nom plutôt rare pour ses parages. Dans ses coins, les noms ont une différentes conotations; moins oriantales on peut dire. Donc si William connaissait ce nom; c'est qu'il à dû rencontrer cet homme; où qu'il a une réputation. Il ajouta avec un sourire nerveux:

"Le nom me parait entièrement familier, mais je ne peux pas placé. Vous êtes sur que l'on ne sait pas rencontré?

Ayato regardait le jeune homme, bien sur qu'ils s'étaient déjà rencontrer mais dans un autre endroits et surement dans un autre prétexte aussi. Ayato regardait l'homme dans les yeux, de sa pupille rouge et l'autre bleu, l'homme était obligés de savoir, si oui, ou non, il avait croiser un homme avec des yeux pareilles. Ayato savait que les personnes, les gens, étaient obligés de connaitre le nom Ayato, car s'était le nom d'un des princes des léviathan. Ayato se leva en passant une main dans ses cheveux :

- Oui, surement, je vous est déjà vus moi aussi.

C'était la pur vérité.

Cela n'étonnait guère William. Il est tout de même le chef cuisinier du château entier. Beaucoup de personne le croise, le reconnaisse, le connaisse probablement; sans que necesserement lui aussi les connaissent, les voillent même. Il est souvent beaucoup trop occupé pour remarquer quoique ce soit. Alors il répondit:

"Bien vous aller devoir m'excuser alors. Je suppose que vous savez que je suis le chef du château, mais je ne sais rien de vous. Mes excuses" Tout à fait logique n'empeche. William peut à peine connaître tout les humains qui peuplent se royaume; il est déjà assez fière de la quantité qu'il connait.

Ayato haussa les épaules, William devait bien le connaitre, en tant que humain, surtout en tant que cuisinier du château. Après tout, Ayato avait entendue dire que les personnes haut placées ( roi-reine ect ) avait dit que des soldats allaient tournait dans la ville pendant la nuit pour attraper the bloody nightmare. Enfin reprenons la ou j'en était : William devait bien connaitre Ayato mais par un autre nom, ou surnom : Bloody Nightmare. Ayato regarda William et fit un sourire :

- Vous n'avait pas a vous excusez, je ne me rappelle pas de vous avoir déjà connus, et je ne sais pas comment vous avait pus entendre parlez de moi.

William fit une motion de la main particulièrement vague, et presque royale (Peut-être les duchesses l'avaient infectés?). Il dit:

"Oh au château l'on en entend sur beaucoup. Je peux vous conter les histoires de tous le monde" Il était plaisant. Du moins il l'essayait. Il sentait quelque chose chez cet homme, comme une vague de..quelque chose. Réellement il ne voyait pas comment le definir autrement. Cela lui semblait bizarre, son instint avait toujours été bon, et pourtant Ayato était simplement assid là, comme un homme avec aucune mauvaise intention.

Ayato regardait William, si ce dernier savait que, dans le sac qu'il portait, se cachez la chose, le masque, qui prouverait à tous, que ces lui le meurtrier des rues, l'arracheurs de cœur, que ces lui, Bloody Nightmare tout simplement. Mais Ayato semblait pourtant quelqu'un de normal, quelqu'un de simple aujourd'hui, mais le soir venue, il deviendras une bête, assoiffée de sang, qui tueras surement quelqu'un. Ayato regardait William, se serait dangereux de le tuer, les personnes qui les voyaient ensembles aujourd'hui pouvait très bien dire qu'Ayato avait passez la journée avec se dernier. Et cela, Aya ne voulait pas le vivre tout simplement parce qu'il aimait la vie :

- Je connait moi aussi certaines chose venant du château, j'ai un jour rencontrer Mademoiselle sa Majesté Lucy.

Qu'elle ironie.

On ne pouvait pas dire que William était réellement emplis de joie à cette pensée. Aprs tout, il aimait bien sa majesté Lucy. Puis dans cet homme il y avait toujours ce fameux quelque chose, qu'il ne pouvait pas placé et qu'il n'osait pas définir par peur de se tromper.. Mais il sentait que ce quelque chose était une mauvaise chose tout de même; est cela ne le rassurait que très peu. Peut-être il avait tord, et il était probablement entrain d'accuser ce pauvre homme, semblant parfaitement normale de graves crimes. Il resta nerveusement debout, et finalement décida de s'assoir, pliant son journal sur les genoux. Il répondit:

"Oui je connais sa majesté. Je suis son chef personnel"