La haine peut se transformer ? (Beo_Boris)

-Eliäne ! Je part ! J'ai finis le dîner de ce midi !

Sortant du restaurant ou il travailler, le jeune homme fit un sourire à la serveuse et partis tranquillement. Il avait passer sur ses oreilles une capuche malgré la chaleur qui était dans le monde des hagraven et pris le chemin du lac. Il ne prenait jamais de douche dans les bacs à douches des hargravens, il préférer allez au lac de Hylia, qu'il aimait particulièrement vus le nombre de poissons qui il y avait. Souriant à toute personnes qu'il croisait, Boris était quelqu'un d'amicale et d'aimer malgré le fait qu'il soit hybride. Arriver au lieu qu'il voulais, il retira ses vêtements et rentra dans l'eau en souriant. Il savait qu'il était seul, il n'avait sentis aucune odeur. En soupirant d'aise, il remis juste son pantalon et s'assit au bord de l'eau, bien dans sa peau.

Beotouk partit des terres Elfiques. Il était avec Lyrë mais celle-ci le renvoya quand elle décida qu’il l’ennuyait. Il en avait l’habitude depuis le temps. Il calla ses griffes dans sa poches, et réalisa que ces là commençait à trouer son pantalon. Il irait en voler au passage, ce n’est pas important de toute manière. Il marchait lentement, se transforma en glouton idée de chopper un oiseau et le manger, puis il redevint rapidement humain et continua le chemin comme avant. Il regardait où il allait, et allait passer, mais il vit entre les branches le reflet de l’eau. Il s’avança vers et sentit une odeur. Il ne s’arrêta pas et sortit des buissons pour aller à l’eau. Il était libre d’être là, surtout que l’autre est un hybride comme lui ; peut-être moins connus que lui certes, il le connaissait. Etant ami avec Lyrë, il avait eu le privilège de dévaliser les archives concernant les hybrides et les bannis. Il ne s’arrêta donc pas pour cet individu.

Il s’asseya contre une roche près de la rive, les mains derrière la tête et les yeux fermés. Son odorat était alerte au cas où ; même s’il doutait sa nécessité. Au pire un petit combat. Boris n’est qu’un chat après tout.

L'odorat aiguë de Boris sentit une odeur qu'il attendait depuis longtemps, celle de Beotouk of Balberry, celui qui avait détruit sa famille, et l'avait détruit de l’intérieur. Celui qui ressortait son envie de tuer d'animal, de chat. Il rêver de tuer cette homme depuis qu'il l'avait violer, depuis cela, il avait une haine profonde envers cette homme. Il se leva, prêt à trouver un monstre devant lui qui tuer des gens pour le plaisir ou seulement quand il s'ennuie. Il voulait enfoncer ces crocs dans la gorge de cette homme et le voir se vidés de son sang. Mais au moment ou ses yeux vit les cheveux rouges de Beo, Boris resta plaqué sur place, l'homme était magnifique, pas un monstre du tout, la couleur de ses cheveux était celle du sang, son visage montrait toute la finesse et la dureté mélanger, Boris ne pus sortir qu'un :

- Whoa.

Beotouk leva le regard au commentaire innattendu. Il avait reçu des woah impressionné de petits gamins qui le croisé pendant ses entrainements. Des woah désigné purement pour l'arrêter dans une certaine motion qu'il faisait, apparemment. Des woah appreciatif, que très peu il faut l'avouer. Il haussa un sourcil au chat. Qu'est ce qu'il avait de si special? C'est un corps, ca vaut à peine le temps d'être regarder si on est honnête. Il a un corps qui est particulièrement moche d'ailleurs. Peut-être que le chat est juste idiot, on se le demande. Il lui hausse un sourcil:

"Quelque chose va pas?"

Si quelque chose n'allait pas ? Oh si tout allez très bien, pour Boris dut moins. Il savait que certaines personnes le prenait simplement pour un chat, et comme vous savez, les chats ne veulent qu'une chose :manger, dormir, manger. Mais malheureusement (ou heureusement ?) pour vous, Boris n'est pas ainsi. Il est un être humain, un hagraven plutôt, avec des oreilles et une queue d'animal certes, mais il rester hagraven. Il devait vouer une haine profonde envers cette individus qu'il avait devant lui, mais c'était impossible, pas avec le physique de ce dernier. Il secoua la tête lorsqu'il entendis la voie de l'homme, il ne pus que bredouiller un :

- Oh ... euh non non ... 'Fin tout va bien ...