Tu es bien loin de chez toi zoro/ Libre

Les rêves ... qu'elle beau mots utilisait pour signifiait qu'on pensé au moment qu'on aimerait vivre, au moment qu'on rêverait vivre mais que nous pensons impossible. Malheureusement, toutes les meilleurs chose ont une fin, et on leurs contraire ... Le contraire du rêve est le cauchemars. Ce satané cauchemars qui nous réveille en sursaut, en sueurs, qui nous empêche de dormir pendant plusieurs nuit de peur que, lorsqu'on fermera nos yeux, ils reviennes nous hanter. Ces ce qu'Elahe avait fait toute la nuit. Des cauchemars. Elle s'était réveiller bien tôt, elle avait réveiller les princes, enfin surtout Laito puisqu'il dormait encore et avait décidé de sortir en vitesse du château.

Après avoir réveiller Laito, elle s'était rendue dans sa chambre pour brossez ses cheveux ébènes, elle attacha certaines mèches de ses cheveux, mit son sert tête rouge et blanche, et mit la barrette en forme de baleine. Ayant toujours son collier bleu en forme de yang, elle enfila sa tenue rouge et noir, qu'elle avait l'habitude de porter, et glissa ses flèches et son arc dans son dos :

- Sebastian je sort !

Avant même d'entendre grommelait le majordome, Elahe se glissa délicatement dehors et se mit à marchez. Vous vous demandez surement se que signifie que Elahe, son vrai orthographe est Elaheh, mais la servant qui la élevait la écrit ainsi, donc je l'écrit ainsi. Donc, comme je vous l'es dit, le nom d'Elahe a une signification, qui est "Déesse". Ces vrai pourtant, il faut avouer qu'Elahe n'as pas un physique déplaisant et qu'elle peut même être dites comme une fille belle.

Au moment ou elle quitta les chaudes odeurs du territoires de léviathans, elle sentis une odeur peu commune pour un endroit aussi sombre, une odeur de léviathans, bien sur elle connaissait l'endroit ou on était mais cela ne la rendait pas moins stressait. Elahe connaissait surement la personnes, seulement de nom, qui était ici, et les bruits d'endormissement qu'elle entendus ne pouvait pas plus l'aidez. Elle décida de suivre les traces et lorsqu'elle tomba sur un homme, elle déclara :

- Hum ... V ... Vous dormait ?

Qui ne connaissait pas l'homme qui se trouvait en face d'Elahe. Un homme dont tout le monde connaissait le nom, mais cependant, trouvant toujours le moyen d’attendrir les personnes se trouvant devant elle, Elahe sourit a l'homme. Quoi ? Je prononce trop le mot "l'homme" ? Bon ben je vais l’appeler Zoro alors, puisque ces ainsi qu'il se nomme. Elle continuait à regardait l'homme se trouvant devant elle, de ses grand yeux rouges, innocent. Ne pouvant pas faire autres chose, Elahe répondit calmement :

- Désolé si je vous dérange, je peut partir.

Elahe n'était surement pas futé en disant cette phrase, mais malheureusement elle était quelqu'un de franc, et elle disait tout ce qu'elle pensait. Alors qu'elle continuait à sourire a l'homme, elle se mit a reflechire a tout se qu'elle savait sur l'homme. Zoro.

Elahe regardait l'homme quelque peu interloqué par ce qu'il disait. Pensait-il que sur le fait qu'elle soit une femme, elle ne puisse pas se protéger seule ? Elle glissa sa mains dans son dos pour attraper son arc et sortit quelques flèches de son carquois, qu'elle mit entre les cinq doigt de sa main droite. Elahe était devenue maitre dans l'art de l'arc, elle s'était entrainer depuis toute petite et l'habitude d'avoir plusieurs flèches sortis était beaucoup plus facile, même si elle était tout aussi rapide quand il fallait sortir, une par une, les flèches du carquois.

Les sabre se trouvant sur l'homme ne laissa aucun doute a Elahe sur l'identité de l'homme se trouvant devant elle. Zoro Roronoa. Voila un nom qui ne lui était pas inconnue, elle en avait déjà entendu parlait et elle avait un certains respect pour cette homme. Il était aussi fort qu'elle était elle, à l'arc. Deux art différent, sur deux armes différente mais toute les deux était efficaces. Restant droite en face de l'homme :

- Roronoa Zoro je présume ?

Elahe regardait la lame et la poussa de la main en souriant, elle n'avait nullement peur et n'était pas impressionner par l'homme. Elle ne sortit pas son arc de son carquois et n'enleva nullement ses yeux de dessus l'homme. Sans nonchalance et sans peur, elle s'assit délicatement, comme si s'était la chose la plus facile a faire lourdement charger qu'elle était. Le corps de Elahe était musclé et fin, elle avait une allure élégante et s'asseoir était pour elle un geste d'élégance, et elle s'assit donc élégamment devant l'homme, c'était automatique pour elle naturellement. Ne cessant de regardait l'homme, elle lui sourit et déclara :

- Je me nomme Elahe.