La Belle et la Bête | Maximilian & Kiäna

Kiära fit un sourire quand elle entendu la première paroles de Max, elle avait complètement oublié que Max n'avait pas de queue mais des palmes et qu'il était ainsi, beaucoup moins rapides qu'elle. Elle le laissa une longueurs d'avance avant de le rejoindre de quelque mouvement de queue, elle était surement la sirènes la plus rapide étant donné que sa queue était plus grande que les autres queues des autres sirènes. Passant devant lui elle lui tendit la mains:

- Allez suit moi !

Maximilian souria et prit sa main. Il se fit propulser dans l'eau; jamais avant-il était aussi rapide. C'était plutôt incroyable. Il se sentit sourire dans la motion. Si maman pouvait le voir elle lui dirait surement qu'il est un idiot, mais un idiot adorable. Il s'amusait, c'était trop bien! Il se sentit jeune et avait presque une folle envie de crier woohooo mais il se calma avant de le faire. Puis il vit la surface approcher et s'arreta avant de l'atteindre. Il souria puis dit à Kiäna:

"Merci pour ça!" Puis il lui lanca un sourire plutôt hesitant en laissant ses quatres doigts gratter le derrière de sa tête; ou il se coinca contre sa corne. Il demanda:

"Tu pourrais aller voir s'il y a quelqu'un? S'il te plait?"

Kiäna lâcha la mains de Max pour se diriger rapidement à la surfaces, elle regarda assez rapidement autour d'elle mais personnes, rien, nada, nienté. Il n'y avait personne. Elle remit la tête dans l'eau puis fit signe à Max qu'il pouvait avancer. Normalement l'idée de sortir ne l'aurait même pas effleurez et pourtant, c'était se qu'elle allait faire, elle attendis que Max choisit l'endroit ou il sortirons;

- Je te suis.

Maximilian prit un grand souffle et se hissa sur la rive, continuant de regarder autour de lui constamment. Il se posa sur le sol et se transforma. Bien sur, sa transformation changeait très peu. Ses cornes rentrèrent dans sa tête avec une certaine douleur, et il vit ses pattes finalement devenir des pieds avec cinq doigts chacun. Il prit un pas doucement pour ne pas tomber, puis un autre, et un autre lentement. Finalement il était assez fier de sa stabilité et marcha vers un buisson. Il se mit à fouillé dedans comme si c’était une poche. Il prit le pull trop large et noir et l’enfouit sur lui, mettant bien sur la capuche sur sa tête. Puis il enfila une paire de pantalon de sport d’un enfant. Il était entièrement couvert et se retourna vers Kiäna. Il souriait même si elle ne pouvait le voir. Il dit :

« Voila ! Prêt à partir ! »

Kiäna regardait Maximilian en souriant, elle ne le mater nullement elle le regardait juste car elle l'aimait bien et se rendit compte qu'en faite, son corps n'avait pas l'air si ... repoussant. Il était tout simplement maigre mais sa tête n'avait rien de repoussant. Elle pouvait même le qualifier de beau. Elle se hissa elle même à la surface et changea sa queue en jambe, elle tira sur son haut qui alla au niveau de son "milieu cuisse" et regarda Maximilian en souriant, elle avait l'habitude de sortir ainsi lorsqu'elle sortait bien sur. Elle se leva et passa ses cheveux sur ces oreilles dites humaines, elle fit un sourire a l'homme qui était à ses cotés :

- Pareille pour moi.

Où allait ? Maximilian ne le savait pas. Il ne connaissait très peu ces lieux. Mais il voulait courir. Il le sentait dans ses jambes qu’il le pouvait. Il avait si peu de force, et il allait tomber. Il le savait. Il tombait toujours. Mais il ne serait pas Maximilian s’il ne se relevait pas à chaque fois ! Se sentant enfin libre, il prit la main de Kiäna et se mit à courir en disant :

« Vient ! » Il rigolait en courant. C’était beau ainsi. Il passa dans la forêt, entre les arbres et sur les fleurs. Il avait enfin un sourire sur son visage. Il n’avait plus besoin de trainer Kiäna, il était sur, mais il aimait cette sensation de l’avoir là ; alors il tenait à sa main comme si c’était la dernière chose auquel il tenait. Il s’arrêta finalement en posant les mains sur son ventre pour reprendre son souffle. Il rigolait encore.

Kiäna avait rit tout le long du chemin qu'ils avaient parcourue, mains dans la main, en courant, et elle repris son souffle de la même manières que Maximilian. Elle ne pouvait s’empêcher d'entendre tout les bruits que les animaux faisait autour d'eux, les bruit d'une course dans les hautes herbes, surement un lapin, ou bien le brame d'un cerf, ou encore le bruit d'un sanglier grattant la terre. Après avoir finit de reprendre son souffle, Ayla leva sa tête vers le soleil et ferma les yeux, elle se sentait si bien, avec surement l'unique amie qu'elle avait, elle aimait la sensation des rayon du soleil sur elle, sur son corps, effleurant sa peau et elle aimait le courant d'air qui passait dans ses cheveux, elle ne disait rien car elle dégustait ce moment.

Maximilian se posa sur un tronc d’arbre, tentant comme il pouvait de reprendre une partie de son souffle perdu durant la course. Il rigolait encore. Puis il leva les yeux vers le ciel. C’était beau. D’un coup, tout était beau quand on pouvait partager le bonheur avec quelqu’un d’autre. Il prit un de ses pieds dans ses mains pour pouvoir faire un cours massage à son mollet, qui ne semblait que très mal supporter l’entrainement ; puis il regardait Kiäna. Belle Kiäna qui voulait bien lui parler, qui voulait bien le suivre. Il lui lança un sourire, tentant de lui montrer tout l’appréciation, toute la joie qu’il ressentait à l’avoir avec lui. Il lui dit gentiment :

« Merci Kiäna. D’être venue avec moi, je veux dire » Elle pourrait le détester demain si elle voulait ; mais il lui sera reconnaissant pour aujourd’hui jusqu'à la fin des temps.