Rendez-vous en terres inconnue {Lyrë & Sabo}

Cela faisait maintenant une bonne heure que Sabo avait quitté les terres humaines,tout ce qu'il faisait c'était penser.A quoi ? Eh bien il faut dire qu'en se moment,Sabo n'avait pas la tête emplie de joie,au contraire,la haine et la douleur intérieur le ronger petit à petit au fil du temps.Tête baissée,mains dans les poches,il marchait de tel,réfléchissant à sa vie,se posant quelques questions absurdes auquelles il n'avait pas de rèponse...Quelques soupir s'évadaient de sa bouche au rythmes de ses pas foulant les terres Léviathans.En parlant de ca,il ne savait pas où il allait,d'ailleurs cela l'importait peu,en fait il voulait pas savoir,tant qu'il quittait les Humains,cela lui allait.Ces derniers jours,Sabo avait la rage de vivre,la rage d'être encore là...Nul ne serait vous dire à quel point il regrette tout ca,toute sa vie.Pourquoi n'ai-je pas eu une simple enfance comme les autres ?C'était l'une des questions absurdes qu'il se posait,l'une des questions auquelles il n'aura jamais de rèponses...A ce moment-là,il bouscula quelqu'un mais il continua sa route,sans aucune marque de respect.

« Mentendarë Lyrë ! » Exclama une certaine reine d’une voix obstinant. La Lyrë en question n’y prêta que très peu attention. Elle se leva simplement du banc sur lequel elle était assise jusqu'à ce que sa mère vienne lui gênait.

« Non » Répondit-elle simplement « Le choix à été fait. Même si vous le voulez, je ne reviendrait pas au château »

« Saryä » Murmura la reine. A cela Lyrë se leva. Elle avait été virée du château, cela elle l’avait accepté. Rien en elle ne voulait particulièrement y retourner. Trop de souvenirs gambadaient les lieux dans des motions macabres. Elle décida de partir. Plus loin. Bien plus loin. L’ennui la rongeait, et elle avait besoin d’une manière de l’enlever. La dernière fois, elle était tombé sur un Hybride en terres Léviathans, et celui-ci avait prouvé être distrayant. Elle y alla donc.

A son arrivé elle ne trouva pas Beotouk, malheureusement. Mais elle s’arrêta quand elle vit un homme marcher, comme s’il ne voyait pas le monde autour. Il avança vers elle, comme si elle était un fantôme, et la bouscula. Lyrë soupirait. C’était bien les manières humaines cela. Elle dit à haute voix :

« Le minimum des politesses est tout de même de s’excuser ; marandä »