Les Marques nous sont destinées | Libre

Beotouk le sentait dans ses veines, coulant fermement avec une grande rapidité jusque passé dans l’air qu’il respire. Il sentait la poussé derrière les iris de ses yeux. Instinctivement il savait comment tout faire partir. Il connaissait les méthodes ; c’était une habitude, un résumé connu à prés tout. C’était des raisons qu’il ne comprenait pas ; qu’il ne cherchait réellement pas à comprendre. C’était ainsi tout simplement ; ca avait toujours était ainsi. Il jeta un rapide coup d’œil autour de lui ; ne voyant rien il hocha la tête. Il prit sa dague de la main droite, la callant entre ses griffes ; puis d’une motion fluide il coupa le bout du bandage couvrant son bras gauche. Il enleva le reste, montrant au grand jour sa peau pâle.

Sa peau translucide, était couverte de blessures, de cicatrices. Certaines blanchit et en cour de disparition ; d’autres étaient rosés et semblaient tracer leur chemin dans l’infinité ; encore d’autres refusaient de se fermer et courraient sur la peau comme des serpents. Des petites par là, vertical dans leur mort ; des grosses par ici horizontal dans leur naissance. Beotouk les regardaient avec appréhension. Il n’y pensait même pas. Il n’y avait pas des raisons et la beauté était qu’il n’y avait pas de questions. Il traina ses griffes sur la peau fragilisé, courant sur les blessures déjà créer. Il laissa les quatre griffes qu’il avait griffé, racler, mordre, entailler. C’était les endomorphines pour sur. Il laissa quatre traces, les laissa saigner comme lui plaisait. Il soupira et posa son dos contre l’arbre. Laissant ses griffes ensanglantés tomber d’un coté ; et son bras ouvert de l’autre. Sans un autre mot.

Il savait qu’il y avait quelqu’un ; il le sentait. Il ne pouvait pas dire depuis combien de temps qui que ce soit était là ; et il ne s’y intéressé que peu. La personne allait parler ; c’est ainsi que le monde marchait. Il se poussa de son arbre, se baissant ainsi pour ramasser les bandages qu'il avait posé. Il attendait simplement, laissant le sang lui sortir des veines.

Des gouttes de sang se découlait de deux mains, qui, elles mêmes, pendaient autour d'un homme qui marchait en silences, des lame apparaissaient sous ses manches déchirés, et le liquide rouges avait raidies ses dernières. Ayato marchait dans un silence de mort, et pourtant, il voulait voir quelqu'un, enfin, il recherchez quelqu'un. Il avait commit un meurtres il y a peu, s'était le sang de sa victime qui gouttait de ses mains, qui raidissait ses manches et qui teintait de rouge les deux lames qui était dissimulait sous ses manches.

D'un mouvement rapide et calculée, Ayato rétracta les lame et souffla entre son masque qui lui couvrait la bouche et qu'il n'avait pas pensez à enlever. C'était assez rare qu'on le voie gambader dans un lieu tel que ces montagnes, il n'était pas la au hasard, il cherchez quelqu'un. Je ne dirait pas qu'il ne cherche qu'une personne car il en cherchait deux, il cherchez le violeur ainsi que l'homme surnommé wolverine. Il passa une mains dans ses cheveux quand il vit un homme à la chevelure rouge. Il fit un sourire sous son masque et s'en approcha.

Quand il fut au niveau de l'homme, il baissa le masque du bous de ses doigts:

- Je vous cherchait.

Oui, le monde parlait et parlait au monde. Beotouk ne s’attendait pas aux mots ; mais avait depuis le temps appris à ne plus être surpris de les entendre. Il se poussa simplement de son arbre, ne se soucient que de très peu. Il tenait le bandage dans les mains en disant :

« Nombreuses sont les fois que ces mots m’étaient destinés » Il jeta un rapide coup d’œil vers l’humain derrière lui et ajouta « Même si je doute que tes affaires présentes sont les mêmes »

Il se releva finalement, fessant finalement face à cette créature. Un humain assassin, voila bien une notion intéressante. Il se demandait bien où était le rapport pour lui, mais il se doutait pas que l’assassinat était concerné. Il prit sa poignée saignante entre les griffes pour faire un massage court tout en regardant cet homme.

« Pourquoi me chercher ? »

Lorsque l'homme qu'Ayato connaissait bien, se leva, il se mit directement en défense, prés à faire volte face dés que l'homme attaqué. Il baissa les yeux sur les mains ou le liquide rouge se découlait. Beotouk était donc blessez ou il s'était entailler seul, la dernières était plus facile à imaginez, car il fallait quand même être assez fou pour s'attaquez à Beotouk of Blaberry. Il fit une certaine motion des main pour enlever le reste de sang - qui n'avait pas sécher du moins- et leva ses yeux vers l'homme sans aucune expression au visage :

- J'ai entendu dire que tu as rencontrez un homme que tout le monde connait par beaucoup de surnom, L'ange de la mort, je ne te dirait pas son vrai nom puisque tu voit de qui je parle, j'ai trouver quelque chose lui appartenant et je pensée le trouvez ici ....

Il montra d'une motion les mains de Beo :

- Faudrait éviter de faire sa, et faudrait surtout arrêter l’hémorragie.

Beotouk baissa alors un moment les yeux vers ses bras. Il fessait cela depuis des années, si pas autre chose, c’était une des choses qui le rendaient qui il était ; c'est-à-dire fort. Il soupira puis dit :

« Il faut toucher une veine pour avoir une hémorragie, clairement je ne les pas faits. Il n’y a aucun risque » Puis il prit son bandage et le déroula. Doucement il le mit autour de son bras, en serrant le plus fort possible ; laissant le sang sécher sans même l’enlever. Tout en fessant cela, il dit :

« Moi qui pensais que tu étais intéressant. J’ai rencontré Law une seule fois, je ne serais pas nécessairement où le retrouver »

Ayato secoua la tête, cela l'étonné quelque peu qu'un homme ne connaissait pas la réputation qu'il avait, en même temps il n'avait jamais entendue parlait de Beotouk, il fouilla dans sa sacoche pour en sortir un chapeau blanc à point noir, celui du violeur. Il était plein de sang, car il l'avait ramassez quand il venait de tuer une femme et il n'avait pas eu le temps de prendre une douche. Est ce que l'homme qui se trouvait devant lui était un idiot ou la réputation qui courait sur lui était faux ? En même temps, the bloody nightmare était réputé pour portait un masque qui lui couvrait la moitié du visage. Il montra le chapeau à l'hybride :

- Ses a lui je suppose ? La prochaine fois si tu le voie dit lui de ne pas venir dans mon territoire, car je ne veux pas qu'on pense que j'ai changé ma façon de tuer.

Oh quelle joie. Quel merveilleux ennui. Beotouk est un assassin, cela ne veut pas dire que les seuls rencontre qu’il souhaite faire sont avec d’autres assassins, mercibeaucoup. Il en voyait suffisamment de meurtres. Autant qu’il ne souhaite pas de s’entourer de mauviette, un certain changement serait apprécié. Il y avait bien trop d’assassins pour qu’ils les connaissent tous. Il soupira puis dit :

« Quand j’avais ton âge il y avait deux assassins sur Soyandä, connus de tous. A présent c’est un hobby trop réputé, ce n’est même plus original » Il tendit alors la main pour prendre ce fameux chapeau tout en disant :

« Si je le vois, je lui rend. Bien sur je lui dirais que ses méthodes semblent t’ennuyer et qu’il devrait choisir un meilleur publique »

Ayato secoua la tête, ce n'était pas le fait que ce Law tue des gens dans son territoires qui le déranger s'était surtout le fait que l'organe qui intéressait le plus Ayato était absent. Je vous explique, quand Ayato tue des personnes, il fait attention à ce que le cœur ne soit pas touchez, alors quand Law tue des gens, il ne fait pas attention a ce petit organe et le cœur est tout le temps charcuter. En pensant à cela, Ayato fouilla dans sa sacoche et en sortit un petit sac, saignant, et fermer par une lanières rouge, il senti le paquet et fit un sourire. Il le remit dans sa sacoche et remit son masque en levant les yeux a Beo :

- Ok. Et se n'est pas ses méthodes qui me gène, ces le fait qu'il charcute le cœur de ses victimes.

Beotouk pris le chapeau et le garda alors entre ses griffes, fessant vaguement attention de ne pas le déchirer comme sa peau. Il le regarda alors puis répondit :

« Je sais, je suis assez familier avec ses techniques » Il se retourna, un peu, posant le chapeau sur la roche, puis il continua d’enrouler le bandage plus fermement autour de ses blessures. Il ne regardait pas l’humain, il n’avait pas besoin. Il ajouta un peu nonchalant :

« Je trouve d’ailleurs cela ennuyeux. L’un ne devrait pas avoir des méthodes fixes. Quelle futilité »

Ayato secoua la tête, il n'avait pas de moyen fixes pour tuer les gens, il aimait juste gardez le cœur de ses victimes car il était ainsi. Il haussa les épaules et fit une motion de la main voulant dire "comme tu veut" et gardant son masque il fit demi tour avec son corps et regarda une dernières fois Beotouk :

- Okay

Et il commença a marchez.

Beotouk n'avait aucunement l'intention de l'arrêter. Il n'avait pas le temps à perdre sur des simples humains. Malheureusement l'odeur naturel d'Ayato, ainsi que le sang sur ses sangs l'avaient quelques peu distrait de matière plus importantes. Il remarqua seulement la présence d'un autre groupe quand un balle frola l'intérieur de son bras. Il soupira et se retourna. Il y avait un groupe de chasseurs humains. Ils avaient probablement vue seulement ses griffes et l'avaient pris pour un animal. Il se retourna et leur annonca:

"C'est considéré impertinent de tiré sur quelqu'un sans provocation" Ils avaient l'air choqué de voir qu'un corps humain était attaché à ces griffes.

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