Un sentiment plus fort que la peur - [Law/Subaru/Lylin]

Le soleil était à peine levé. Même pas du tout pour être tout à fait franche. Je n'avais pas fermé l’œil de la nuit. J'étais beaucoup trop préoccupée. Plusieurs mois après notre mariage à Subaru et moi, et j'était déjà stressée par toutes les obligations de la cour. Enfin... les obligations... c'était un peu exagéré. Les obligations n'étaient rien par rapport à la pression continuelle que posait le regard de la Reine sur mes épaules. Je sortis du lit, passant ma main sur l'épaule de mon mari. J'entrais dans la salle de bain et observais mon reflet dans le miroir. Mon visage était comme rongé par la maladie: j'avais deux immenses cernes sous les yeux, due aux nombreuses nuits blanches, mes joues étaient creuses à cause du manque d'appétit et mon teint était plus blafard que mes draps. J'ouvrais le robinet et me passais un peu d'eau sur le visage.
J'étais tellement angoissée ces derniers temps. Toute cette agitation autour de moi, c'était un peu trop. Mais il n'y avait pas que ça, il n'y a jamais que ça. La Reine était venue me voir. Une fois où j'étais seule. Elle était venue et pas pour m'offrir des fleurs loin de là. Elle était venue dans le seul but de me menacer. Elle ne voulait qu'une seule chose bien sûr. Elle voulait que je quitte mon mari. C'était la seule chose qui lui importait. Mais je n'avais pas l’intention de céder à ses désires. Il s'agissait de ma vie et non de la sienne et je n'allais pas la gâcher pour une femme comme elle. Malheureusement, la Reine était un véritable chien de chasse, elle ne lâchait jamais sa proie et j'étais sa proie. Elle m'avait menacée sans passer par quatre chemin. Si je ne lui laissais pas Subaru, elle ferait de ma vie un véritable enfer sans issue et je savais qu'elle en avait le pouvoir. Mais elle ne s'en était pas arrêtée là. Elle menaçait aussi de s'en prendre à son propre fils pour arriver à ses fins. Je ne pouvais pas la laisser faire. Encore, s'il n'y avait que moi de concerné je lui aurais volontiers tenus tête mais si Subaru entrait dans la partie en tant que point, la donne changeait. Je ne pouvais en aucun cas risquer sa vie. C'était trop dangereux de se frotter à la Reine dans ce dilemme.

je secouais la tête et sortais de la salle de bain. Je restais encore un petit moment à contempler mon mari. Depuis peu de temps nous étions liés pour l'éternité mais je le regardais encore dormir comme au premier jour. Il était si beau et si calme, endormi comme un petit enfant sans défense. Il était tellement calme et serin, j'en étais presque jalouse. Je souris seule face à lui. J'ouvrais ensuite le rideau pour voir l'aube laisser la place à l'astre de feu du matin. J'avais besoin de changer d'air, d'espace. Je devais me vider l'esprit pour affronter la journée d'aujourd'hui. Je m'habillais convenablement pour ne pas avoir froid dehors. une fois cela fait, je descendais les étages du château encore endormit. Je sortais enfin à l'air libre. Le froid me fit rougir et frissonner à la fois. Je croisais les bras et me frottais les épaules pour me réchauffer un peu. J'avais besoin de marcher pour me changer les idées. J'avançais en direction de la forêt, juste à la lisière, je ne risquais pas de croiser quelqu'un à ce moment de la journée et en ce lieu. J'aurais la paix et le calme pour m'apaiser.

Enfin... je l'espérais.

Mais que croyait-il ? Pensait-il vraiment que il finira sa vie enfermer dans un cachot gardez seulement par des gardes ? Suis-je réellement obligés de vous redire que cette homme est quelqu'un de très rechercher ? Non, enfin, j'espère, car sa me ferais mal, franchement. Law sortait d'une maison hagraven, un chiffon dans les mains qui était emplit de sang de ses victimes, il passa un coup d’œil dehors et posa la clefs dans le pots de fleur ou il l'avait trouver. Il marchait calmement, il avait quitter Elal il y a deux jours, pas quitter émotionnellement, il était partis, mais il restait ensemble, ils ne pouvait pas se voir tout les jours, s'était trop dangereux pour Law de restait dans le même endroit plusieurs jours, et puis, de toute façon, cela mettait l'elfe qu'il aimait en danger si jamais quelqu'un les voyait. Passant une main sous son chapeau, il souffla, les personnes qui venait de tuer n'était pas les meilleurs proies, malheureusement ils n'avaient nullement crier, et Law en avait était fortement déçu. Son sabre sur l'épaule il sorti du village pour marcher vers les terres léviathans, oui, il avait était attrapé la, mais il s'était enfuie et il venait désormais voir se qui était nouveau, si les autres personnes normal, venait de se rendre compte qu'il s'était enfuie. Futilité, il ne fallait pas enfermer Law dans un cachot et pensait que l'affaire est régler. Il marchait entre les arbres en sifflotant quand une odeur lui vint, une léviathans, s'était sur, mais une odeur qu'il connaissait semblait flotter autour de cette personne, celle des princes, et surtout du prince Subaru Hashimoto, donc soit s'était sa sœur Ayla (leurs odeurs était presque similaire), soit s'était sa femme, Lylin. Passant une main sur son sabre, alors que l'une le tenait, se qui était assez inutile, mais Law fait beaucoup de chose inutile et cela je ne vais pas vous l'apprendre.

Cet alors qu'il l'a vit, cette femme, prénommait Lylin, qui avait était sans nom de famille et qui maintenant portait le nom de la famille des princes, mariés a Subaru Hashimoto, le prince dit le plus beau du royaume, suivit de prés par Ayato (ben ouai), Law était assez curieux, il connaissait Subaru, s'était quelqu'un de froid et qui se foutait de tout se qui l'entourait, donc comment il pouvait tomber amoureux a une femme, lui qui avait toujours cru qu'il finirait seul. D'une vitesse, Law alla s'accouder a un arbre et regarda la jeune fille s'approcher semblant ne pas l'avoir vus il prévint :

- Ce n'est pas très responsable d'ainsi se promener. Seule.

C’était finalement le soleil qui levé Subaru de son sommeil, comme il le préféré. Il laissa tomber sa main sur le coté du lit, qui était noté par un manque. Le prince soupira et posa son bras par-dessus en grognant doucement. Cela n’était en soit pas du tout étonnant que Lylin soit levé avant lui, mais il savait très bien qu’elle se levé particulièrement tôt. Il s’inquiété pour elle, s’était le cas de le dire. Sa santé se dégradé au fur et à mesure de sa vie paisible au château. Bien sur qu’il était conscient de la haine de sa mère, et de l’effet que cette haine avait sur sa femme ; il s’en désolé. Il lâcha un soupir profond et se leva. Il s’habillé de façon décontracté, rapidement, n’y mettant que trop peu d’importance. Il sortit de sa chambre, et devant il croisa une des servantes de Daremos. Subaru s’approcha d’elle sans lui dire bonjour :

« Quarÿn, aurais-tu vue ma femme ? » La dénommé Quarÿn se tourna et secoue la tête timidement avant de partir. Subaru soupira et descendit. Dans le hall il croisa tout ses frères. Ayato semblait préoccupait par une certaine Léviathan ; Reiji le regardait avec le menton levé et partit ; avec Shuu c’était un combat de regard ; Laito lui fit un sourire excité, annonçant quelque chose que Subaru n’avait pas écoutait ; et Kanato tenait Teddy dans les bras, et lui parlait doucement. Le quatrième n’en avait que peu à faire et passé le château dans une cherche passive pour sa femme. Elle ne partait pas souvent loin, alors après mangé il sortit tout de même dans le village. Il croisa assez rapidement Philéodore, qu’il coupa dans son élan. Ce dernier souria et lui dit :

« Mon cher homme ! Quel joie de vous croiser, comment-allez vous ? » Subaru l’ignora et l’attrapa la manche pour le tirer vers lui.

« As-tu vu Lylin ? » Demanda-t-il simplement. Léo fit une motion de la main en regardant vaguement dans l’air. Il dit :

« Je les croisées il y a …ô, probablement trois heures de cela ; elle partait en direction du bois. Mais je dois dire qu’elle avait l’air bien pensif. Je lui ai dit bonjour et appelé, mais elle semblait ne même pas m’avoir entendu » Subaru partit immédiatement sur cette nouvelle. Il entendit un appel de de rien ! derrière lui mais il l’ignora. Il le sentait mal. Il se passait quelque chose, et cela le frustré énormément qu’il n’arrivait pas à voir quoi. Il repartit pour le château, sachant que s’il y avait des réponses à trouvés, ce serait probablement là. Il croisa cette fois-ci une différente servante, une qu’il connaissait mieux que Quarÿn. Il l’attrapa rapidement avant qu’elle ne parte pour faire son travaille. Il lui posa maintes questions. Et c’était avec une légère couleur de rouge qu’elle lui répondit :

« Je dois vous avouer Subaru, que j’ai entendit la reine menacer Princesse Lylin. Je n’étais pas sensé entendre ! C’est pour cela que je n’ai rien dit.. » Une menace, Subaru voyait rouge. Il aurait dû s’y attendre, il aurait dû le savoir. Sa mère, sa propre mère en chair et en sang, menacer sa femme. Il partit immédiatement pour le salon, où il savait que la majeure partie de sa famille sera réunit pour le déjeuner. Il claqua la porte avec force, son regard immédiatement dirigé vers sa mère, alors que tout les autres se rivés vers lui. Il dit froidement :

« Où est ma femme. » Sa mère le regardait, il la fixé. Tout les deux les mêmes yeux impénétrables, surement le seul héritage qu’il a d’elle. Elle ne lâcha pas un mot, pas un seul. Subaru s’avança, et posa ses paumes à plat sur la table avec force, se positionna entre Laito et Kanato, face à la reine.

« J’ai dit : Où.est.ma.femme. » Répéta-t-il encore plus froidement, avec plus de force. Sa mère ne dit toujours rien, et un silence ce joint à eux. Subaru leva la main et pointa vers sa mère.

« Je sais que tu l’a menacé, espèce de fillasse. Et quand je la retrouve, si je sais où elle est, et que je sais pourquoi elle est pas ici, tu me le payeras » Il se retourna, en même temps qu’elle se leva pour exclamer son indignation. Il le sentait mal, de plus en plus mal même ; mais il allait la trouver, il le devait.

- Ce n'est pas très responsable d'ainsi se promener. Seule.
Dans mes pensées, je levais à peine le nez de mes pieds pour voir qui avait parlé. Je n'avais aucune envie de savoir et aucune envie de parler. Je n'étais pas là pour discuter de la pluie et du beau temps ou de ce que je dois ou non faire. J'étais là pour le calme pas pour parler de mes obligations ou de mes interdictions dûes à mon nouveau rang. Je n'en avais ni le coeur ni l'esprit. Je jetais tout de même un bref regard  et faisais une rapide révérence pour la politesse avant de poursuivre mon chemin parmi les arbres. Mes yeux agrippèrent toutefois un détail d'une assez grande importance me direz vous. Un sabre. Long d'au moins 2 mètres. C'était peu commun. A vrai dire pas du tout. Une seule personne en possédait un de cette taille. Mon sang se figea dans mes veines et mon coeur rata un battement. Mes yeux s'agrandirent, trop choquée par ma découverte. J'étais littéralement sous le choc et je m'arrêtais, figée sur place, pendant quelques instants où je fus tout simplement incapable de faire le moindre geste. Puis mon cerveau calma le reste de mon corps. Il empêcha mes jambes de trembler, mon coeur de s'affoler et mes mains de se crisper. Je ne risquais rien. Le seul capable de me faire du mal à ce moment même, comme mon imagination avait presque réussi à me le faire croire, était actuellement aux cachots du palais. Trafalgar Law ne pouvait pas m'atteindre. J'étais en sécurité. Je n'avais aucune raison de m'inquiéter. Je soufflais un bon coup, respirais calmement et réussi à débloquer mon corps. Je fis un pas en avant puis un deuxième et continuais doucement mon chemin en passant à côté de l'homme sans m'arrêter et sans le regarder. Je laissais tout de même tomber un "Bonjour, excusez-moi je suis attendue", pour la politesse. Il fallait quand même que je me comporte de façon digne de la famille Hashimoto, au moins pour avoir l'honneur de porter leur nom. Je remis ensuite mes mains autour de mes bras pour les frictionner et me réchauffer sommairement.

Le sourire de Law s'élargissait au fur et à mesure qu'il voyait la jeune femme restait complètement figée quand elle l'avait aperçus. Cela l'étonna quand elle se mit à mouvoir, croyait-elle que cela n'était pas possible qu'il soit la tout simplement parce que il était "normalement" être dans le cachot ? Et bien non, il était partis. Au moment ou elle passa a coté de lui, il l'attrapa brusquement par le bras, échangea leurs places pour que la jeune hagraven se trouve contre l’arbre et qu'elle ne puisse pas bouger. L'odeur était claire, s'était celle de la femme de Subaru, cette homme que Law n'avait aucune envie de s'attaché et semblé vouloir tout faire pour l'énerver.  Gardant sa main sur son sabre, il se servie de l'autre pour la déposer délicatement sur le coup de la jeune femme en plantant ses yeux dorés dans les siens. Je lécha mes lèvres en la regardant, comme un lion devant sa proie, et regardant autour de moi, je prononça en souriant :

- La princesse Hashimoto, enfin la femme de Subaru. Heureux de faire votre connaissances.

Il planta ses yeux dans les siens en souriant :

- Vous ne pensiez pas me croiser hein ? Désolé, vos chère gardes ne sont pas à la hauteur.