Cher Ayato | William & Ayato

Ayato était réellement attachés a William, et m'aime si il ne le montrait pas, s'il n'était pas transparent, qu'il aimait, qu'il était attaché a tout personne qu'il connaissait, il était attaché a Léo, stupide fut-il, a ses frères et à ses sœurs, a plein de monde, a Nikiah encore, toute les personnes qui avait croiser le prince lui était attaché. Plantant toujours ses yeux émeraude dans ceux de William il lui dit sérieusement :

- William Garadeä, écoute moi, je t'ordonne de rester envie, ou du moins de ne pas te donner la mort, je ne veut pas te perdre, j'ai déjà laissez partir une première personne qui m'était chère, je n'en veut pas une seconde.

William le regardait, doucement, dans les yeux, mais il se sentit oblige de détourner le regard quand il sentit doucement les larmes lui revenir silencieusement. Il se leva juste pour qu'il être dans une position assise. Il mettait ses genoux repliés sur lui même et passa ses bras autour d'eux, en cachant de honte sa tête entre. Puis il relacha un main, attrapa celle d'Ayato sans même le regarder. Il lui murmura:

"Je veux pas mourire Aya, vraiment. C'est juste que..à la fin de la journée, quand je me couche seul ici, et qu'il fait froid parceque j'ai oublié d'alumer le chauffage, ca me semble le mieux. J'ai été limite viré de mon travail tu sais, parcequ'ils avaient peur que j'y fasse quelque chose. En ami j'ai que toi, et toi tu pars. Niveau famille, il m'en suffit et aucun me parle. Je sais pas pour toi, mais je me suis dit que, ce serait mieux de ne jamais me reveiller, que de me reveiller seul dans le froid avec aucune raison de devoir tenir la journée"

Ayato s'assit lui aussi, se perdant dans les paroles de William, pour dire vrai le prince n'avait jamais vécue seul, toujours entouré par sa famille, il était prêt a dire a Will de venir avec lui au château, mais c'était impossible, tout simplement parce que il y avait lui, et parce que il y avait Ayla, et qu'elle ne serait surement pas ravie que voir que l'homme qui l'a obligeait a tué son enfant vienne habité chez elle, en vus, s'était quelque chose de très compromettant. Regardant Will il lui dit :

- Je ne peut pas te dire de faire avec, car je sais que ses difficiles, mais William, tu est quelqu'un de bon et tu a le droit d'avoir le meilleur, et ce n'est certainement pas moi le meilleur.

William resta silencieux, la tête encore enfouit quelque part entre ses genoux. Mais il se laissa tomber sur le coté, sur Ayato. Il voulait sentir sa chaleur contre lui en contraste du froid qui l'entourait. Il voulait le savoir là, sachant que à tout moment il pourrait disparaître. Du moins un d'eux pourrait partir. La main qu'il avait attrapé auparavent, il interloqua leur doigt. Et toujours avec la tête cache, il se laissa tomber. Laissa couler ses peines avec ses larmes, sur le torse du jeune prince. Il lui murmura:

"Si ce que je souhaite est le meilleur, alors tu es le meilleur pour moi. Je sais que tu va partir, je sais que tu m'aimes pas, je sais que même si tu m'aimais on serait impossible. Ca change pas le fait que tu es le meilleur pour moi. N'en doute pas"

Ayato regardait l'humain a coté de lui, comment pouvait-il devenir ainsi, comme avait-il pus devenirs ainsi, lui qui était normalement si joyeux. Ayato passa sa main dans le dos de l'humain et le poussa sur le lit pour le prendre dans ses bras et le collait a lui, il ferma les yeux et murmura :

- William, tu n'est pas possible.

William se cala contre Ayato, voulant presque se créer un bouclier qui est entièrement fait de l'homme. Il posa sa tête par dessus son coeur et sa main juste à coté. Son autre bras était pose entre eux. Il murmura dans son shirt:

"Toi aussi.." Il voulait tout oublier. Oublier le monde qui l'entourait. Oublier le déces de trois personnes chères. Voulait oublier que la vie existait encore plus loin de ses murs. Il voulait se mettre avec Ayato, et que pour cet instant, il n'y avait que là.

Ayato ne faisait pas cela par obligation, il le faisait parce qu'il en avait envie, parce que il aimait William, non a amour certes mais en amitié, et il ne voulait plus le voir triste, ni pleurez ni rien, il voulait le réconforter, le protéger de ces choses de la vie qui arrivent a cause de pas de chance, on ne les voudrait pas mais elle sont la. Il déposa sa tête sur celle de William et ferma les yeux, voulant oublier tout, il voulait que il oublie, lui aussi, tout ses choses mauvaises, il voulait rester avec lui seulement pour voir, pour vérifier et pour l'empêcher de faire un geste qu'il regrettera.

William se laissait aller, inhalant une odeur qui represente purement l'essence même de Ayato. Il se calmait doucement dans l'emprise. Il déposa ses peines sur le lit, et déjà il sentait bien qu'il allait dormir sur le canapé, juste pour les éviter un peu. Et demain il passera l'aspirateur, tout ira mieux. Il laissera le tout sortir. Après quelques minutes il lacha un souffle et se redressa finalement. Il restait dans le confort des bras du Leviathan mais pouvait à present voir son visage. Il essuya les derniers de ses larmes avec sa manche et lui dit avec un petit sourire. Triste un peu, mais surtout honnête.

"Il me semble que je t'ai pas encore remercié d'être venue" Dit -il doucement "Donc sur ce, merci"

Ayato regardait les yeux magnifiques et ne pouvait pas fait autre chose que de le regardait, en souriant toujours. Il ne pouvait pas penser autre chose, il ne pouvait pas penser que ce William n'était pas allez voir ailleurs depuis ses soirs qu'ils avaient passaient ensemble. Il passa ses mains derrières la tête de William et le regarda dans les yeux. Souriant il approcha ses lèvres de celle de l'humain et l'embrassa, s'était purement amicale, seulement parce que il aimait le sentir, sentir ses lèvres et appuyait sur celle de Will. Il les enleva et regarda l'humain en souriant :

- De rien Will.

William lui rendait le baiser doucement, lui pouvait donner les sentiments honnêtes qu'il ressentait. Puis quand ils se séparèrent, il lui lanca un sourire, des nouvelles larmes sur ses joues. Il les sécha, les dernières de la soirée, il fera en sorte que ce sont les dernières. Alors il le regardait, stupide homme qui était venue le sauver. Il lui dit doucement:

"J'allais te proposer à manger, mais j'ai pas l'énergie donc on va eviter" Il lui souria presque nerveusement et se laissa tomber sur son torse confortablement à nouveau. Juste pour être un peu poser, sans necesserement être couché sur lui, juste un peu de support.

Ayato secoua la tête, faim, il n'avait pas, il n'était pas affamé et il avait réellement la flemme de se lever ne serait-ce que pour ce nourrie, et au pire il pourrait boire le sang de William. Le gardant dans ses bras, il pensa a ce qu'ils avaient tout deux fait dans ce lit, dans cette même chambre, et dans la salle de bain qui était la bas. Il posa un baisez sur la tête de William en le regardant et fit un sourire :

- Ne t'inquiète pas, je suis très bien, la.

William lacha un sourire et le regardait. Son esprit était vaguement là, mais plutôt dans les nuages où il pensait être. Il se leva et posa un baiser sur ses lèvres. Il lui dit:

"Je vais juste aller chercher quelque chose pour moi. Attend ici. Je reviens" pas.. Puis il alla vers la cuisine et en passant il attrapa le couteau que Ayato lui avait sortit des mains auparavent. Il le regardait, il n'y avait pas de marque dessus, pourtant quand il leva son poigné, il y voyait le fin trait qui y était tiré. Quelque chose le poussé, comme une force qu'il n'arrivait lui même, même pas à comprendre. Il attrapa un papier et un crayon et ecrit doucement. Ceci fait, il posa le papier sur la table et reprit le couteau. Il le regardait. Etre ou ne pas être, tel est la question. Il décida que de ne pas être, suffirait emplement. Alors Presque comme s'il fessait ca naturellement, il passa le couteau d'un coup sec sur sa poigné. En moins de une seconde, un jet de rouge tomba sur son sol. Le couteau tomba ensanglanté, et il le suivait aussi rapidement.

Ayato regardait William partirent en souriant, naïf qu'il était il n'avait pas compris, heureusement que son odorat était aiguë et qu'il connaissait l'odeur du sang de William, et que lorsqu'il lui vint au narine, il se leva en vitesse et fila dans la cuisine. La vue de l'humain au sol lui monta les larmes au yeux, et sentant la goutte de liquide tombait de ses yeux, il attrapa un chiffon et attrapa le poignet ouvert et l'enroula pour cessez le découlement de se liquide. Il attrapa les épaules de WIlliam et le secoua ;

- William, William ! Tu n'as pas le droit de partirent !! Tu ne peut pas m'abandonner comme sa !! William je t'en supplie ouvre les yeux....

Il s’effondra en larme posant son front sur le ventre de Will.

Tout n'était pas blanc, et les histoires racontaient des idiocies. Il voyait juste son plafond et sa vision se perdait. Il ne voulait plus le voir, il ferma les yeux. Et meme sous ses paupilles, il voyait son plafond. Il attendait vaguement les pas de Ayato s'approcher, il le sentait sur lui, il l'entendait. Il ouvrit les yeux, et ceux qu'il vit le briser bien plus qu'avant. Voir Ayato pleurer, fondre sur lui. Ce n'était pas sense être comme ca. Il était sensé partir doucement, et Ayato était sensé le trouver après, il était sensé comprendre et surtout oublier. William avait pleuré toutes les larmes qui lui restaient mais cela fessait mal bien plus qu'autre chose. Il leva sa main ensanglanté doucement sur la joue d'Ayato et enleva les larmes doucement. Il murmura cassé:

"Aya..Tient fort"

Ayato sentis la mains de Will sur son visage et il leva ses yeux émeraudes vers William, non, il ne devait pas mourir, pas comme sa, pas maintenant, pas avec lui. Attrapant le poignet de William, il vit que le chiffon était déjà remplie de sang, il l'enleva et il retira sa chemise et en fit une sorte de corde et enroula sur la blessure de l'humain, le corps humain est si faible, pensa-t'il et il serra de toute ses forces, il regarda ensuite William et les larmes coulant de ses yeux il dit ;

- vit.

William le regardait. Il posa ses mains doucement sur les joues de Ayato, mais n'avait pas la force de le tirer à lui. Une larme tomba de ses yeux alors qu'il regardait la masse de ceux de son bien aimé. La tristesse était clair dans ses yeux, dans les leurs. Il le regardait, mordait ses lèvres, il ne voyait Presque plus rien. Il murmura:

"Ce n'était pas sensé être comme sa" Puis avec le peu de force qu'il avait, il tira son visage à lui et l'embrassa avec toute l'énergie qu'il pouvait rassembler. Il y mettait son tout, et ainsi possiblement son dernier. Il sentait les larmes d'Ayato tomber sur son visage, se melangeant aux siens. Il calla leur front ensemble et murmura:

"Je t'aime, je t'aime" Puis ses mains tombèrent au sol, ses yeux fermés. Et la seule chose qui prouvait sa vie, était sa respiration.

Ayato regardait désormais l'homme au cheveux rouge allongé devant lui, il regardait le ventre de ce dernier se levait au fur et à mesure de sa respiration, et décida que non, William ne pouvait pas mourir maintenant, et il n'allait de toute façon pas mourir maintenant. Il le porta comme une princesse sans le réveillé et le regarda dormir dans ses bras, il était comme un ange, posait, tranquille, et si paisible. Il se dirigea vers la chambre et y rentra, il le déposa sur le lit délicatement et se coucha a coté, attendant son réveille.

Evanouït, endormit, réveillé ou mort; ce que William voyait était son plafond. Il voyait les craquelés dans le bois comme s'ils suivaient les formes de son esprit. Il voyait les schistes et les taches, y attaché une différente valeur à chaque. Il voyait que cela. Son plafond par dessus sa tête, qui semblait baisser à chaque respiration qu'il prenait. Une douleur vague au poignée, mais rien d'autre. Il connaissait ses histoires mais à présent il les oublia tous.

Comme s'il y avait une fourmis qui le chatouillé sous les paupières, une irritation fatigante; qui le forcé à ouvrir les yeux, mais aussi à les refermer. Quand il ouvrit les yeux, il vit son plafond, mais plus foncé qu'il ne le connait de sa cuisine. Une coussin douillé sous son crâne. Il regardait, ce demandé pas s'il était vivant ou mort, vivant est la réponse. Il n'y a qu'une seul chose pire que faire une tentative suicidaire, c'est de la rater. Il se tourna et vit que Ayato était là. Il le voyait a peine, le sentait à peine là. Il retourna son regard vers son plafond et murmura:

"Balivernes" Il se tourna et posa son front contre le torse d'Ayato en silence. Il souhaitait déjà qu'il avait réussi. Ne serait-ce que pour rater la réaction qu'il allait bien recevoir.

Ayato regardait l'homme en silence, pourquoi cette être qui est si merveilleux a ces yeux avait tant de chose néfaste qui se passait autour de lui, comment pouvait-il ainsi changer, tant de malheur. Il attrapa William et le colla a lui, s'était un grand ami, un tendre ami et jamais il ne voudrait être séparez de lui, il avait déjà perdue quelqu'un, une bonne amie, et l’expérience avait était trop difficile, posant un baisez sur la tête de William et le serra :

- William, je t'adore ne meurt pas.

William resta un moment en silence, sans bouger, les yeux légèrement ecarquillés. William, je t'adore, c'est tout? Alors que l'humain en question s'attendait à tellement plus. Si les roles étaient retournés, il aurait crier, il aurait pleurer, il l'aurait probablement frappe; il aurait fait tellement de chose; mais Ayato était juste là. Il le tenait comme s'il comprenait le fait passé, comme s'il l'acceptait entièrement. Comme s'il l'adore réellement au point que son rassurement est assez fort pour érradiquer le reste. William se decale doucement pour pouvoir le regarder dans les yeux.

"Tu n'es pas en colère?" Demanda-t-il.

Pourquoi serait-il en colère ? Parce que William avait essayer d'attenter a sa propre vie, en se tuant lui même ? Non, il était heureux, heureux de pouvoir encore sentir la chaleur de William, heureux de pouvoir encore entendre sa voie, heureux de pouvoir encore écoutés ses bêtises et pouvoir encore le consolé, il pouvait tout aussi bien encore lui sucer le sang, encore passez sa main dans ces cheveux rouge qu'il aime tant, et encore lui sourire comme si rien n'avait était pris :

- Non, pas du tout.

William ne savait pas comment réagir. Il avait anticipé de la colère, de la rage, de la tristesse; mais là il n'y avait rien. Juste un soulagement totale il semblerait. Il enfouït son visage dans l'épaule d'Ayato. Sans pleurer, sans crier. Il voulait juste se cacher, se cacher des regards et des prejugés. Alors il s'enfouït, se fait le plus petit possible dans les bras de l'homme qu'il aime. Il lacha un soupir, attrapa le shirt du Léviathan fortement dans sa main et se posa. Il ferma les yeux et murmura:

"Tu vaux tellement plus"

Ayato écoutait en silence les paroles de William, lui ? Il valait quelqu'un de mieux que William ? Non, pas pour lui. William, pour Ayato, mérité quelqu'un de mieux que lui, il devait tomber amoureux de quelqu'un d'autre, rencontre un homme ou une femme qu'il l'aimeras tellement, il devrait réussir ainsi a oublié le Léviathans, a oublié l'enfant qu'il a perdue et oublié Ayla, le serrant dans ses bras, Ayato murmura :

- Non, ses toi, tu devrais oublié.

Oublier. Oublier quoi? Oublier sa vie peut-être, la mort de ses parents, la mort de son enfant, son suicide, oublier Ayato. Le corps de William se mit subitement à trembler à cela, rien qu'a la pensée. Sa main aggripa son shirt avec encore plus de force qu'auparavent et il posa sa joue sur son torse avec les yeux fermés. Il écoutait les battements régulier de son coeur, avait besoin de le savoir ici proche de lui. Comme une panique s'emparait de lui, que serait-il sans Ayato? Il s'enfouït et murmura contre sa peau:

"Tant quelques choses je peux; mais Aya, je ne pourrais jamais t'oublier. Autant que je veuille ou que je puisse, je ne peux pas. Et je pense, que même si un jour je perdrais mes souvenirs, tu seras encore le centre autour duquel je gravite"

Oublier est surement la chose la plus difficile a faire dans ce monde, on aimerait oublier des moments, des paroles, des jours, des façons de faire, des personnes. On aimerais aussi pouvoir revenir dans le passé, pour faire des choses, ne pas rencontrer des personnes, dire des paroles, mais cela, on ne peut pas le changer, ses fait et ses tout, ses écrits dans l'histoires. Ayato passa sa main dans les cheveux rouges de William, attrapant une mèche entre ses doigts, l'effleurant même du bout des doigts il murmura :

- Pas moi, tout. Sauf moi bien sur.