L'amour n'est qu'un camouflage pour ce qui ressemble a la fureur | Lyre&Zero

La comtesse de Taralië est une femme apprécié dans la royaume de Darthoridan. Elle habite au château de Dorthonion, et tout les matins elle fait ses courses dans le village pour des aliments frais. Confortable au château, elle y passe beaucoup de temps; mais sociable, elle aime aussi marcher entre les elfes normaux et se fascine a comment ils survivent dans des conditions si médiocre. Elle a entendu dire que la famille Kara n'a pas de bain mais seulement une douche; les frissons lui passés sur le dos. Dans sa situation, elle entend bien sur les premiers ragout de la noblesse et de la pauvreté. Ce matin là en compagnie d'une tasse de thé sur la terrasse du bar car le soleil brille splendidement, elle parle avec Madame Hyren.

"Vous avez entendu?" Dit la comtesse, montant la tasse délicatement à ses lèvres en levant le petit doigt "Le petit ami de la princesse Lyrë est décédé"

Madame Hyren se tourne plus complètement vers elle; une motion qui paraissait plus dure que prévu car son postérieur, d'une masse considérable, s'était enfin imprégné de la chaise.

"Quel petit ami?" Demanda-t-elle. La comtesse posa sa tasse en croisant les jambes.

"Vous avez entendu non? Zero Kiryu. L'hybride"

"Non? Zero? Celui qui a été accusé de meurtre?" La comtesse prit sa tasse mais la reposa aussitôt en hochant la tête. Elle s'approcha de madame Hyren et lui murmura:

"Et bien. Hier après midi la garde la attrapé et l'on direct tué" Madame Hyren semblait d'un coté choqué au coté brusque, mais de l'autre rassuré qu'un autre meurtrier quitte le monde. Elle ouvrit la bouche pour parler, mais devant elle la princesse quitta le château, la tête levé et le regard impénétrable. Elle partait pour la forêt. Madame Hyren la regardait partir en demandant:

"Elle le prend comment?" La comtesse haussa les épaules aristrocratement, leva sa tasse à ses lèvres et répondit:

"Vous connaissez Lyrë. Elle n'a même pas pleurer à la mort de son mari"

Cela faisait quelques heures que l'homme était assis, contre la parois, les yeux fermés. Sa main était déposé contre son ventre, ou des filets de sang découlait, entre ses doigts, tachant la chemise blanche d'un ton écarlate. Il respirait avec difficultés, ses yeux clos et sa respiration calme pouvait nous donner le signe qu'il dormait. Les taches de sang sur les parois, sur les mains de l'homme, les gouttes sur l'herbe dehors, tout pouvait donner l'impression que l'homme était mort, et pourtant sa respiration nous disait le contraire. Il était dans cette états à cause des gardes elfiques, alors qu'il revenait d'une rencontre avec leurs princesses, les gardes lui sont tombés dessus et une bagarre s'ouvrit. Déjà blesser, un coups d'épée lui à était fatal : dans l'abdomen, les veines éclatent, les organes non touchés, il avait réussi a marcher jusqu'à une grotte ou il survit depuis. La fatigues avait attaqué l'hybride au cheveux blanc dés qu'il était arrivés dans la grotte, et il dormait encore maintenant, alors qu'on était en début d'après midi. Ses yeux blanc comme la neige, s'ouvrit enfin, un souffle court sortis de sa bouche, une grimace de douleur se dessina sur son visage quand il se hissa sur ses pied et regarda autour de lui :

- Mais qu'est ce que je fous ici ?!

Ses yeux descendis vers sa main, il enleva la main de sa blessure et découvrit avec dégoût la blessure : le sang sécher autour de sa blessure, le sang qui continuait à se découler. D'un mouvement il posa sa main sur la parois et se hissa jusqu'à la sortis, regardant sans rien dire l'herbe fraîche à ses pieds. Un courant d'air vint faire voler ses cheveux blanc : il était vivant. Commençant à avancer, il regardait autour de lui, chaque pas lui arracher une grimace, chaque pas faisait tombé une goutte de sang, il voulait fuir cette endroit. Posant un pied après l'autre, il finit par s'asseoir contre un arbre, posant la main sur sa blessure, il regarda le ciel et murmura :

- Lyrë ...

Mort. Il est mort. Lyrë avait du mal à le croire. Ils n'étaient pas allé bien loin, finalement ils s'étaient meme quittés sur un pied plutôt mauvais. Néanmoins, elle sentait comme une boule dans son estomac, quand sa mère entra dans sa chambre et lui annonca en extase que le Zero est mort, assassiné. Elle s'était figé, n'avait pas montré, n'avait pas pleurer. C'était comme Kurama de nouveau. Comme une bombe qui s'éclaté silencieusement en elle; un troue noir qui lui robbait de tous. Comme l'ennui, qui ronge, mais trois milles fois pires. Elle attrapa son arc, et sortit de chez elle, cogna contre l'épaule de sa mère; ignora tout les regards. Elle devait partir, vite, maintenant.

Elle alla à la forêt, sortit ses fleches en courant et les balancer vers n'importe quoi. D'un coté elle esperait qu'elle entendrait un cri, qu'elle toucherait quelqu'un, un garde de preference. Les fleches partaient de sa main entrainé, touché le sol, les arbres, frolait ses propres bras car elle bougeait trop vite. Elle en avait plus à present. Elle claqua le poing contre l'écorce fortement, frustré. Son visage ne la trahissait pas, seulement ses tremblements. Un autre. Mort. Elle s'arrêta finalement et souffla.

Puis c'était là. L'odeur du sang. Elle fronça. Pourtant elle n'avait touché personne. Elle se poussa de l'arbre et marcha vers l'odeur, qui devenait si fort que sa en empester les alentours entier. Et elle se figea. Pendant un moment, elle dû être sur de ce qu'elle voyait. Deux jours il avait était mort. Elle s'élanca fluidement en avant et se mit devant lui, passant rapidement les bras autour de son cou, le serrant un instant. Puis elle réalisa, et se sépara avec un air neutre sur le visage, comme si de rien était, et se décalle en disant:

"Bonjour"

Zero regardait toujours le ciel, pensant à la jeune elfe au cheveux rouge qui avait laisser son cœur en construction d'un amour pour elle. Il tenait réellement compte qu'il allait surement mourir, lui qui d'habitude n'avait pas peur de sa. Une boule dans son ventre le faisait réagir, il avait peur de partir, peur de mourir, pourtant ces ce qu'il rechercher. C'est sa qu'il recherchait quand il errer sur les terres comme un fantôme, ces ce qu'il cherchait quand il rentrer dans une maison pour voler des objets, de la nourriture ou autre choses. Mais aujourd'hui, les seules questions qui lui trottaient dans la tête était : "Est ce que je veut réellement mourir ? Est ce que cela voudrait dire que je suis trop faible pour survivre ? Est ce que je veut sincèrement quitter ce monde sans la revoir ?" Tant de question et peu de réponses, cela l’inquiétait, il n'avait jamais était comme sa. Pourtant c'était la vérité, il avait terriblement envie de la voir, de la revoir, même si elle avait l'air hostile, au fond de lui il ne pouvait que l'aimer. Un bruit dans les fourrez le fit se lever, difficile l'action fut-elle il se trouva debout sur ses jambes. Et ce qu'il vit aurait pus le faire retomber.

Elle était la, en face de lui, la jeune fille qui hantait ces pensées, la même qui l'obligeait de survivre pour une raison que l'hybride préférait complètement oubliés, ne plus connaitre ce sentiment pour ne plus souffrir, et pourtant il était bien la. Les cheveux rouges, long, la même taille fine, bien dessiner, Zero n'en croyait pas ses yeux. Et ce qu'elle fit, il ne pus le croire, il sentit pendant quelque seconde son corps contre le siens, il ferma les yeux malgré tout quand le tissus toucha la blessure. Et quand elle se décala, le même visage neutre, il ne pus que sourire. Il se posa contre l'arbre et la regarda :

- Bonjour Lyrë

Il est vivant. Lyrë ne pouvait pas le croire. Elle pouvait lui parler, le toucher, le voir ; puisqu’il est là. Pour la première fois de sa vie, elle sentait presque qu’elle allait pleurer ; et elle en fut assez étonné. A la mort de Kurama, elle n’avait pas pleuré, ne l’avait même pas sentit venir. Alors pourquoi maintenant ? Elle supposait que c’était plus des larmes rassurés, car il est vivant ; alors qu’elle avait vraiment cru le contraire. Elle le regardait dans les yeux, cherchés quelque chose en lui qui prouverait qu’il ne soit qu’une image, un fantôme. Mais non. Il était bien là, et elle était en choc.

Son combat intérieur ne se montrait pas sur son visage. Elle regardait juste dans ses yeux. Puis elle baissa le regard pour regarder son état et fronça. C’était assez sérieux, voir létal si elle ne faisait rien. Elle soupira, un léger tremblement dans sa respiration, léger mais possiblement à remarquer. Elle le regarda, neutrement et annonça :

« Tu t’es mit dans un état pitoyable. Idiot » Puis elle se releva et regarda autour d’elle. Il devait bien y avoir une grotte ou n’importe où, où elle pourrait le cacher. Elle se remit à genoux devant lui, et enleva le pull qu’elle portait pour le mettre sur sa plaie. Elle expliqua :

« Je peux m’occuper de ta plaie, mais pas ici. Tu peux marcher ? »

Un sentiment presque inconnue mais combien agréable envahie l'hybride qui ne comprenait pas pourquoi il ressentait ce sentiment, maintenant. Que maintenant. Il regardait en souriant l'elfe au cheveux rouges qui était devant lui, le tremblement de sa voie ne manqua pas a l'hybride qui élargit ses lèvres dans un sourire en la regardant. Elle lui avait manqué, tellement, mais cela, il ne pouvait pas lui dire, tout simplement parce que s'était Zero, et que comme Zero est Zero, rien ne sort ainsi de sa bouche avant d'avoir était réfléchis par son cerveaux ou dit sèchement. Se tenant toujours à l'arbre, Zéro regardait la jeune elfe un sourire au lèvre. Il se redressa sur ses pieds avec une grimace de douleur sur les lèvres. Il était certes heureux de la voir, et voulait se montrer fort, mais la douleur était forte.
Il n'était pas sans savoir que les elfes avaient un pouvoir de guérison, il ne savait pas si tout les elfes en était possible de faire, mais la plupart le savait. Il regarda Lyrë :

- Hum pas encore ... tu peut m'aider ?

Lyrë n'arrivait pas à comprendre le sourire qui se trouvait sur le visage de Zero, et franchement, elle n'en avait que très peu à faire. Ses yeux étaient rivés sur la plaie, qu'elle se devait de réellement bien soigner avant qu'il ne meurt tout de meme. Elle siffla d'une main, en laissant l'autre sur la plaie, resserrant presque douloureusement. Un faucon se posa sur son épaule et elle lui ordonna sèchement de scanner les alentours et de l'avertir de toutes spécificités. Elle prit le bras de Zero et le passa autour de ses épaules, mettant l'autre autour de sa taille. Elle lui dit neutrement:

"Et tais toi. Je m'en fiche que tu ai mal, surtout tais toi" Elle n'est pas faible, bien sur que non; mais Zero est lourd pour elle toute seul. Elle soupira et s'arrêta de marcher. Siffla une fois, et deux larges hiboux marrons arrivèrent assez rapidement. Elle leur expliqua que faire, et rapidement un hibou se mit au coté de Zero pour le stabiliser, et l'autre se mit du coté de Lyrë pour l'aider à le transporter. Cela prit quelques minutes, mais elle vit la grotte et elle posa Zero contre le mur froide, hors de vue mais encore dans le soleil pour qu'elle le voit.

Up?

Zero se laissa porter, comme si as chaque pas, sa blessure s'ouvrait de plus en plus. Il se laissa donc porter, d’abord par Lyrë, puis par les hiboux. La blessure semblait être calmer, mais elle saignait encore et malgré le fait que la douleur s'était amoindrie, elle était toujours présente et continuait à dévorer l'hybride de l’intérieur. Il ne dit rien, tout le long de trajet, comme l'avait dit la princesse, il essayait juste de rester conscient, et dans la même occasion de rester en vie, ne tendant pas les bras vers la mort qui l'avait tend attirés quand il était dans la grotte, abandonné de tout personne et fuyant les gardes qui voulait tant sa peau. Sa respiration était habituellement calme, et pourtant trop discrète pour être parfaite. Il se laissa glisser le long du mur de la grotte froide, la fraîcheur lui sortis une grimace de douleur mais évita de déposer sa main sur la blessure. Il ouvris ses yeux pour regarder Lyrë (il avait tant espérer la revoir) :

*Tu sais utiliser la guérison elfique ? *