Des Coeurs Purs face à la Cruauté | Philéodore & Akahïme

Leo aime dire qu’il connait bien ses parents. Il aime pouvoir arriver à un bal de noblesse ; et dire aristocratiquement au cours d’une conversation : « Oh ce sont mes parents tu sais, je les connais par cœur ». Il peut bien dire, en effet, qu’il comprend sa mère à la perfection ; il sait tout d’elle, réellement. Son père, est une toute affaire. Depuis le temps il a à peu près appris à lire son langage corporel et ces différentes humeurs ; mais il ne le connait, et ne le comprend encore moins. En réalité, il a peur de son père, et à juste titre. Il sait qu’il est fou, qu’il a des problèmes ; qu’il veut sa mort s’il ne réussi pas à l’occuper en étant une victime ; qu’il frappe ; qu’il est violent. Et il ne le comprend pas. Il ne pourrait pas. Il y a des événements qu’il ignore, des pensées qui lui restent inconnus ; c’est probablement mieux ainsi, il en serait choqué.

Le cadet ne sait pas que, hier soir, revenu d’une fête très frustré, son père s’est aventuré dans la chambre de son ainée, Akahïme, son frère préféré. Il ne sait pas ce qui lui ai passé par l’esprit. Mais moi oui. Des pensées lugubres que je n’ose répéter ; des idées sombres qui ont beaucoup de cérémoniales. Un fou total ; qui rêve de douleur et de jeunes ; qui aime briser, casser, et qui s’excite en écoutant les cris d’un autre. Un homme qui cache sa réelle nature derrière son rang. Philéodore ne sait pas, que à coté de sa chambre, son frère s’acharné coup par coup, au point d’en rester bleu avec les cotes cassés alors que dans son oreille était murmuré :

« Résiste ou crie trop fort, et ton frère y passe » Et Akahïme, intelligent qu’il est, sait probablement très bien qu’il en est capable.


Le lendemain après midi, finalement levé de son lit, son humeur n’a pas énormément changé. La frustration est encore si bien présente dans son corps qu’il en tremble presque. Je ne vous direz pas ses pensées, vous n’avez pas encore dix huit ans ; mais il suffit de dire, que son raisonnement en est tel, que pour lui, une solution serait le viole. A nouveau. Philéodore est assit tranquillement sur le canapé, entrain de jeter dans l’air un caillou et de le rattraper ; il rate tout ses événements ; même si finalement il va le ressentir. Son père, lui, se dégage de sa chambre dans un pas hâté et se précipite vers celui de son fils. Sa femme partit, il ne se soucis pas d’elle. Il ouvre la porte sans s’annoncer et se va directement vers le lit d’Akahïme, où se dernier est couché à lire un livre. Il l’attrape par sa foutue couette et le tire pour que leurs visages soit face à face. Il le regarde et dit froidement mais pressé :

« Ton frère est dans la salle à la manger, amène le ici et prend le. Si tu ne le fait pas immédiatement, alors je le ferais »


Non Philéodore ne savait rien de cela, il le comprendrait encore moins. En réalité, même s’il le savait, il ne pourrait le comprendre. Son cœur est trop pur pour accepter ou suivre la cruauté.

La mauvaise humeurs était dans son bain dans le manoir des Elderbridge aujourd'hui, après la mauvaise humeur du père, voila qu'Akahïme s'était réveiller ainsi, d'une humeur massacrante. Il s'était réveiller dans sa couette, le visage cacher par cette dernière; il regardait en marmonnant les rayons de soleil qui traversait ses rideaux. Non, aujourd'hui n'était pas sa journée, il ne voulait pas se lever, pas déjeuner et pas voir sa famille de fou. Il avait refuser à son majordome l’accès a sa chambre en lui déclarant qu'il l'énervait et qu'il devait partir (dit bien plus violemment par Akahïme). Il s'était levé avec quelques courbatures, et était aller se laver en soufflant, les cicatrices étaient nombreuses sur son corps, dut au fait que son père le bas aussi souvent qu'il mange. Il s'était brosser les cheveux comme à son habitude et les avaient ensuite attacher. D'un mouvement il alla se recoucher bien trop en colère sur quelque chose qui ne s'était pas produit pour oser descendre en bas et regarder sa famille qu'il n'aimait pas : excepter son frère cadet.

Il s'avait qu'hier son père était rentrer d'une humeur massacrante de la petite fête, et franchement il savait parfaitement que son père allait le voir demain pour lui demander quelque chose d'immonde. Depuis quelques années, son père obligeait l’aîné des Elderbridge à violer son frère cadet, Léo. Il avait détester cela, s'en répugner lui même et en voulait réellement beaucoup a son père de lui faire faire cela. Mais il n'avait pas le choix de faire sa, son père lui disait, le menacer que si jamais il ne le faisait pas, il le tuerait, il ne tuerait pas Akahïme non, mais Léo, le cadet. Alors qu'il était allongés sur son lit, plongés dans un livre, la porte de sa chambre s'ouvrit pour laisser place a Lord Elderbridge. Gardant ses yeux sur le livre, il se laissa tirez par son père et souffla, il le détester. L'attrapant il le poussa pour se lever, seulement vêtue d'un caleçon :

- Hors de question, je n'est pas envie de le prendre aujourd'hui, maintenant si tu peut sortir de ma chambre, j'aimerais m'habiller.

Philéodore commencait à s'ennuyer. Il est seul en bas sur son canapé, un caillou comme seul companie. Il ne sait réellement où le restant de sa famille est, encore moins ce qu'il leur arrive. Alors il se tourna sur le coté, attrapa le caillou en le serrant dans un poing sur le coté. Il ferma les yeux, ne se doutait en rien de ce qu'il allait se passer, même s'il devrait à present y être preparer. Un sentiment mauvais s'élève en lui, un peu comme les restant de nourriture après un repas trop lourd; il l'ignore en jugeant que c'est simplement la faim.

Il aurait dû l'analiser bien plus que ce qu'il n'a fait. Car contre sa volonté, et allant à l'envers de toutes ses prières, son père était encore dans la chambre de son frère qui lui tient à Coeur. Et il n'était pas prèt de le laisser partir. Il le frappa avec l'arrière de la main sur la joue fortement. Puis le poussa contre le mur le plus proche:

"Tu va t'habiller immédiatement, et tu va le prendre. Ne pense pas que je n'oserais pas le faire moi même"

Akahïme regardait quelques peu interloquer l'homme devant lui, bien plus grand (de taille) que l’aîné de sa famille, son père avait tout d'un homme que l'on pouvait dire charmant : des cheveux long noir, des yeux presque rouge et de grande taille. Il avait donné sa taille à presque toute la famille, les cheveux noir était comme ceux des jumeaux alors que Léo avait les cheveux blond de sa mère et Akahïme avait eu le mélange des deux, et ses yeux aussi était le mélange des deux. Akahïme allait surement être la plus parfaite copie de l'homme devant lui, de grande taille déjà 1 m 86 à l'age de 26 ans, il n'arrêterait presque pas de grandir. Attrapant la main qui le tenait fortement par le colle, il fit lâcher prise a son père et alla ouvrir sa porte :

- Tu peut sortir, je veut m'habiller.

Philéodore se releva sur le canapé et s'asseya tordu dessus pour pouvoir regarder dehors. Ce qui le frustre est qu'il ne voit rien. Il ne voit plus son monde à lui, ses astres brillants. Pendant un son imagination lui est perdu, et il ne voit rien. Il ne voit pas les fées dansantes devant sa fenêtre en avertissement, ou les taches rouges qui se dessine entre les nuages. Il ne voit simplement plus rien. Son imagination l'a quitté et il se sent délaissé, abandonné à l'ennui.

Il ne voit pas que son père perd la patience peu à peu et que lui s'énerve à l'attitude de son fils. Il prit un pas en avant, son visage était quasiment contre celui d'Akahïme. Une manie folle, une obsession, une obligation se lit dans ses yeux; et il dit lentement, instant sur chaque mot, chaque syllabe.

"Va t'habiller et prend le. Sinon.." Il laissa la phrase sous entendu et balança presque son ainée pour rejoindre sa propre chambre. Philéodore ne voit pas que la folie le consume, qu'il a besoin de ca. En se moment là. Il ne voit tout simplement plus rien.

Akahïme regardait avec des yeux rouges de haine son père quitter sa chambre, les poings serrer il tapa violemment dans le mur et posa une main sur ses yeux en soufflant. "Quel ..." Il souffla et secoua la tête pour se ressaisir, non, il ne devait pas se démonter, pour lui et surtout pour Léo. Son petit frère était tout pour lui, il ne pouvait pas vivre sans lui, s'était son phare dans sa triste vie morose. D'un mouvement il attrapa ses vêtements, les mit et passa dans la salle de bain pour attacher ses cheveux. Il sortit et descendit tranquillement les escaliers sentant le regard de son père dans son dos. Il entras dans le salon, un sourire au lèvre en voyant son frère, il cacha les yeux du petit blond avec ses mains et chuchota :

- Hello

Philéodore se mordit la lèvre. Il voit le monde extérieur, mais tout est trop normal, ca ne devrait pas être ainsi. Il devrait voir des couleurs, des formes, son monde. Mais il n'y a rien, et il ne le comprend pas. Il posa une main sur la fenêtre, fallait réellement que quelqu'un chose arrive, il allait exploser dans cette ennui. Il avait son livret devant lui, sur ses genoux, et son stylo à la main, qui créer des marques sur sa joue parcequ'il se gratte avec. Il se pencha. D'un coup il sentit des mains passer derrière lui, lui obscurant la vision. Il se crispa. Peut-être c'est Papa. Mais il entendit la voix, et souffla avec un sourire. Il attrapa les mains entre les siens et le baissa de ses yeux, leva le menton pour voir le visage de son ainée. Il lui lance son meilleur sourire et dit:

"Aka, mon sauveur"

Akahïme regardait la petite tête blonde le regardait en souriant, pour lui, son frère était la plus merveilleuse chose que ce monde avait porter, jamais il ne voulait se séparer de lui et refusait catégoriquement de lui faire quelque chose de mal. C'était pour sa que la plupart du temps, quand il ... faisait cela pour sauver la vie de son frère, il essayait de le rendre plus agréable qu'il puisse. Il posa ses mains sur les épaules de son frère en gloussant et se leva pour le regardait dans les yeux en rigolant :

- Oh je sais mon grand je sais !

Philéodore souria. Voila son petit monde qui lui revenait petit à petit. Il revoyer en couleur, voyait le rouge des yeux de son frère. Les nuances dans ses cheveux. D’un coté, c’est dans ses pupilles qu’une partie de son monde se cache. C’est normal que la présence d’Akahïme le fasse se sentir mieux. Il lui lança un sourire mi exaspéré mi rassuré et dit :

« Non sérieux, tu me sauves ! Ca fait trois heures – sans exagéré – que je suis assied ou couché ici et que je jette un caillou à l’air ! C’est pitoyable » Il attrapa les mains d’Akahïme en le regardant dans les yeux :

« Sil-te-plait, occupe moi »

Akahïme ne pouvait détacher ses yeux rouges du regard de son petit frère, de ce petit ange dont la vie n'a jamais fait de cadeau. Il regardait anxieux ses mains prises par ceux de son frère, ne me fait pas confiance Léo ses mains te font du mal. Il était prêt à retirez ses mains quand il se rappela la menace de son père, il le connaissait assez bien pour savoir que cela ne le ferrait pas peur de mettre sa menace à exécutions. Regardant son frère avec un sourire, Akahïme le dévorait littéralement du regard :

- Oui t'inquiète je ferait tout mon possible pour t'occuper.

Philéodore lança un sourire splendide à son frère. Mon dieu qu’il aime son frère. Il s’ennui si souvent à la maison ; et même si certainement Akahïme n’est pas une boule d’amusement comme Ayato, Philéodore ne s’est jamais ennuyé en sa présence. Il partage leur secret, souffre du même. Il supposa que c’était entièrement impossible d’avoir une relation plus proche avec un frangin que ce qu’ils avaient. Et il ne l’échangerait pour rien au monde. Il allait lui dire cela, quand il vit une silhouette par-dessus les escaliers et se stoppa. Il murmura en regardant en haut :

« Aka… Ya papa » Il lança un regard hésitant vers son frère, serrant ses mains entres les siens, presque suppliant « Aka ?... »

La fureur traversa le frêle corps de Akahïme, au moment ou il entendit les paroles de son frère. Il tourna vivement la tête vers le haut des escaliers, la silhouette. Cette silhouette, qu'il détester tant. Il détester la voir déambuler dans le couloir quand il à trop bus, il déteste entendre les cris de son frère quand il entend le frapper, il déteste quand il le frappe. Il déteste tout simplement cette homme, cette homme qui, si il n'aurait pas exister, lui même n'aurait pas était la. Il regarda la silhouette qui le regardait avec des yeux noir de haine, et qui partis sans rien dire. Akahïme attrapa la main de Léo et le tira dans l'escalier en murmurant un :

- Désolé Léo ...

Philéodore le sentit venir bien sur, dés le moment qu'il vit la silhouette de son père. Mais il en avait tellement peur. Tout les matins il se lève avec le craintes, que peut-être aujourd'hui sera un de ces jours. Il adore son frère à en mourir, mais de là.. Il sait les efforts qu'Akahïme faisait pour lui, mais ca ne suffit jamais. Aka peut essayer tant qu'il veut, mais le principe est toujours là; et c'est cela qui lui fait tant peur. Donc quand son ainée lui attrape la main et l'amène en haut, il ne peut s'empecher de baisser le regard à ses pieds, se mordant la lèvre alors que ses yeux se remplissent de larmes qui ne tombent pas. Une fois dans la chambre, il ose lever le regard et le plonger dans celui de son frère. Il murmure brisé:

"Aka.."

La douleur rongeais le cœur de Akahïme. Il savait que ceux qu'il faisait la, emmener son petit frère pouvait sembler normal. Si des personnes les regardaient ils pouvaient très bien penser, que c'était seulement de frères, qui allaient passaient du temps ensemble, en tout fraternité. Et pourtant, le noble savait que ce qu'il faisait n'était pas normal, il savait que son petit frère avait peur, et lui aussi il avait peur de faire cela. Jamais il n'aurait fait cela de son propres grès, il faisait cela a cause de son frère tyrans qui aimer entendre la douleur des autres et qui aimait faire le mal autour de lui. Attrapant la poignée de sa main, il ouvrit et entras dans sa chambre en regarda Léo :

- On est pas obligés ...

On n'est pas obligé. Et le jeune Lord espérait tant que ce soit vrai, mais il a peur. Peur à en trembler. Des fois il est couché dans son lit tard le soir, et le moment qu'il ouvre les yeux et fixe son plafond; il voit sa tête. Il voit la fureur dans ses yeux, la rage, la folie qui le ronge depuis si longtemps. Et les larmes coules sur ses joues, comme ils le font maintenant. Il regarde son frère, la désespération dans les yeux, qu'il prit tant que tout cela soit finalement terminé. Qu'ils puissent tout les deux finalement être heureux. Il avança de trois pas, la distance qui les séparés, et passa subitement les bras autour du cou de son frère, le serrant de toutes ses forces, ses larmes tombant sur son épaule. Il murmura:

"Aka..Aka..Aka.." Il n'y avait aucun sens dans ses mots, aucune definition. Mais il se voulait tant de juste aller bien.

Entendre son prénom répéter avec tant de douleur, de peur, et d'angoisse, sentir ses bras autour de son coup, sentir ses sanglots secoué son cœur, sentir ses larmes coulaient sur son torse. Tout sa était une pure torture pour Akahïme, il voyait comment son frère vivait ce que leurs père leurs faisaient endurez, ils avaient tout deux les deux pieds dans l'enfer, regardant autour deux et vivant la vie qu'on leurs obligés. Akahïme serrait son frère dans ses bras, en sentant les larmes lui brûlait les yeux, il n'avait plus envie de voir les larmes noyaient les yeux de son frère, il ne voulait plus voir la terreur se lire dans son visages. Il ne put que murmurez :

- Chut Léo ... C'est déjà assez dur comme sa

Philéodore sentit la désespération bannir un chemin vers son coeur, y trouvait refuge et commencer à manger. Au fur et à mesure Volant son identitié propre, grossir si rapidement que un sentiment de gonflé s'empare de lui. Il s'aggripa à son frère, comme si c'était la seule chose qui le rattaché encore à un certain bonheur, une certaine sanité. C'est probablement vrai. Il murmura dans ses pensés, toutes ses prières, mais personne ne l'écoutait il était sur. Il voulait juste être libre; mais la maison qui le protégé était sa grande cage qui le retient en tout le possible. Il se détacha de lui, le tenant mais le regardant dans les yeux. Il demanda honnetement, suppliant:

"On peut ne pas le faire hin? Dis moi qu'on est pas oblige"

Akahïme plongeait littéralement dans les yeux différents de son frère. Il y lisait la peur, la frayeur, et il avait lui même peur. Il détestait ce qu'il faisait endurez à son père. Il sentait chaque jour la haine que son père faisait naître en lui dévorez son cœur. Malgré la statue stoïc que le jeune noble arborer tout le temps, il avait un cœur tendre, que son frère cadet avait le don de réveiller. Il prit sa tête entre ses mains et fit un sourire a son petit frère Leo, son ange gardien il lui murmura :

-Non on est pas obliger

Philéodore posa les mains sur les joues de son frère, mimiquait la motion que lui même faisait, comme un miroire d'opposition. Ils étaient les differences parfaites, pourtant leur horreurs les liées dans une harmonie qui se suivait. Il posa son front contre son épaule, ses mains glissant plus bas sur son corps. Elles passèrent contre le corps d'Akahïme, sur sa taille et presque inconsciemment sous le shirt de son frère, comme il avait l'habitude de faire les journées d'hiver. Il sentit sous ses mains, comme des petites bosses et il fronça; un sentiment reel de pure peur prenant place en lui. Il leva les yeux vers Akahïme et murmura:

"Aka.. enlève ton shirt"

Une peur subite entrava le cœur de Akahïme, il savait ce que Léo avait sentis sur ses cotes, il ne pouvait plus faire marche arrières, plus maintenant. C'était il y a deux jours, son père l'avait frapper après être revenue complètement alcoolisé d'une fête et avait passer ses nerfs sur lui après que sa femme lui avait dit qu'elle ne voulais pas coucher ce soir. En baissant les yeux il retira son t-shirt comme avait demander son frère et n'osa rien dire, ni même le regarder en voyant biens que désormais, s'était dit, s'était fait : c'est cotes violettes était en vue.

Philéodore prit un pas en arrière en choc. Il regardait les grands bleus se former sur les cotes de son frère, sur sa peau porcelaine qui devait être parfaite. Non non non. Il posa la main sur la bouche. Quel horreur. Des injures blasphèmiques passèrent dans sa tête, il ne pouvait les arrêter. Il arrêtait pas de penser que ca ne devait pas être ainsi. Qu’Akahïme devrait être parfait. Tout devrait juste ne pas être comme ca. Qu’on me sauve mais je ne peux pas voir ca. Il reprit un pas en avant, des grandes larmes commençaient dans ses yeux et troublés sa vision. Il posa la main sur les cotes puis l’enleva rapidement. Puis il s’approcha et glissa les mains autour de son cou et le serra contre lui. Il lâcha les larmes sur son épaule.

« Oh.. Aka.. Je suis tellement désolé »

Akahïme baissa les yeux, il ne voulais pas voir les larmes de son frère. Il voulais le voir sourire, il devait être heureux, se qui lui arrivait, il ne devait pas le vivre. Au moment ou il glissa ses mains autour de la taille de son frère, au moment ou la peau de son frère toucha ses cotes, un gout de sang envahie sa bouche. Il poussa son frère et courra dans la salle de bain rattaché à sa chambre. Il toussa, se penchant sur son évier, des taches de sang jaillit de sa bouche. Le sel des larmes lui envahie la bouche, découlant en même temps que son sang ;

- Léo ... j'en n'est marre

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