Une journée dure (William-Ayato)

Le soleil transperçait les carreaux de la fenêtre pour rentrer dans la pièce, les oiseaux chantonnait dehors. Les yeux d'Ayato n'allait pas tardait à s'ouvrir, ses paupières papillonnèrent, puis finis par s'ouvrir, dévoilant des yeux jaune. Il s'avait que la journée qui aller se passer aller être riche en émotions, il devait dire à sa mère qu'il avait choisit avec qui se marier, mais de plus, cette nouvelle n'allait pas l’enchanter, surtout quand elle aller savoir qu'il se marier avec un humain. Il cherchas des yeux l'humain, et n'eu pas de mal à le voir. Il avait le sourire au lèvres, le cœur battant la chamade, il regarder cette être qui avait réussit à faire naître des sentiment inconnaissable chez lui. Effleurant de ses doigts la chevelure rouge de William puis se releva doucement. Il se rendit à la douche, la prenant assez vite et se rhabilla.

Rentrant dans la chambre, il s'assit à coter de William, et le regarda quelques temps en souriant. Il pris ses cheveux d'une main, pour les décalaient et révéler son coup. Il approcha doucement c'est lèvres vers son coup, et déposa des baiser à répétitions sur la douce peau de l'humain qu'il aimait temps. Murmurant entre les baisers :

- Will... C'est l'heure de se lever ... Il faut y allez un carrosse nous attend..

La nuit avait été – pour manque de meilleur mot – absolument splendide. William s’était endormit, repu, satisfait, un sourire aux lèvres, et au coté de son… fiancé. Il n’arrivait pas trop à associer le mot à Ayato, mais il aimait la consonance pour le moment. Se réveillé ainsi, y’avait-il plus beau ? Il en doutait. Il sourit et se mord la lèvre, savourant le moment ; il s’imaginait facilement se réveillé comme ca tout les matins. Au près d’Ayato. Il glissa les bras autour de son cou en grognant fatigué – faut avouer, ils n’avaient pas énormément dormis !

Partir par contre… Il en avait tout de même réellement peur. Ces seuls encontre au château n’avait pas vraiment était les meilleurs. Attaqué, poursuivit, insulté. Il doutait que ce soit vraiment différent cette fois-ci. Il ouvrit un œil et vit Ayato. Un sourire pur illuminait son visage. Ca en voudrait la peine. Il prit son visage et l’embrassa tendrement.

« Bonjour » Il sourit et se lève pour s’habiller. Il attrapa ses plus beaux habits dans la catégorie décontracté. C’était une chemise blanche, retroussé à ses épaules, un pantalon noir. Il vit la trace ferme sur son poigné, et attrapa un bout de chiffon noir et l’attacha autour de son poigné. Il se retourna vers Ayato, un sourire hésitant sur la bouille. Il ouvre les bras en se pointant un peu :

« Alors me voila. Beau et prêt. Comme je pourrais en tout cas »

Au moment ou les yeux de William croisèrent les siens, un sourire satisfait apparue sur ces lèvres. Un élan d'amour venait de naître dans son corps pour cette humain. Avant cela, il prenait les humains comme des êtres banales qui ne méritait pas la moindre intention de lui. Mais maintenant, il se rendait compte que cette banalités faisait d'eux des être unique et tellement bien. Il le regardait s'habillant, examinant la moindre parcelle de se corps qu'il aimait temps. Il regarder le galbes des hanches où il aimait tant être, il regardait ses bras pe musclés qu'il aimait temps. Il examinait ces omoplates, sa colonnes vertébrale, ces fesses, ses doigts long et fin qu'il aurait voulus embrasser. Il aurait aimer prendre Will par la taille, l'embrasser tendrement, caresser son corps dans les moindres details, embrasser ses joues, son front, ses lèvres, son cou, la moindre parcelle de son corps. Il aurait aimer lui faire l'amour toute la journée si il le pouvait. Mais justement, aujourd'hui il ne pouvait pas. Ce levant du lit, il s'approcha de lui et l'embrassa tendrement en prenant sa main :

- Même nue tu est magnifique.

Il sourit, l'embrassa encore une fois et le tira en dehors de la pièce, puis en dehors de la maison ou un carrosse attendais. Ces la boule au ventre, qu'il alla ouvrir la portière pour laisser Will rentrer et déclara en souriant :

- Si mon amour veut bien se permettre de poser ses jolies fesses dans se carrosse.

William suivit Ayato avec un sourire. Il tenait à sa main, refusait prestement de le lâcher maintenant qu’il l’avait. Il le regardait. Cet homme magnifique. Cet idiot bien trop parfait pour être vrai. Quand son regard croisa ses pupilles vertes, il sentait la chaleur lui revenir au cœur. Un certain sentiment de fierté qu’il avait réussi à le voler de toutes ses personnes qu’il savait le voulait. Il rigola réellement aux paroles d’Ayato, en tenant une main devant sa bouche. Ce n’était pas tant hilarant que ca, mais la remarque l’avait surpris qu’il dû en rigoler. C’était si différent des derniers jours qu’il avait passé, que c’était inévitable. Il prit son bras et se leva sur les pointes des pieds pour embrasser sa joue, juste parce qu’il peu. Il sourit :

« Ton amour serait honoré de poser ses prestigieuses – pas jolies – fesses dans ce carrosse ; à condition que les tiennes se posent juste à coté » Il glousse tout seul et entre dans le carrosse, il s’assoit et tient encore la main d’Ayato pour l’amener à coté de lui.

L'amour se reflétait presque naturellement dans les yeux de Ayato, il ne pouvait le cachait et n'en n'avait d'ailleurs aucunement envie. Il était plutôt fière d'être amoureux de William, il pouvais ainsi prouvait aux autres qu'il pouvait tomber amoureux, qu'il n'avait pas un cœur de pierre et qu'il n'était pas un homme qu'à coucher. Pour la première fois, il avait fait l'amour amoureusement et avec passion à l'unique homme qu'il aimait et à l'unique homme à qui il avait fait l'amour de toute sa vie. Il monta prestement dans le carrosse, fermant la porte derrière lui, et alla poser ses fesses à coter de William. Il glissa sa main autour des épaules de l'humain pour le tirer vers lui et tapota contre la vitre ou le cocher se trouvait derrière. Quelques secondes plus tard, le carrosse fit un petit saut et il se mit à avancer. Ayato se tourna vers William et fit son plus beau sourire :

- Mes fesses ne veulent être qu'à coté des tiennes.

Will souria à Ayato et se pelota contre lui quand il l’amena plus prêt. Il posa le coté de son visage contre la jonction entre son cou et son torse. Il entendait son cœur battre et ferme les yeux à la beauté du rythme. Il caressa son pouce contre sa main en les regardant interloqué. Sa petite main pâle dans la sienne. Ils rentraient ensemble comme si ca devait être ainsi. Will réalisa qu’au fond, rien d’autre n’avait probablement dû être aussi si facile. Il répondit amusé :

« J’espère bien. Tes fesses ont leur place à coté des miens, et je ne supporterais pas de les voir à coté d’un autre » Au fur et à mesure que le carrosse avançait, la boule montait dans son ventre. Il dû respirer pour pas stresser. Il serra sa main et lui demanda :

« T’es aussi nerveux que moi ? » Il lui montra sa main en gloussant un petit peu tremblotant « Ha regarde ma main, elle tremble »

La boule à son ventre, il n'y faisait pas attention. Il avait depuis longtemps appris à ne plus faire attention à la peur que sa mère lui procurait, et il savait que la plupart de ses frères ne dirait jamais de bien méchant envers lui. Sa mère lui disait toujours qu'il devait réussir à se poser, n'importe qui que se soit, le mieux était une noble. " Et bien non mère, je suis tombés amoureux d'un simple humain, qui fait partis de la populace normal. Mais que veut tu, je suis amoureux". Un sourire grandissait sur ses lèvres quand il pensa cela. Il lança un regard dehors, ils allaient bientôt arriver, même si cela paraissait loin, le carrosse allait vite. Il tourna les yeux pour regarder Will et embrassa tendrement, le plus tendrement et amoureusement qu'il pouvait son front, caressant du bout des doigts sa main, la chaleur de son corps reflétait l'amour qu'il avait pour lui. Il lui fit un sourire :

- Tu n'as rien à faire, il y a juste si ma mère te pose des questions. Et sinon tu la regarde, enfin tu fait comme tu veut. Bref j't'aide pas beaucoup.

William respira un bon coup, il regardait dehors et reconnaissait vaguement les alentours. Ils n’étaient pas loin du château. Ayato avait raison en soit ; mais il avait quand même peur. D’être accusé surement, d’être le sujet d’investigation, ou peut-être juste d’être détesté. C’est tout de même leur première étape en tant que couple et au plus il souhaite le traverser dans les meilleures conditions possibles. Puis il réalisa quelque chose d’autre. Ayla y sera aussi. Elle venait tout juste de perdre son enfant après tout, leur enfant. Finalement il ne s’aidait pas du tout à rester calme, là il stressait encore plus. Il souria à Ayato :

« Non tu m’aides pas vraiment » Le carrosse s’arrêta et il dû réellement prendre une respiration qu’il avait oublié pendant un instant. Le chauffeur ouvrit la porte et Will le regardait avec les mains moites. Il se tourna vers Ayato, réellement sa peur dans les yeux.

« Ayato, il y aura Ayla aussi… Comment je peux lui faire face après… tout ? »

Ayla, Ayato n'y avait pas pensé, mais il savait que sa sœur était quelqu'un de bon, qu'elle avait pardonné à Will et qu'elle comprendrait. Il savait aussi qu'elle avait n'était pas encore tomber amoureuse, mais qu'elle n'aimait plus Will sans le détester. Il lui prit la main, souriant, laissant la réponse en suspens. Il ouvrit la porte, faisant signe à l'homme de sa vie de se taire et marchas vers une grand porte, bien au fond du couloir. Il ouvrit prestement la porte, toute la famille était réunis autour de la porte. Sa mère leva la tête juste pour le regarder, Ayato, tournant le regard, vit plusieurs femme, regardant Will bizarrement. Le prince souriant, savait qu'elles étaient la pour son mariage, qu'elles étaient plusieurs promises et que sa mère, la reine, comptait les interrogeaient l'une après l'autre pour savoir qui était la meilleur pour lui. En souriant, gardant la main de Will, Ayato déclara :

- Vous pouvez partir, je ne vous veux pas, aucune de vous.

Les femmes honteuses et choquées, était prétes à partir. Au moment ou la reine se leva, Ayato lui lança un regard que vous n'oserais jamais vouloir voir quelqu'un vous le jeter. De sa voie aigre, la reine déclara :

- Ayato ! Que fait tu ! Et lâche la main de cette homme ! Tout de suite !

Un sourire fière apparue sur les lèvres d'Ayato, qui tira Will pour que ce dernier soit presque collé à son torse, les yeux jaune du prince se mit dans celui de l'humain et en s'adressant à sa mère, il déclara :

- Je suis désolé mère, mais je ne compte pas lâcher la main de cette homme, et je ne compte pas le lâcher tout cours d'ailleurs : il tourna les yeux pour regarder sa mère : " Vous serait surprise d'apprendre que j'aime cette homme et que je compte me marier avec lui "

Will regardait autour de lui. Mon dieu tout est grand. Il allait avoir un torticolis à force de regardait. Puis il se reprit quand il entendit les murmures. Il se sentait comme un animal dans une cage qui était probablement particulièrement déformé à juger des regards dégoutés qu’on lui jeter. Il serra la main d’Ayato, et se rapprocha de lui rassuré quand celui si l’amena à lui. Il grimaça un peu aux paroles de sa mère. Comme s’il était un moins que rien. Il souria à Ayato et se tourna un peu pour être qu’a moitié face à ses parents, mais entièrement à lui. Il regardait autour de lui. Il y avait un silence autour d’eux à l’annonce d’Ayato. Puis d’un coup, seul un peu dans son coin, quelqu’un se mit à applaudir lentement.

De son coté, Subaru était tellement ravis. Il le sentait venir dés qu’Ayato avait ouvert les portes. Il s’amuserait à lui remettre dans la face leur conversation adorable concernant William. Il les regardait amusé. Puis au désarroi de sa famille, il pencha la chaise en arrière et posa les pieds sur la table. Il se mit à applaudir doucement dans le silence de la salle. Il sourit à son frère :

« Finalement tu l’a pris alors idiot ? » Appela-t-il. Sa mère semblait parfaitement dégoûtée à son attitude et se leva.

« Subaru ! » Dit-il fortement « Comment tu peux dire ca ?! C’est inacceptable »

Subaru regarda sa mère comme s’il était un pauvre gamin tout innocent. Il redescendit les pieds au sol et plia les mains sous son menton. Il la regarde.

« Au contraire chère mère. Ca m’est parfaitement acceptable »

Au moment ou les applaudissement s'était entendue, le prince avait directement su qui s'était, s'était son frère, surement celui qui pouvait l'obliger à rester ici. Les paroles de sa mère était toujours aussi dur et froide. Mais il s'en fichait un peu, il était trop concentrer à regardait son frère, presque fière de lui d'avoir fait cela. Il regarda un par un ses frères, Laito était souriant, toujours fière de ses petits frères quand il faisait quelques choses de contradictoire envers sa mère. Ayato regarda une dernière fois William et lâcha sa main doucement pour s'approchait de la table. En disant cela, il plantait son regard dans les yeux de sa mère, qu'il de détestait autant qu'il le pouvait. En avançant toujours il déclara en souriant :

- Vous pouvait dire ce que vous voulait mère, je suis amoureux de William, et je compte bien me marier avec lui.

Posant ses mains sur la table, il se hissa dessus, à cela, sa mère se releva :

- Ayato ! Des...

- Taisez vous donc un peu s'il vous plait, et laissez moi finir : déclara-t'il en finissant de monter sur la table. Il se mit doucement à marcher, esquivant les plats, il faisait le tour de la table : Vous allez me dire que je vaux mieux qu'un humain, que je devrait chercher dans ces nobles qui pense que leurs fesses sont plus haut que les autres, et bien détrompez vous. Vous penser que les humains sont tous les mêmes, qu'ils sont banale et qu'ils vieillissent vite ? Mais vous aussi mère vous vieillissez, je me demande même comment père vous veut encore.

Il descendit de la table au niveau de Subaru et se baissa pour lui chuchoter :

- Je t'avait bien dit qu'on était pareille, toujours prêt à énerver maman.

Il s'avança pour rejoindre Will, se mettant à coter. La reine le regardait :

- Tu est pitoyable Ayato ! Tomber amoureux d'un humain ! Ils ne sont bon qu'à donner leurs sang en nous suppliant pour qu'on leurs laissent la vivre ! Ton ami aussi est pareille ! Aussi banale que c'est autres humains puant!

Les veines sur la main d'Ayato pouvait dire toute la colère qui montait en lui et déclara simplement :

- Et vous mère, c'est quand que vous allez arrêtez avec vos préjugez à la con ?

William commençait décidemment à avoir peur. Toutes ses paroles de sang et quand son regard traversait la salle, il voyait les crocs des femmes qui apparemment le trouvait appétissant, et sans Ayato à ses cotés, tout cela semblait tout de même être moins rassurant. Il baissa le regard, mais le releva quand il entendit le petit rire dédaigneux qui sortit de la bouche royale de la reine. Elle regardait son fils et annonça :

« Mes préjugés ? Ayato regarde autour de toi. Tout le monde le pense » William le voyait dans leurs yeux, les accusations. Tu n’es pas assez pour lui. Vermine. Il vit les yeux d’Ayla et tourna la tête immédiatement. Il ne pouvait pas regarder. Elle s’approcha du centre de la salle, là où il était.

« Tu veux nous faire croire que tu peux aimer cet… énergumène. Ayato réveille toi. Dans soixante ans il sera mort et tu auras oublié qu’il existé » Dit-elle. William priait que ce n’était pas le cas. Subaru regardait ses ongles avec du mépris dans les yeux.

« Mère, cessez donc de parler, vos paroles me dégoutent de mon diner » Sa mère se tourna furieusement vers lui :

« Comment oses-tu ! Et enlève tes pieds de ma table ! » Il releva un peu les yeux et les roula. Il garda les pieds fermement en place. William tentait de se faire le plus petit possible. Merci les parents.

Lorsque la reine s'était approcher de l'endroit ou William était, le cœur d'Ayato n'avait fait qu'un bon et il s'était rapprochait assez rapidement de l'homme pour lui prendre la main, montrant qu'il était là. Il avait vue les crocs des femmes sortis, et cela ne l'amusait plus. Avant, il aurait fait partis de ceux qui aurait pus se moquer des humains, mais désormais non. Les léviathans ne se rende pas compte de la rareté des jours, ils vivent longtemps, pour eux, les jours passent, il passent, pour les humains, ils sont compter. Interloquant leurs doigts, Ayato le regarda et lui fit un sourire pour lui montrer qu'il n'avait rien à craindre, que temps qu'il était la, rien ne lui arriveras, aucun léviathans a part lui n'avait le droit de gouter le sang exquis de William. Glissant les yeux vers sa mère, Ayato sourit et la regarda :

- Vous pouvez pensez bien ce que vous voulez mère, comme tout le monde ici, mais sachez que j'aime William, que vous le voulez ou non. Et si cela ne vous plait pas, je m'en fiche puisque je ne vous demande pas votre avis.

Alors que la reine allez répliquez une de ses jérémiade que nous connaissons tous, le bruits de la porte principale qui se ferme fit comme un coup dans la joue de la mère, s'avançant vers le couple, la personne qui était entrer fit un sourire. Ayla déposa une main sur lépaule de son frère Ayato et sourit :

- Mère, vous vous plaigniez qu'Ayato soit un coureur de jupons, qu'il n'arrive pas à tomber amoureux, qu'il n'arrive pas à ce poser, et dés qu'il viens, avec quelqu'un qu'il aime, vous n’êtes pas d'accord. Et vous savez tout autant que moi qu'Ayato, tout comme Subaru, ne vous écoute pas, et qu'ils font ce qu'ils veulent, si Ayato à décidez de se marier avec William, il le feras que vous le veuillez ou non.

William était légèrement en choc. Ayla était venue à leur défense, clairement elle était pour… surement. Il la regardait et lui lança un sourire. Des murmures commencèrent autour de lui ; ils avaient tous parlés pour leur cause, ou contre bien sur. Sauf lui. C’était leur couple, il ne savait pas s’il devrait réellement, mais il ne pouvait simplement se taire. Subaru hocha la tête de son coté :

« Ca sert à rien de perdre notre souffle. Passons aux bonnes choses. Il y aura un mariage, super. Laissez-moi continuer mon diner » William souria au prince. La mère elle au contraire, semblait tout sauf amusé à son attitude. Elle s’approcha d’eux, mais restant à distances de la chose.

« Un homme Ayato. Un humain. N’as-tu pas mieux que cela ? Non seulement un homme, mais un suicidaire » Will regarda ses pieds, son corps à trois milles à l’heure « Ah tu pensais que je remarquerais pas peut-être. Ton odeur empeste, vermine »

Will ferma les yeux un instant et respira. Il releva son menton et faisait face à eux avec le meilleur de son courage, même s’il tremble comme une feuille.

« J’aimerais dire quelque chose » Dit-il en feignant la détermination. « J’ai compris votre position. Vous me méprisez, me détestez, soit. Je ne suis pas parfait, et oui dans 60 ans je serais mort. A tout compté vous vivez surement une centaine de vie humaine, et je les survivrais pas. Mais je sais que si je pourrais le rendre heureux ne serait-ce que pour une de ses vies là, ca serait parfait. Vous n’avez surement même pas écouté ; mais si ca peut rassurer vos esprits, il n’y a rien dans se misérable monde que j’aime plus que votre fils »

Le cœur du jeune prince accélérer au fur et à mesure des paroles de William. Il serré sa main en souriant, William avait surement trouvé les mots pour bouclé la bouche à sa mère, qui commençait à réfléchir pour trouvés une réponse. Regardant ses frères et sa soeur avec un sourire pour remercier certains d'entre eux pour leurs soutient. Il se retourna ensuite vers William et déposa ses lèvres sur les siennes, sentant les yeux de tout le monde contre son dos, même ceux de sa mère. Mais il s'en fichait ! Il aimait se mec bordel ! Il l'aimait ! Il le voulait pour lui, contre et envers tout. Il s'en fichait qu'il ne vivait que 60 ans, il s'en fichait de savoir qu'ils ne pourrait pas passer leurs vie ensemble. Il se fichait que William soit un homme ou bien une femme, il s'en fichait qu'il ne pouvait lui offrir une famille, il l'aimait, il l'aimait de tout son cœur et de tout son être. Alors qu'il admirait William, la voie aigre de sa mère se fit entendre :

- Tait toi Humain, tu n'as pas à parler, tu n'est rien pour nous autres, tu n'est qu'une vermine de la pire espèce, tu pue le suicide et la vie courte. Tu n'est qu'un moins de rien, un idiot, un ... tu me dégoûte ...

Ayato continuait à regardait William, il avait entendue parlait sa mère, et au moment ou elle s’apprêtait de continue ses paroles, Ayato parla :

- Tu peut parlait maman, tu peut continuer à l'insulter, à le rabaisser, mais tu ne comprendra jamais se qu'on vie. Tu n'a jamais aimait papa, et tu ne l'aimeras surement jamais. Mais que tu le veuille ou non je me mari avec cette homme. Il est surement rien pour toi, mais pour moi il est tout. Il est mon point d'encrage, il est le phare qui illumine le fleuve de ma vie, il est celui sur qui je veut me reposait, il est celui que je veut voir en me réveillant, ainsi qu'en me levant. Je veut sentir son corps sur le mien, sentir son souffle sur mon cou, ses mains dans ces cheveux. Je veut l'entendre me dire oui au mariage. Donc mère, abandonne, tu n'arriveras jamais à nous séparé.

William souria à Ayato, se mordant la lèvre pour ne pas se mettre à dire trois milles trucs. Il y a beaucoup de chose qu’il voudrait lui dire, mais il préfère les garder entre eux ; comme un secret inédit qu’il transpose l’un à l’autre. Dans une vague de fierté surement pour son fiancé, Will passa les bras autour de son cou et le serra un instant. Sa mère ne pourrait rien dire, certainement. Il lui murmura :

« Je t’aime » Subaru se leva vraiment à cela. Il lança un regard à tous ceux présents, comme s’il les défiait de l’arrêter. Il regarda le couple et leur fit une révérence de la tête. Il leva les mains et les applaudit de nouveau, cette fois-ci surement plus honnêtement. Il continua en haussant un sourcil aux autres, comme s’il cherchait à bouger son fan club d’applaudir aussi. Quelques femmes qui pensent encore pouvoir gagner le jeune prince se mirent en effet à applaudir, les plus jeunes frères inclus bien sur. William souria et embrassa la joue d’Ayato. Il y avait une éruption d’un cri suivit d’un pleur. Une femme partis en courant hors de la salle en pleurant, une fan surement. La reine souffla et annonça :

« Je dis alors officiellement, que je ne donnerais pas ma bénédiction pour cet relation. N’importe que vous faites, le mariage ne sera pas pris en compte par le royaume, et cette homme ne sera jamais accepté au château » William la regarde, puis Ayato, puis la reine. Il avait fait sa part, plus rien à dire. Subaru fit une motion vague de la main :

« On a l’habitude de sa maintenant. C’est vrai que Lylin n’habite pas du tout au château non plus. N’y fait pas attention Ayato. Mari le et laisse moi finalement finir mon diner »

La fierté qu'Ayato ressentait en ce moment pour lui même était quelques choses de tellement ouvert qu'il ne pouvait la cacher, la montrant presque définitivement à tout le monde en rentrant son étreinte à William. Il s'en fichait qu'il ne soit pas acceptait au château, il ne comptait pas y vivre. Regardant son frère aîné, il tira Will pour le coller contre son torse, fermant les yeux pour mieux déguster le moment présent. Ils avaient réussis à passer outre le fait que sa mère n'acceptait pas se mariage, il se fichait de sa bénédiction, tant que personne ne se mettrait entre l'amour qu'il portait à Will. Il le serrait contre lui, comme si il voulait le mettre en lui, le cachait de tout le monde, comme si il voulait le mettre dans son cœur, au chaud, pour pouvoir l'avoir à lui, toujours avec lui. Il le pris par les épaules pour le regarder dans les yeux, reflétant tout son amour. Il tourna les yeux pour regarder sa mère :

- Parce que tu pense que j'aurait passer ma vie sous tes ordres dans se châteaux ? : Il se tourna vers Subaru et sourit : Bonne appétit Subaru

Il approcha ses lèvres de l'oreille de Will et susurra :

- Je t'aime de tout mon cœur, et j'ai justement très envie de toi.

Subaru ne savait pas lire les lèvres, mais il n’avait aucun mal à deviner les paroles d’Ayato, le connaissant assez bien pour cela, et devinant grâce à la réaction de William. Il roula des yeux amusé, et comme indiqué, il reprit sa fourchette et continua son diner avec le petit doigt levé comme s’il ne s’était rien passé. Personne autour de lui ne semblait trop vouloir le suivre dans l’exemple et le regardait bizarrement.

William de son coté, n’avait œil que pour Ayato. Il rougit un peu à ses paroles et le regarde dans les yeux avec un sourire. Il tient ses deux mains et sourit. Subaru voyait déjà leur mariage en face de lui. Quel ironie que ce serait face à sa mère. Il continua le repas tranquillement. Will commençait à sentir les petits cheveux derrière son cou monter doucement à force des regards dans son dos. Il l’embrassa rapidement, juste un contact de lèvres à lèvres. Il annonça assez fort pour qu’ils entendent :

« Je vous remercie de votre accueil ; mais maintenant je vais reprendre mon fiancé et on va vous laisser » Peut-être pas les meilleurs mots. Il tourna et enlaça Ayla silencieusement, rapidement ; un désolé et un merci entre eux, et pour personne d’autre. Il se retourna et prit la main d’Ayato, le trainant hors de la salle. Il ferma les portes derrière lui et passa ses bras directement autour du cou d’Ayato.

Si on faisait bien attention, on aurait pus voir les subtiles appelles du corps de Ayato, il n'y avait pas encore la bosse à son pantalon. Il avait le cheveux de derrière hérissé, frémissant aux moindres contact de sa peau contre celle de son fiancé. Au moment ou il sentis les bras de William, son corps ne lui répondait plus, il avait envie de reconnaître la sensation de son corps contre le siens, il voulait l'entendre criait son nom, il voulait le sentir trembler sous son corps, il voulait entendre sa voix, cette voix qu'il aimait. Il pris son visage entre ses mains, le collant doucement contre le mur, il déposa ses lèvres sur les siennes, aussi tendrement qu'il le pouvait. Il l'aimait, il en était aussi sur qu'il le pouvait. Il les sépare pour embrasser doucement son cou, cette peau douce et chaude :

- Je t'aime tellement mon amour, tellement ...

Will le sentait, les étincelles où leurs peaux se touchaient. L’envie d’Ayato, est un ressentit avec lequel il est assez familier depuis le temps. Il connait ses réactions sur se niveau, sait comment les provoquer et les apaiser. Il passa les mains autour de son cou et caressant les petits cheveux qui s’y trouvaient, comme un mini massage. Le feu explosait quasiment entre eux, et si l’humain n’avait pas était consommé avant, il l’est certainement maintenant. Il ferma les yeux au contact sur son cou et répondit :

« Je t’aime aussi Aya, tellement tellement » Il prit son visage entre les mains et reprit sa respiration en même temps. Il ne pouvait pas se laisser devenir… voila, alors qu’ils sont encore si proche de toute la famille qui repose derrière ces portes. Il caressa ses joues dans une motion circulaire :

« On peut aller autre part ? S’il-te-plait ? »

Ayato n'était pas du tout déranger de faire cela au couloir, devant la porte principal et les gardes, mais il comprenait pourquoi William voulais être qu'avec lui. Il aimait être avec lui, que tout les deux, il aimait le prendre dans ses bras pour serrer son corps contre le sien, il aimait presser ses lèvres contre les siennes, liant leurs langues dans une tendre étreinte. Prenant la main de William, il baisa la main, les doigts, jusqu'au poignet et se mit doucement à marcher. Il pouvais sentir les regards des gardes sur eux, et ceux de servantes. Mais il s'en fichait, il n'était proche d'aucune servantes, a part celle de Laito qui s'occuper d'à peu prêt tout les princes : Elahe, et de Sebastian, le majordome de sa sœur. Il monta les escalier, tenant toujours la main de Will dans la sienne, ne voulant la lâcher sous aucun prétexte. Au moment ou il monta la dernière marche, une jeune servante au cheveux marron assez petite pour une léviathan et un homme grand, faisant presque la taille d'Ayato, habiller en noir discutez proche de la paroi de l'escalier. Ayato leurs fit un sourire :

- Bonjour Elahe et Sebastian ! Je vous déconseille d'allez à la salle à manger, mauvaise ambiance, mais ses drôle !

Les servants lui fit un sourire, Ayato emmena Will dans sa chambre et le regarda en souriant, il ferma la porte. Il se rendît à sa commode a coté de son lit, fouilla dans le tiroirs et sortis deux bagues :

- Will, passe moi ta main s'il te plait.

William regardait autour de lui, absorbant l’atmosphère. Il était venu avant bien sur, mais il n’avait jamais réellement pris le temps de regarder. Il était bien trop occupé à être avec sa copine, et à au mieux cacher son affaire avec son frère. Y repenser maintenant c’est presque ironique. Il regarde Ayato alors qu’il passe les couloirs ; il le tire assez rapidement, ne le remarquant surement pas puisqu’il est beaucoup plus rapide que l’humain. William ne fit pas de commentaire sur cela, et lui souriait seulement. Quand il vit les deux Léviathans, il se mit derrière Ayato, il ne savait pas qu’ils n’étaient pas mauvais.

Sa chambre était si grande, si royale. Encore une fois, il y avait été avant ; c’est d’ailleurs ici qu’Ayla les vit ensemble pour la première fois. Il regardait la décoration, passa à la fenêtre pour regarder le monde extérieur. Il lança un regard à Ayato, étonné à sa demande, mais lui tendit la main sans commentaire. Il le regardait dans les yeux, et même s’il ne savait pas ce qu’il allait faire, il lui lança un sourire, juste parce que c’est lui.

Le sourire de William enfermer un papillon dans son ventre, les ailes caressant la parois de son estomac. Il aimait cette idiot, qu'il trouvait parfais. Il aimait tout en lui, et l'aimait intérieurement. Il aimait c'est cheveux, quand ils étaient attachés, il aimait les défaire, pour caresser ses pointes, sentir le fait qu'il soit soyeux. Il aimait leurs couleurs, qui ressembler tant à la couleur du sang qu'il aimait tant. Il aimait c'est yeux, il aurait voulus tant s'y perdre, regardait dans cette océan de vert jaune. Attrapant la main de Will, délicatement, il se baissa pour embrasser sa main en fermant les yeux, caressant de ses lèvres la peau soyeuse de l'humain, celle qu'il aimait tant toucher, et sentir frémir cette peau sous ces caresses était quelques choses de tellement merveilleux qu'il aimait cela, qu'il ne voudrait jamais être séparer. Il pris une des bagues et la glissa sur le bon doigts de William :

- William Garadëa, par cette bague je te montre que je veut vivre avec toi toute la vie et que jamais je ne te quitterais. Sa ta pas le choix.

Au coin de son œil, il vit quelque chose briller, et il faillit fondre là directement quand il comprit ce que c’était. Une bague. Il mit sa main libre sur sa bouche en le regardant faire. Il glissa la main un peu nerveusement sur sa joue et dans ses cheveux, révélant son meilleur sourire. Il le regarde, il le sent glisser la bague sur son doigt, et le froid claque contre sa peau. Elle est magnifique. Il garde la question quelque part en l’arrière de sa tête, mais le pose après. Il ne veut pas gâcher l’ambiance qui les entoure. Alors il leva la main et regarda la bague contre la lumière. Il souria :

« Magnifique » Puis il s’approcha d’Ayato et glissa les mains autour de son cou. Il caressa son cou et baissa un peu sa tête pour qu’il puisse poser son front contre le sien. Il le regarde dans ses yeux splendides, les siennes brillent car ils sont moites et il dit :

« Ayato Hashimoto, en acceptant sa bague, je t’accepte dans ma vie, aujourd’hui et jusqu'à ma mort. Je me voue à te rendre heureux, à rester à tes cotés jusque mon dernier souffle. Je te veux tout autant avec moi. Je veux être la personne qui t’attend à la maison. Une maison où t’a intérêt d’entrer. Ca ta pas le choix »