[Yaoi] Not you, not again | Maximilian & Law

Le monde était devenu trop petit, étouffé. Encore avant, Maximilian pouvait se faufiler dans la foule et trouver un chemin dans les plus petits des endroits. Le monde était vaste ; même quand c’était petit. A présent, Max ne savait plus où aller. Partout où il allait, il y avait des créatures ; et partout où il allait, il y en avait qui cherchait à lui faire du mal. Normalement cela ne le gênait peu ; mais maintenant.. Chaque contacte le fit frémir, même s’il n’y en avait même pas. Chaque rapprochement le fit reculer. Il y avait des jours où il restait des jours à la filé enfermé dans sa grotte ; et cela remonté à sa jeunesse qu’il ne l’avait pas fait. La peur le rongeait de l’intérieur, au point où les radiations du diamant avec lesquelles il était en contactent tous les jours de sa vie, commençaient à ronger des parties de son corps extérieur. Déjà il voyait peu à peu tomber ses orteils de ses pieds. La plaie que Law lui avait fait, désintégré la peau autour, au point que la peau se referme sous forme de troue, comme s’il n’y avait plus de masse en dessous. Même les distances entre ses vertèbres devenaient plus petits, il rétrécissait, se désintégré.

Pour la première fois depuis des mois, il osa s’aventurer hors de l’eau. Tout semblait redevenir normale, petit à petit. Il rerentrait dans son rituel de sortie de l’eau, doucement. Il partit dans la forêt, regardant d’un air parano devant, derrière, et à coté de lui. Pour le moment, il était libre de vivre et de marcher. Puis il vit une ouverture dans la forêt, et un homme y était posé. Il pouvait le reconnaître entre milles. Sa respiration se saccadés. Son effort, sa panique, sa peur et ses cauchemars revenaient à la surface si fort qu’il oublia que maintenant il avait encore le temps de courir.

Law avait piqué une couverture chez un humain, les nuits se rafraîchissait et il ne voulait pas prendre froid. Il était rentrer en effractions et avait pris la couverture sans s'amusez à violer sa proie, des hommes lui couraient après. Law était allait s'allonger dans la forêt noir, un endroit qui pouvait très bien correspondre a un lien correspondant au violeur. Une odeur particulière s'approchait, une odeur que Law connaissait, il s'était amusez avec son propriétaire si vous voyait se que je veux dire. Il était toujours allongés, mimant de dormir d'un sommeil profond, mais il entendait les pas s'arrêter.
Max s'était arrêter, Law ouvrit ses yeux dorés, un sourire espiègle étirant ses lèvres. Il se leva sur ses longues jambes et repéra immédiatement le jeune Öärass. D'un mouvement, le sabre a la main, Law s'approcha de Max et le saisit par le bras, de la même manière que l'autre fois, sans faire mal, seulement pour l’empêcher de fuir :

- Bonjour Max.

Il s'approchait. Cet homme s'approchait. Maximilian sentait sa respiration le quitter, alors que des images revenaient. La panique trouvait réfuge dans les morceaux de son être qui se désyntégré, maintenant qu'il savait ce qu'il pouvait venir. Tant il avait essayé d'oublier, tant il le voulait. Des nuits entières il était resté eveillé, pleurant dans les bras de maman, priant pour que les cauchmars partent. Puis il en est venue à réaliser que plus on souhaite que quelque chose part, plus ca s'approche; et les souvenirs avaient envahit son sommeil au point où il pouvait le ressentir. La peau que Law touché à nouveau, brulé sous la pression. Maximilian sentait, dans sa respiration éperdu, que des morceaux de ses os se brisait rien qu'avec la peur.

Cette fois çi, il voulait courire. Il voulait partir, plus qu'autre chose. Plus que vivre il voulait partir. Alors il se débattait, du mieux de ses pouvoirs. Mais ses os affaiblies ne soutenaient plus la pression. Plus il bougeait, plus son esprit voulait partir, plus il se casser. Des miettes de ses cornes touchèrent le sol au pied de Law; et Maximilian se regardait tomber, sans même que ca avait commencé. Il pouvait juste se débattre, courire, essayer. Mais il savait d'un coté, qu'il ne pouvait que tomber, tomber, tomber en miette au pied de Law.

Law regardait avec un sourire évident Max se désintégrez devant lui. Cependant, il ne voulait pas que le jeune Öärass se désintégré avant qu'il est le temps de régler quelques affaires avec lui. Law attrapa le menton de la jeune sirènes et lui sourit. Sa tombait justement bien, la dernière rencontre avec Max s'était révéler bien intéressante et délicieuse, celle la promettait d'être bien mieux, surtout que Law était bien d'humeur a s'amuser avec l'Öärass. Même le fait d'être tomber amoureux n'avait rien changer chez Law et ne changeras surement jamais rien :

- Max ... Dans qu'elle état pitoyable tu est la, cette chère Kiäna ne s'occuper donc pas de toi ? Faudrait-elle que je lui fasse endurez la même chose que toi ? Voit ... ces déjà fait.

C'était trop. Maximilian souhaitait presque que c'était ses oreilles qui allait se désintégré, partir, il ne voulait plus rien entendre. Finie! Il était fini, son monde était fini! Sa dernière part de lui même, enrobé de sous ses pieds. Il éleva son pied pour le balancer entre les jambes de Law; juste le temps de s'échapper. En retrospecte, une grave érreure. Il se tourna vivement et se mit à courire. Mais que ce soit dû à la panique, la peur, les tremblements ou la désintégration; il ne pouvait plus avancer. Il perdit tout contrôle et toute force et tomba au sol. Sur ses genoux il tentait de se tirer en avant avec ses mains. Mais à chaque motion, à chaque fois qu'il grattait au sol, une partie de sa peau se déchirait en chemin. Il ne pouvait plus avancer, mais il l'essayer. C'était la dernière chose qui l'arretait de s'effondrer. Il devait essayer, une action futile, mais il se le devait. Pour maman, pour Kiäna, mais en grande partie pour lui même.

"Laisse moi.." murmurait-il.

Il fallait avouer que le geste de Max fit mal au bannit. Mais il le mit aussi quelque peu plus en colère, Law détester pardessus tout que ses victimes se permette de le frapper. Il regardait Max au sol, en rigolant, il avait toujours son sabre dans la main, et d'un mouvement, il enleva son sabre de son fourreau et le planta dans la terre, jusqu'à coté de la tête de Max. D'un mouvement il attrapa l'épaule de Max pour le soulever, il le mit face à lui et le colla a un arbre. Il passa délicatement un doigt sous le menton de Max et souria :

- Déjà ? Mais j'ai encore envie de m'amuser moi. Faut bien que je m'occupe.

Maximilian était coincé sous l'emprise de Law, et le voyant ainsi, il y avait tant de chose qu'il aurait voulue lui dire. J'espère que tu brûles en enfer. Il n'y a pas de place sur terre pour les hommes comme toi. Beaucoup de chose, mais d'un coté il savait ce qui allait venir; et à présent c'était plutôt une question de réduire la sentence. Il s'était déjà jetté dans le feu en essayant de fuire, il devait maintenant tout faire pour dégouter Law, le stopper un minimum. Il avait toujours pensé que son corps suffirait à cette cause mais semblerait bien que non.

"Laisse moi partir" Murmura-t-il faiblement "Je ferrais tout, pour evité..ça"

C'était sa faute et sa naïveté. Lui après tout ne connaissait et ne pouvait comprendre la mentalité des gens comme Law. Il pourrait passer une vie à tenter de comprendre, et il aurait passer une vie à perdre son temps.

Law regardait l'Öärass un sourire au lèvre et une lueur d'amusement dans les yeux. La dernière rencontre avec Max avait était délicieuse, mais Law voulait, aujourd'hui, l'entendre plus crier, voir jusqu'à ou il pourrait tenir, et jusqu'à quand, lui aussi, pourrait tenir sans violer le jeune homme. Il voulait le torturez physiquement mais aussi psychologiquement :

- Mais ne t'inquiète pas, je vais prendre soin de toi.

D'un sourire, Law lui attrapa le menton pour lui levé la tête et qu'il soit obligés de le regardait :

- Comment va t'elle ? Kiäna ?

Maximilian connaissait la manière que Law aimait prendre soins des gens et il ne l'apprecié en rien du tout. Il détourna le regard, comme il savait si bien faire, il refusait de le voir, quitte à faire les yeux comme un lache. A la mention de sa petite ami, de sa douce mélodie, il sentit venir en lui quelque chose qu'il ne connaissait pas. Il pouvait l'identifier comme de la rage, et c'était un sentiment qu'il detestait profondémment. Jamais son corps n'avait tremblé de colère, jamais dans sa vie avait-il tant voulue faire du mal à quelqu'un. Ses bras qui étaient encore libre, se flexèrent et il attrapa le shirt de Law en gardant le regard baissé.

"Ne parle pas d'elle" Dit-il entre ses dents. Puis il commenca à le tapper sur le torse, autant qu'il pouvait, aussi fort qu'il pouvait. C'était la rage, et il ne le connaissait pas, ne le controllé pas.

"Tu as tout ruiné!"

Law regardait le petit corps, les petits points frappée sur son torse, Max croyait-il vraiment que cela allait faire du mal à l'homme grand qui le retenait par les épaules. Lorsqu'il avait mentionner le nom d Kiäna, la copine de ce cher Öärass, la réaction de l'homme fut des plus merveilleuse. Law eu une idée, pourquoi ne pas faire croire à Max qu'il à violer cette chère Kiäna ? Après tout sa peut très bien être quelque chose de bien tortureux non ? D'un mouvement, Law attrapa les mains de Max pour les lies en dessus de sa tête pouvant ainsi les tenir qu'avec une main, et de l'autre, il leva le menton de Max :

- Tu sais, elle est douce, je ne sais pas si tu la déjà goûter mais sache que je m'en suis très bien occuper. Ces petits cries était vraiment ... Très excitant ... Je devrait allez la revoir. Je les attachés à un arbre, et je les violer ... S'était vraiment ... Délicieux.

Maximilian voulait pas entendre voulait pas voir. Mais contre son gré des images se formèrent devant ses yeux et il pouvait voir sa douce Kiäna, volait, violait, détruire. Il le voyait, il le sentait. Il se mit à secoua violamement, tentant du mieux de virer toutes les images qui lui venait. Il pouvait pas voir. S'il le voyait, il mourrait. Il partirait, il tomberait, plus bas qu'il n'est jamais tombé avant. Les yeux fermés contre la douleur et les visions, il criait comme un chant en boucle:

"Tait toi tait toi tait toi, tait toi!" Il ne voulait pas, refuser d'être reprit dans ce jeux du chat et de la souris. Qu'on le laisse, qu'il perde, mais qu'on le laisse, lui et Kiäna.

Les lèvres de Law s'élargit d'un sourire malsain et pervers. Il regardait Maximilian heureux de sa réaction. Il aimait torturez les gens, autant psychologiquement que physiquement. Il approcha sa tête du visage du jeune Öärass qu'il tenait toujours par le menton. Il n'y avait aucun bruit dans la plaine, il y avait seulement les deux homme. Plantant ses iris dorés dans les iris bleu de Max, Law, lui, souriait toujours de la même façon et prononça ses mots :

- Mais pourquoi ? Ce n'est que la pure vérité. Tu veut que je te raconte ?

"Non!" Etait le cri qui percait dans la plaine à cette heure si. Il ne voulait pas attendre, il ne voulait pas savoir. Il tourna la tête violament, sortant finalement son menton de l'emprise de Law. Il n'allait pas se débattre beaucoup plus; sa servirait seulement à exciter Law et à lui faire encore plus de mal. Peut-être que s'il se taisait, s'il ne disait rien du tout, il pourrait s'en sortir sans trop de blessures. Peut-être il pourrait même survivre, à peu près. Il se mordait la lèvre, fermant les yeux. Il n'allait pas pleurer. Il refusait d'en donner la satisfaction à Law, encore plus de le voir autant affaibli. Il est littérallement entrain de tomber en miettes.

Law regardait avec un plaisir évident Maximilian, il n'allait pas durez longtemps. Il reprit la tête de Max et se plia pour déposer avec force ses lèvres sur les siennes. Il l'obligeait, Max ne pouvait pas 'en allez, Law avait deviner que sa pourrait répugnés, il y fit baladez sa langue et finit par les séparés. Lorsqu'il se redressa, il donna une claque violent a Max qui tomba à terre, il se baissa pour l'attraper par les cornes et le secoua un peu pour le regardait dans les yeux :

- Ecoute moi bien, je ne les pas violer mais si tu ne veut pas que sa arrive tu devras me faire une gâteries, tu doit bien savoir faire cela ?!

Maximilian était balance, jeté. Quand ses cornes furent pris, il sentait les morceaux tomber en vrac sur ses épaules. Il s'aggripait au sol de ses mains faibles, de ses six doigts. Au moins, Kiäna n'avait pas été touché, elle allait bien. Quand il entendit la menace, il s'arrêta. Les images qu'il avait vue avant lui revenait. Non pas Kiäna. Il connaissait la douleure qui venait avec cette experience, et il le prendrais, milles fois si c'était pour l'épargner. Une larme tomba sur sa joue, ses yeux crispaient comme si Law l'avait brulé. Il dit entre ses dents:

"Tout ce que tu..tu veux"

Law souria a la réaction de Max, il devait réellement aimer cette fille, du nom de Kiäna. Il regardait Max en rigolant, il le leva assez haut pour qu'il puisse se tenir debout. Il l'attrapa par le menton et le regarda dans les yeux, un sourire sadique collait au visage. Law ne pouvait pas penser a autre chose que les actes qu'il allait faire, comme il tenait toujours Max par la corne, il le balança a terre et le regarda :

- Enlève moi mon pantalon.

Faible sur ses genoux, et jeté au sol, Maximilian avait à peine la force de faire ce qui lui était demandé. Il se souleva sur ses mains, pour pouvoir au moins être à genoux devant Law. Il était encore trop petit. Mais il leva ses mains tremblantes, ses six doigts déboutonnèrent doucement le pantalon, et il le descendit jusqu'a ses pieds. Il ne voulait rien voir, et il avait les yeux fermés tout le long. Il est un homme après tout, il sait ce qu'il y a de cache; meme si sur son anatomie à lui, c'est assez minime, il sait ce qu'il y a.

Law continuait à sourire, son sourire était des plus machiavélique, non, tu te trompe, se n'était pas le même sourire qu'avait fait William à Ayato, le sourire de Law était bien plus sadique, et on pouvait lire dans ses yeux le plaisir pur que procurez les petites mains de Max sur son corps. Sa rame avait déjà réagit. Il posa sur Max des yeux malsain et combien cruelle et lui dit le sourire toujours au lèvre :

- Suce moi.

Il avait eu peur de cela. Son corps se mit à trembler et frissonner quand il entendit les paroles sortirent de la bouche de Law. Il pouvait pas faire cela. Ce serait, devoir le faire lui même, ce n'est pas la même chose que ce laisser faire comme il avait fait la dernière fois. Ca voudrait dire, à la fin de la journée, qu'il aurait participer à son propre viole. Il aurait été l'acteur de sa propre déchéance. La honte déjà était insoutenable, et il n'avait encore rien fait. Mais il le devait, pour Kiäna. Sa douce Kiäna. Il posa ses mains doucement sur le coté du membre enflé de son assassin. Baissant doucement le sous vetement, il voulait détourner le regard. Mais il ne pouvait pas. Il laissa rapprocher ses mains jusqu'a ce qu'il sentait les fins poils sur la rame. Il ouvrit la bouche et la rapprocha avec les yeux fermés en douleur. Il sentait la chaleur de l'object sur ses lèvres sans la toucher, et il n'osait aller plus loin. Mais il n'avait pas besoin. Avec une grande force, une main attrapa une de ses cornes et balanca pratiquement sa bouche sur le membre contracté. Pendant cet instant là, il croyait réellement qu'il était mort.

Le violeur des plaines n'avaient pas lâcher des yeux sa proie, il avait vus les yeux fermer de Maximilian retiré son sous vêtement pour dévoiler son membre gonflées. Il sentait bien les lèvres de la sirènes effleurant son membre sans le toucher, et quand Law donnait un ordre, il devait le faire, il lui attrapa donc une corne pour l'obligeai à le prendre dans sa bouche et lorsqu'il sentit la chaleur de la bouche de l'öärass, un souffle sortit de sa bouche. Il regardait Max, attendant que se dernier ce mette au travail, s'était certes un viole mais s'était combien agréable d'obliger le violer à participer a son viole.

Le goût était horrible. Acide à un point où Maximilian le sentait presque bruler l'intérieur de ses joues. C'était trop large pour la petite bouche du jeune sirène, et le tout bloqué son passage respiratoire. Mais il savait, que si lui même ne fessait rien, Law le ferrait à sa place, et ce sera largement plus dûre. Il ferma alors les yeux un maximum, des larmes trouvaient quand même un chemin pour descendre sur ses joues et donc même sur le membre du banni. Il laissa sa langue faire, doucement. La motion le répugnait, le dégoutait, l'horrifié et l'apeuré. Sa langue toucha le gland humide de l'homme alors qu'il laissa le membre entrer plus profond, moins profond, plus profond. C'était l'horreur pure qui s'emparrait de lui.

Les gémissement de Law se faisait de plus en plus fort, certes la personne qui le suçait n'était certainement pas consentant (enfin pas du tout). Law se mordait la lèvre et leva les yeux au ciel, d'un mouvement, ne pouvant plus tenir, il attrapa par la corne Max et l'enleva pour le balancer à terre. Il voulait faire durez le plaisir, et ne voulait pas jouir tout de suite. Il essaya de reprendre ses esprits en défaisant les lanières qui entourez la poignets de son sabre. Il s'approcha de Max et lui attrapa une cornes pour le traînez jusqu’à un arbre, de la il le balança contre un arbre et lias ses deux poignets. Il regarda Max et fit un sourire :

- Tu as deviner se que j'allait faire ?

Heureusement Maximilian retrouvé la liberté finalement de pouvoir faire de sa bouche ce qu'il veut. Il peut à nouveau respirer correctement. Il se fessait balancer comme un rat dans la gueule du chien; et dans beaucoup de sens, c'était probablement vrai. A nouveau il se retrouvé attacher. Avec aucun pouvoir et aucune force, il été à terre, métaphoriquement. Il ne pouvait plus partir. Et bien sur qu'il le savait, mais il n'avait pas donner la satisfaction à Law de lui répondre. Il savait tout deux qu'il le savait. Il ferma les yeux et calla le derrière de sa tête contre l'écorce. Pret à être déhabillé, et prit. Du moins, pret, il ne le sera jamais. Mais il ne peut plus l'arreter. Il pleura en silence.

Law regardait le petit Öärass, il voyait les larmes silencieuse coulait sur les joues de Max, mais jamais il n'aurait pitié de lui, comme il n'avait jamais eu pitié de ses personnes qu'il violé. Il s'accroupis devant le jeune homme, et lui enleva cette fois seulement son pantalon. Il attrapa le menton de Max et lui fit tourner la tête, de sorte qu'il le regarde. Law avait son sourire sur ses lèvre et prononça :

- Relax, ce ne serait pas long.

Une seconde de cette torture, c'est trop long. Un microseconde de sa presence, c'est trop long. Max ne pouvait pas relaxer. Son corps tremblait encore de la fureur qu'il ressent et de la peur profonde qui venait en sachant ce qu'il va venir. Comme s'il pourrait être calme. L'odeur et le gout immonde était encore en lui, et il cracha doucement sur le coté pour tenter de s'en virer. En vain. C'était peine perdu d'avance, cela il le savait. Il commence à perdre les habits, sa seule matière de protection, et il ne voit meme plus moyen de s'arrêter.