Le mentor du guerrier se disant le meilleur (Fëndiar Sylvar)

L'homme regarda la jeune femme presque désolé, il n'aimait pas se faire ramener rapidement à la réalités lui qui penser être en face d'un vrai adversaire. Depuis que la guerre avait était lancés, les guerriers étaient tous sur les piques et la commandante n'acceptait aucune erreur, elle qui normalement était assez douce, enfin sauf à son travaille. L'homme, de son vrais nom Fëndiar, se faisait surnommer par tout le monde Fini. Il passa une main dans ses cheveux en déposant la pointe de son sabre sur la terre et s'accouda dedans en écoutant distraitement les conseille de Lunayä. Il n'aimait pas entendre des réprimandes sur sa façon de manier le sabre, puisque pour lui, c'est le meilleur et pas cet homme étant le second commandant des elfes. Il soupira puis commença à écouter les conseille de Luna, il fit quelque mouvement sous sa surveillance, puis elle dût partir s'occuper d'autre guerrier et même s’entraîner elle même. Fini soupira, et repris doucement ses mouvements rapidement.

Cela faisait longtemps qu'il était chez les guerriers, et il en était fière, même trop. Pour l'entrainement, il portait ses habits habituel, gardant ses bijoux alors que la plupart des personnes était en kimonos ou autre choses. Son serpent entourer à son cou était en train de surveiller autour de lui, et personne ne semblait être inquiet. Ce qui était normal puisque Kïma, le serpent, n'était pas dangereux et qu'elle était le totem de Fini. Perdu dans ses pensées, il n'était pas très concentrer sur ce qu'il faisait et était même presque perdue dans ses gestes qui se stoppèrent doucement. Ce qui fit crier Lunayä qui hurla à quelqu'un d'autre :

Sylvar sourit au jeune elfe en face de lui. Il avait l’épée sur le cou de son petit apprenti. Ce dernier lui lança un sourire défient aussi. Sylvar rangea son arme et lui dit :

« Encore perdu » Le jeune Tora souffla amusé et rangea sa propre épée dans la coque rattaché à sa ceinture.

« Contre toi je perds toujours Silver » Sylvar lui fit un clin d’œil et rangea son sabre dans sa ceinture noir. Il se baissa pour ramasser son manteau royale, de l’ancien temps quand les Darthoridan étaient encore considéré comme royauté, bien qu’ils n’ont jamais étaient roi ou reine. Il lui rendit un bandeau qu’il y avait au sol et dit :

« Perdre c’est dans la tête. Dit toi que si t’es encore vivant, t’as gagné » Il lui fit un signe de la main comme un soldat puis partit vers le terrain. En passant il fit des clins d’œil aux filles tout en s’inclinant au point de presque toucher le sol avec son crâne. Il tourna un peu autour des gens, en leur parlant, se cognant contre les personnes suivantes ; mais il était toujours pardonné. Puis il entendit son nom dans les paroles de sa commandante, son amie et s’approcha du terrain. Il regarda un instant le garçon en question puis sourit à Lunayä :

« M’occuper d’un jeune homme attirant ? T’es sur que c’est prudent ? » Il lui fit un clin d’œil et se mit face à l’homme « Avec plaisir »

Il s’avança vers l’homme et s’inclina face à lui :

« Sylvar Darthoridan »

La commandante ricana en partant, laissant son second s'occuper de Fëndiar. Ce dernier regarda l'homme, qui était plutôt attirant et dont il n'arriva pas à se sortir de la tête et tourna la tête pour caresser de la joue küma qui regarder étonné l'homme. Tout les elfes avait un animal prés d'eux, gros ou pas, la chouette de la commandante était même en train de voler autour du camp restant prés d'elle, alors que l'homme n'avait rien. Fëndiar fut étonné que l'homme se présente, tout le monde le connaissait puisqu'il était le second commandant et fit un sourire quand il se releva. Il rangea son sabre, passa une main dans ses cheveux et s'inclina sommairement pour se présenter :

* Fëndiar Sundarëma, mais tout le monde m'appelle Fini ici ...*

Il était quelque peu gêner que quelqu'un vienne pour l'aider à s’entraîner ... Lui qui détester être aider. Mais il fut assez heureux que se soit Sylvar puisque Fini le trouver attirant.

Sylvar fit une motion de main élégante en se relevant de son inclinaison. Il se mit de coté avec un sourire, montrant son grand profile dans un mouvement théâtrale. Il s’en amusait. Puis il dit avec un clin d’œil :

« Bien Fëndiar, avant que j’ai fini avec toi, tu seras en effet fini… » Il gloussa à son propre jeu de mot puis se remit de face pour avoir l’air plus normal. Il regarda le serpent un instant et inclina la tête à l’animal poliment. Il se baissa légèrement dans une faible approche en tendant le bras :

« Puis-je voir ton arme ? Ca fait partie de l’introduction » Il sortit son épée de sa housse et lui tendit « Bien sur je t’offre le mien en contrepartie »

Fini sourit au jeu de mots qui était devenue quotidien pour lui puisque tout le monde en faisait à propos de son surnom. Il passa outre et vit le regard qu'il porta à son totem, et Küma y répondit avec un mouvement de tête elle aussi. Mais la question de l'homme fit étonner le jeune elfe, lui qui avait pas l'habitude de montrer son arme, il hocha la tête et la sortis de son fourreau. La lame du sabre, normalement blanche, était noir sur celle de Fini, qui l'avait eu comme cela de son père qui lui avait donné. Il regarda l'homme :
*Voila*
Il tendis la main sans avoir donner son sabre et attendis.

Sylvar prit l’arme en main délicatement. Il le leva droit devant lui, traçant la lame de son index puis la tourna sur le coté pour voir les inscriptions. Il s’éloigna de Fëndiar de quelques pas pour pouvoir jongler un peu avec l’épée, le passer d’une main à l’autre. Il hocha la tête puis dit tout en continuant :

« Acier Granderö. Epée Singamunis. Bonne arme, bonne qualité. Ca vient de la famille je suppose ? Logiquement oui, l’acier Granderö n’a plus était utilisé depuis quelques millénaires. Arme souple et légère, facile à manier » Il lui rendit avec un sourire et une inclinaison « C’est une arme parfaitement équilibré »

Il lui tendit la main pour reprendre son arme à lui puis avec un sourire, comme si son épée est son totem, il fit les mêmes actions et lui dit :

« Frendarë, acier Vallarien. C’est une arme plus lourde tu vois, pas très lourde puisque c’est de l’acier elfique, mais plus que Singamunis. Il est plus tempéramental mais très fort. Tu vois ? L’épée que l’on choisit ; ou l’épée qui nous choisit ; en dit long sur la personne »

Larme était plus lourde que son arme habituel, cela se sentait. Même si il était quelqu'un de musclé, la lourdeur de larme se sentait, mais l'homme devait être habitués de sa lourdeur puisqu'il était assez fort, mais les armes lourdes n'était pas faite pour Fën puisqu'il user de son agilités pour le combat, et une arme lourde la minimiser un peu ce qui le gêner. Il regarda doucement larme, passa un doigt sur le coté piquant puis la rendit respectueusement à Sylvar. Oui, il était fière de son arme, puisque c'était son père qui lui avait donné, et même si se dernier était en vie, il prenait soin de cette arme comme la prunelle de ses yeux. Il était heureux d'apprendre plus sur une arme, et baissant les yeux vers son épée qu'il rangea il déclara :
*C'est père qui me la donnait. Et tu as raison, j'use de mon agilité pour me battre, une larme lourde n'est donc pas faite pour moi*

Sylvar hocha la tête. Il connaissait ca. Chacun maximalise ses propres capacités, et cela se reflète grandement dans le choix de l’épée ; ou le choix de l’éducation des parents. Le père de Sylvar avait une arme lourde, et était certaine qu’une telle épée était aussi faite pour son fils. Au final, le jeune elfe dû en avoir une plus légère, mais tout de même plus lourde que beaucoup. Il lui retendit son arme avec un sourire et lui dit :

« Je comprends que tu préfère ton arme, mais tu vas prendre le mien, et fais y attention, j’y tiens » Il prit en contre partis l’épée de Fëndiar et lui fit un clin d’œil :

« Fais-moi confiance. Je fais gaffe à ton arme, toi à la mienne et je t’assure que l’épreuve à une certaine valeur »

L'étonnement se lut dans les yeux de l'elfe quand l'autre déposa son arme dans ses mains. Il n'arriveras jamais à manier une arme si lourde, lui qui était fait pour la légèreté. Küma glissa autour du bras de Fën et courras le long de la lame pour revenir, elle n'avait pas l'habitude que son totem touche quelque chose autre que sa lame. L'elfe passa une main dans ses cheveux et pris l'épée du mieux qu'il pus et leva les yeux vers l'homme pour sourire :
*Je veux bien essayer, mais n'attend toi pas à quelque chose d'extra.*
Lorsqu'il vut le clin d’œil, il sentis ses joues se réchauffer, pour finir rouge comme une pivoine et il détourna brusquement la tête.

Sylvar ria gentiment à la réaction du jeune elfe. Comme s’il ne savait pas faire ou ne l’avait jamais fait. Pour le dernier Darthoridan c’est une évidence de son quotidien. Il lui rendit en ajoutant :

« N’ai jamais honte de tes actions. La honte est un fardeau trop lourd à porter » Il se mit sur le coté, de profile, l’épée tenu à la main. Il le tourna dans la main pour tester avec le poids. Lui non plus n’est pas confortable avec ce genre d’épée mais ce n’est pas la première fois qu’il entreprend cet exercice.

« Vas-y attaque moi. Je me défends juste pour le moment »

Fini saisit l'épée comme si s'était la sienne, même si elle était un peu lourde, enfin plus que ce qu'il avait l'habitude. Il ne pourrait jamais réussir à s’entraîner de tel manière, mais il se sentait fière de pouvoir s’entraîner avec Sylvar lui même. Il fit quelques mouvements pour pouvoir savoir si l'épée allait l'habituer à ce battre avec. Il soupira et ordonna dans un sifflement à Küma de descendre de son bras pour être plus ample de ses mouvements. Il fit un sourire, et tapa fortement dans son pied pour sauter sur l'homme, l'épée en haut de sa tête pour ainsi assénée un coup.

Sylvar souriait intérieurement. Rien que dans ce premier coup il vit le potentiel du jeune Elfe. Soit, l’épée n’est pas faite pour lui, et le coup ne blessera pas le guerrier, mais il voit facilement la qualité. S’il avait été quelqu’un d’autre, le coup donné aurait atteint son but. Il esquiva l’arme sur le coté puis le frappa sur le dos avec le revers de son épée. Il sourit et lui tourne autour avec des signes de la main quasi théâtrale et une inclinaison :

« Ah cher pèlerin, voici donc un coup avec Rhin ! Avec ta propre épée ca aurait été un coup excellent. Petit conseil » Il se glissa comme une serpentine derrière Fëndiar et glissa ses mains autour de lui pour changer de position ses bras. Il expliqua en même temps « Tend bien tes bras en avant, droit. Avec ton épée c’est moins important mais ca achèvera de biens meilleurs coups » Il lui lance un sourire « C’est pour ca aussi que je t’ai passé mon épée, parceque pour être efficace avec Frendarë il faut tendre les bras. Alors ainsi je te force à le faire »

Fini fit un sourire en voyant le geste d'esquive de l'elfe et se redressa en riant. Oui, il riait pour rien, mais s'était la première fois qu'il se faisait berner ainsi et qu'il ratait l'une de ses attaques. Mais la suite des gestes de Sylvar le fit rougir. Il l'écouta en silence, n'étant pas près à cette proximité, après les explications, il se retira et se retourna en souriant toujours les joues rouges :

*Je me demande comment tu fait pour te battre avec cela, je n'en n'est pas l'habitude et je ne pourrait jamais me battre aussi aisément avec que toi. Enfin cela est logique, toi aussi tu ne pourrait pas vraiment être à l'aise avec mon arme*

Sylvar souria au jeune homme et s’en re-détacha. Il se remit face à lui ; bien sur le rougissement ne lui avait pas échappé, mais il décida de ne pas en faire une remarque. Il attacha son gilet derrière son dos pour pas que celui-ci le gène dans ses mouvements. Il répondit aisément :

« Le confort n’est que relatif cher homme ! Le confort ne nous vient pas, on le créé » Il lui fit un clin d’œil puis ajouta « Il est bien vrai que ton arme n’est pas adapté à ma main mais on fait avec »

Il demanda poliment pour le retour de son arme et lui rendit la sienne. Puis il regarda autour de lui pour voir si quelqu’un écoutait, satisfait il lui lance un sourire et dit :

« Tiens viens, je vais te montrer une attaque secrète : Larënda » Il se mit en position « Quand ton ennemi vient vers toi avec son arme en haut, la règle classique c’est de le prendre en bas ; mais chaque bon guerrier connait la manœuvre. Donc ce qu’il faut faire c’est le prendre par en haut aussi. Tu pousse l’arme sur le coté puis tu le descends en te penchant dans le sens opposé. Toi tu es sécurisé et l’ennemi perd la moitié de son visage. Victoire ! »