Pauvre Idiot | Philéodore & Lunayä

J'aurais dû suivre mes cours de Geo, était l'une des seuls pensées cohérentes que Philéodore avait au moment de son périple. Il était partit se promener, pour raison que ses deux plus grands frères se battaient encore dans le salon et lui en avait marre. Il comprenait pas et donc il est partit en attrapant ses habits d'hiver. Sur beaucoup de point, c'est de sa propre faute; mais de d'autres, ça ne l'es pas. Ce n'est pas de sa faute que ce monde est si grand! Bien sur, il aurait aussi juste pu faire attention à quel chemin il prenait, à la place de sourire bêtement aux alentours. Donc il est perdu. Il avait suivit les hordes d'oiseaux qui partait vers le Nord, et était probablement partie trop loin. Il était dans un forêt, cela au moins il le savait sur et certain; ou peut-être sur une montagne.. M'enfin! Conclusion est qu'il est partit des terres Léviathans et est à présent royalement perdu. Il passait dans les rangés d'arbre en exclamant:

"C'est par ici! Parce que je reconnais cet arbre; c'est celui qui ressemble à mon père" Idiot qu'il est, il avait probablement omis de penser que peut-être tout les arbres ici ressemblent à son père. Alors dans la forêt, alors que la crépuscule commençait à se poser, on entendait de façon continue des:

"Aha!" Ou même des "J'ai trouvé!"

Même s'il n'a rien trouvé et qu'il a encore moins raison de Aha-ter. Il souffla en passant une main dans les cheveux sous les oreilles sur son bonnet. Perdu. Et maman s'inquiété probablement pour lui - il avait promis d'être rentré pour le diner. Il tenta naïvement de siffler en espérant attirer l'attention de son faucon voyageur - mais celui ci était encore à Daremos (Et je m'excuse, mais même l'ouïe d'un faucon n'est pas assez puissant pour traverser ses distances). Il continua de marcher. Cette fois ci, il décida de suivre les traces des biches dans la terre - ce qui, pauvre idiot, n'est pas à ton avantage non plus.

Spoiler:

Dans un endroit qu'elle connaissait comme sa poche, Lunayä n'avait pas la possibilité de se perdre, elle marchait donc naturellement, dans la forêt noir, sa chouette volant à coté d'elle. Elle avait maintenant l'habitude de l'emmener partout ou elle allait, non parce que elle pensait que c'était la meilleure chose à faire, mais surtout parce qu'elle sentait que des personnes ne pouvait pas lui faire que du bien. Et ces raisons ainsi que cette crainte s'accentuèrent lorsqu'elle rentra dans la forêt noir : l'odeur du sang, minimes qu'elle soit, était la, un animal, surement un cervidés telle qu'une biche ou un cerf. Cela l'inquiétait, les loups surement, mais l'odeur d'un humain était dans les parages, et il semblait biens à un Léviathans. Ses donc, emmitouflés dans un manteau blanc, portant un chapeau tout aussi blanc que Lunayä, accompagné de sa chouette, marchez dans la forêt noir en cherchant l'intrus. Elle entendait les bruits des animaux, les murmures des arbres et les craintes de leurs feuilles, mais elle entendait aussi les cris d'agonie de la biche, et aussi une voie d'homme ... Attendait une voie d'homme ? D'un mouvement, elle sortis son arc et une flèche et elle l'encocha dans l'encochure (cette phrase est pas française) et se mit à suivre la voie. Cet alors qu'elle vus cette homme, qui s'extasiait devant un arbre, un bonnet avec de longue ... chose qui pendait au tour de la tête. Bandant son arc, elle visa d'abord le ventre de l'homme, mais se dit que non, il était beau ( tes chevilles) et mieux ne vaut pas le tuer, elle visa donc juste à coté de la tête et planta la flèche dans l'arbre, elle siffla et montra a flèche des yeux pour que la chouette y aille se déposer. Elle s'avança vers l'homme :

- Que faite vous ici ?

Elle le regardait de ses pupilles bleu et s'était arrêter.

Philéodore lacha un crie de surprise quand il sentit plutôt que sentit la flèche passer à coté de sa tête. Il posa une main sur son torse en inspirant fortement, un coin de son oeil trainait sur la flèche. Il tourna le regard vers la personne qui lui avait tiré dessus. C'était une femme particulièrement charmente, une elfe il semblerait même. Elle ne semblait pas particulièrement offensive, hors mis le fait qu'elle lui avait tiré dessus. Il s'approcha d'elle doucement avec un sourire nerveux. Il dit:

"Bonjour charmante Dame. Je vous assures, je ne fais rien de mal. D'ailleurs, votre visé est excellente" Termina-t-il hésitant en jettant un regard vers la flêche. Il devrait s'en sortir, logiquement. Avec un peu de charme et de politesse, il devrait partir vivant. Puis une si belle femme, ne peut pas être dangeureuse tout de même. Il s'inclina devant l'elfe, en lui offrant sa main pour un salut. Il dit:

"Philéodore Claymore of Elderbridge. Mais je vous enprit, appelez moi Leo" Il se releva puis ajouta avec un petit sourire "Il semble simplement que je me suis égaré dans vos terres; je peut être honnête en disant que je ne sais pas où je suis"

Lunayä regardait l'homme, l'arme toujours prête à être utilisé en silence. S'était donc surement quelqu'un de haut gradés, Léviathans, l'odeur en était sur. Après avoir écoutait la première réplique de l'homme, elle fit un sifflement, toujours les yeux bleu fixé sur l'homme, elle appeler sa chouette. Un bruit de craquement d'arbre, signe que la chouette arracher la flèche de l'arbre créant un trous, elle rangea son arc ainsi que les deux flèches (dont l'une venant d'être utilisé) et fit signe à l'oiseau de s'envoler. Lorsque l'homme tendit la main en s'inclinant, Lunayä fut étonné, pourquoi faisait-il cela ? Alors qu'elle l'avait attaquez. Elle saisit donc cette main et regarda l'homme dans les yeux :

- Je me nomme Lunayä Lothloriën.

Elle serra la main, dans une notion en due et bonne forme et fit le tour de l'homme en récupérant une motte de terre. Elle la mit dans le trou crée par la flèche et, en fermant les yeux, elle prononça :

- Kilönien Hu Santomyän.

"Guérit et vie", voila ce qu'elle avait dit, en rouvrant les yeux elle se retourna et regarda l'homme en plantant ses yeux azur dans les siens :

- Veuillez m'excuser pour cette accueil, je ne savait pas que vous était perdue, vous vous trouver dans le territoire des elfes, La forêt noir.

Philéodore se retourna pour la regarder faire. Elle semblait guérir totallement la terre qu'elle avait à peine détruit. Il regardait fasciné la charmante dame, donc nommé Lunayä, une elfe qui sauvait les lieux. Il n'aurait même pas pensé à faire une telle chose. Il se gratta le derrière de la tête à ses paroles, passant sa main sous son bonnet. Il l'enleva, ayant appris que l'on ne converse pas avec une femme avec quelque chose sur la tête. Il s'inclina encore un petit peu en disant:

"Non, c'est moi qui doit m'excuser. Je devrais faire attention où je marche" Il la regardait dans les yeux. Des yeux charmants, magnifiques. Elle était généralement une plutôt belle femme d'ailleurs. Philéodore aimait s'entouré de belles femmes, pourquoi il ne savait pas réellement. Mais il avait toujours eu un oeil pour la beauté. Il réalisa qu'il l'avait fixé et ajouta doucement avec un petit rire:

"Oh excusez moi. Je n'aurais pas dû regarder. Et excusez aussi ma rapidité mais vous êtes une bien charmante femme"

Lunayä regardait l'homme quelque peu étonné, on lui avait dit qu'elle était une femme ayant un physique plaisant, mais on ne lui disait jamais qu'elle était "charmante". Elle tourna la tête, les compliments n'était pas sa fort et le rouge vint à ces joues, voila quelque chose qu'elle n'avait pas non plus l'habitude : rougir. Elle soupira et passa sa main dans ses cheveux, soulevant une mèche et la laissa tomber ensuite. Elle se redressa et regardait Léo en souriant : il ne fallait pas être impolie ni faire la gueule. Un cris lui fit lever les yeux, sa chouette la regardait, lui demandant des yeux si elle pouvait partir, Lunayä lui fit un mouvement de main pour lui donner l'autorisation. Elle regarda l'homme et fit une petite révérence :

- Je vous remercie.

Elle lui fit un sourire : toujours rendre les compliments, et puis ce n'était pas faux :

- J'ai moi aussi rarement vus un homme charmant comme vous, votre famille doit dépassé la famille Hashimoto.

Oh Philéodore avait été appelé charmant assez souvent dans son temps; il le sait. Du moins, c'est une vertu sur lequel il repose beaucoup de valeur, il tend vers être charmant. Il gloussa derrière sa main. Dépasser les Hashimoto? Jamais. Entre les six frères d'une beauté incomparable et la soeur magnifique; c'était plutôt difficile de les dépasser. Alors il rigola en répondant:

"Dépasser les Hashimoto? Jamais. Ce sont des voisins lointains on peut dire. Je suis proche de Ayato et Subaru, peut-être vous les connaissaient" Il regardait autour de lui. Il était plutôt ravis qu'elle n'était pas offensive. Elle semblait même, non seulement une charmante dame, mais une femme simpatique aussi. Il avait bien vue le rouge sur ses joues mais n'en fit pas de commentaire. Il souria en demandant:

"Pourriez vous me dire si je suis loin de Daremos?"

Lunayä regardait l'homme, oui, comme toutes personnes, elle avait entendue parlait de la beauté incroyable des Hashimoto, elle avait eu plusieurs fois la chances de rencontrer les princes, puisque elle était elle même amie avec Subaru depuis longtemps et comme il s'entend bien avec Ayato, elle l'avait croisé. Elle passa une main dans ses cheveux et mit une mèches de ses cheveux derrière ses oreilles et fit un sourire :

- Oui, je connait Subaru, nous nous connaissons depuis que on est petit, et Ayato ben oui.

La seconde question dut lui demandez plus de réflexion, elle avait l'habitude de marchez pour se déplacer dans les terres Elfiques, la plupart du temps elle prenait sa jument. Elle réfléchissa puis regarda Leo dans les yeux et lui sourit :

- Je peut vous y accompagné, a cheval.

Subaru ne lui avait jamais parler de Lunayä. Stupide homme, il devra lui demander. Et Ayato aussi d'ailleurs. Il pausa quand il entendit. Aller en cheval vers Daremos? C'est une notion bien intéressante. Cela remontait à belle lurette qu'il avait été sur un cheval; ca remontait à la parade il y a quelques centaines d'années pour celébrer la naissance du plus jeune Hashimoto, Kanato. Il fit une réverence de la tête et répondit avec un sourire:

"Ma chère Lunayä. Jamais je n'oserais demander à une si charmante femme de devoir prendre la peine de me ramener chez moi" Il se releva droit et lui lanca un sourire en ajoutant "Mais puisque vous le proposez, je ne me generait pas d'accepter"

Lunayä regardait l'homme, elle aimait monter à cheval et elle avait même sa jument personnelle. Regardant le ciel elle n'y vit pas sa chouette, elle était partis comme elle lui avait dit mais elle savait qu'elle n'était surement pas loin. L'homme acceptait donc qu'elle l'a ramène, mais cela n'allait surement pas être une chose super pour des elfes, elle était la commandante des elfes, et elle était souvent qualifiait de "belle femme", et si on la voit accompagné d'un homme, se dernier sera surement regarder quelque peu ... méchamment. Elle lui fit un sourire et le regardant de ses yeux bleu elle prononça :

- Puis-je vous demandez qu'on se tutoie ?

Elle se met à coté de lui comme si elle allait vers la ville et toujours souriante :

- Suivez moi.

Philéodore avait tellement l'habitude de vouvoyer que ca lui venait naturellement. Il vouvoyer même ses parents. Alors il n'avait même pas remarqué réellement. Il hocha donc la tête en exclamant bien sur! Il se mit à coté d'elle en souriant gentiment. Il dit:

"Madame, je vous suit!" Puis il s'arrêta fit une courte réverence et ajouta "Mes excuses, force de l'habitude. Lunayä, je te suis"

Puis il continua le chemin. Il ne savait pas du tout où ils allaient. Vers le village, la ville, le château, dans un pré de vache ou à la mer; il n'en avait que très peu d'idée. Il ne connaissait pas les parages qu'il visitait. Alors après avoir regarder quelques minutes bêtement autour de lui, il se tourna vers l'elfe:

"On va où ?"

Lunayä continuait d'avancer, heureusement, les écuries n'était pas loin ainsi que le village et elle continuait a avancer, intimant au jeune homme, sa chouette planait encore dessus elle, comme si ... elle les surveillez, l'elfe secoua la tête pour relâcher la mèche de son oreille qui passa devant et cacha ainsi ses oreilles pointus, cela ne la dérangeait nullement, mais elle préférez être ainsi. Alors que des cris d'hibou qui était apprivoiser, ou même d'autre animaux, Luna tourna ses yeux vers Léo et sourit :

- Nous sommes arrivait.

Elle regarda devant elle, les hommes qui s’entraînait disait bonjour à Luna "Bonjour commandante" et Luna leurs souriait. Elle tourna ensuite sa tête vers l'homme et lui sourit :

- Tu choisira ta propre monture.

Oh des écuries! Philéodore adorait cela. Non pas qu'il était déjà rentré dans une écurie, mais il adorait tout de même. Il se tourna vers elle, à ses paroles. Choisir sa monture? Il aurait pû l'embrasser! Mais il ne le fit pas et lui dit juste:

"Merci" Puis il se tourna vers les chevaux. Il y en avait en grands nombres, grand et petit. Ils étaient comme classifié par taille et Leo regarda les plus grands. Il passa ses mains sur leur museau doucement. Puis un grand cheval entièrement noir leva le museau quand il posa sa main dessus. Il s'arrêta pour le regarder et le cheval sortit la tête des barreaux pour le pousser contre le sien. Philéodore souria en le carréssant. Il dit à Luna:

"Je pense celui là alors"

Lunayä regardait Léo en souriant, le cheval faisait partis des chevaux les plus grands, et cela était normal, elle s'avança elle même vers une jument noir à la crinière blanche et la caressa en lui parlant en langage Elfique, elle fit signe a des personnes de sortir le cheval de l'écurie pour qu'ils amènent la selle ( seulement un tapis quoi) et les rênes (enfin des licols). Un groupe d'homme sortit la selle et les rênes d'une pièces. Le cheval pouvait être directement selle l'animal qui venait d'être brosser, de son coté, Luna sortit la jument sans aucun harnachement, et regarda Léo :

- Jay, il s’appelle ainsi, tu peut ouvrir la porte, il ne s'enfuie pas, tu peut lui mettre son tapis, mais désolé, nous n’utilisons pas de selle ni de rêne.

Elle fit claquez sa langue et avança pour sortir entièrement la jument et la fit tourner, elle regardait Léo en souriant

Philéodore hocha la tête, et ouvrit doucement la porte de Jay. Il était immence, et d'une beauté que Leo s'arrêta pour le regarder. Il passa sa main pour le carresser et Jay poussa son museau contre son torse si fort qu'il en prit un pas en arrière. Philéodore se mit à rigoler en passant ses bras doucement autour du cou du cheval qui semblait chercher à se faire carresser. Il posa son oreille par dessus son coeur, écoutait les battements d'un air fasciné et avec un sourire. Puis il prit la selle et la posa autour de Jay. Il tentait de mettre les reines sur lui mais il le laissa tomber à chaque fois. Alors Leo rigolait et dit:

"Je pense que Jay préfère sans les reines. Pas de problèmes. De toute manière, je ne sais pas faire de l'équitation, avec ou sans reines"

Lunayä rigola sur le coup, elle savait que Jay était un cheval joueur et qu'il n'aimait surement pas les rênes, de son coté elle déposa seulement un tapis sur sa jument et claqua une nouvelle fois la langue et la guida en faisant signe a Léo de les suivre, elle voyait bien que les gens les regardaient, enfin que les hommes regardait Léo d'un air de ... colère. Elle passa sa main sur l'encolure de sa jument et se mit devant un sorte de monticule, elle y monta et s'hissa sur le dos de la bête et la fit avancer, elle l'arrêta et regarda Léo :

- Je t'attend.

Philéodore sentait les regards dans son dos et se demandait grandement pourquoi il les recevait. Mais il est qui il est, et il se retourna pour envoyer un sourire à toutes ces personnes qui le fixait. Puis il posa une main sur Jay pour le mener vers Lunayä et son propre cheval. Alors la seule chose qui le posait un peu problème, était monter. Jay est un cheval particulièrement grand, et lui n'a pas le poids d'un elfe pour simplement le monter. Il mit ses mains sur ses homoplates et tenta de se soulever sur lui; mais en vain. Il tomba épiquement sur les fesses et tout les elfes rigolaient. Il roula des yeux et se releva. Puis il le retenta, et avec beaucoup beaucoup de problèmes il réussi à monter. Avec un sourire triomphant il dit à Luna:

"Hallelujah"

Lunayä, monter sur sa jument, le regardait en rigolant, elle ne se moquer pas, elle trouver cela rigolos tout simplement. Elle regarda les personnes et leurs prononça ses paroles " Ciënonas", ce qui voulait dire "cesser". Elle donna une petite tape a la jument qui se mit a avancer et claqua de la langue pour que Jay avance, avec son corps, elle l'a fit tourner et regarda Léo en souriant :

- Ne les écoutent pas.

Maintenant, fièrement que Leo avait réussi à monter son cheval, il tentait des techniques un peu abstrait pour le faire avancer. Jay semblait suivre son raisonnement et avanca jusque Lunayä. Philéodore passa un regard sur les gens qui rigolait et leur lança un de ses plus beaux sourire. Puis il se tourna vers la commandante en fessant une motion de la main il dit:

"Au contraire chère Dame. Appelez moi stupide si vous voulez, mais j'aime beaucoup le cabaret. Les ecouter m'amuse" Et il lui souria aussi, arrêta Jay une fois qu'ils étaient assez proche. Il lui dit gentiment "Je vous-te- suit"

Lunayä regarda les hommes et leurs intimas de ce taire en sifflant, elle ne l'es avait pas entrainait a faire cela, quand on voyait quelqu'un qui n'arrivait pas a faire quelque chose, on l'aidait, point. Elle fit avancer sa jument et siffla et regarda le ciel, elle attendis que sa chouette : Lynss, arrive vers son épaule et sourit en la regardant, elle lui dit :

- Kolïan Justän ki mi.

"Reste vers moi", elle tourna sa tête vers l'homme et lui fit un sourire ;

- Vous êtes prêt ?

Philéodore s'approcha et hocha la tête. Il tapota doucement le cou de son etalon pour le moment. Cela l'amusait, les regards, la chouette, l'incompréhension. Il y a une certaine beauté dans cette infinité incomprehensible, et il se voua à le mettre sur papier comme il pourra de tête. Il lui lanca un sourire en disant:

"Si tu es prête, je le suis aussi" Puis il se mit plus correctement sur Jay. Le dos droit, les jambes légèrement plié au genoux et les bras relaxer.

Lunayä fit un sourire a Léo et regarda une dernière fois ces elfes en leurs intimant les silences. D'un mouvement elle claqua de la langue donnant signe a sa jument d'avancer et sentis les muscles de l'animal se tendre, elle siffla encore une fois et vit sa chouette arriver vers elle. Elle lança un regard amusé vers son ami, enfin son nouveau ami et sentit la jument se mettre au trot. Les elfes était bien connus pour être proches des animaux, la jument de Lunayä connaissait cette dernière depuis sa tendre enfance, depuis sa naissance a vrai dire, elle avait sut dés la première contraction que la mère n'allait pas survivre et elle avait donc pris, a l'age de 12 ans, sous son aile, cette chère jument. Elle rigola et regarda Léo :

- Ne faite qu'un avec Jay.